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10/04/2013

La trilogie des elfes.

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La trilogie des elfes

 

Jean-Louis  FETJAINE : « Le crépuscule des elfes (1/3) »

« Il y a bien longtemps, avant même Merlin et le Roi Arthur, le monde n'était qu'une sombre forêt de chênes et de hêtres, peuplée d'elfes et de races étranges dont nous avons aujourd'hui perdu jusqu'au souvenir. Dans ces temps anciens, les elfes étaient un peuple puissant et redouté des hommes, des êtres pleins de grâce à la peau d'un bleu très pâle, qui savaient encore maîtriser les forces obscures de la nature. Ce livre est le récit de leurs dernières heures, depuis la rencontre du chevalier Uter et de Lliane, la reine des elfes, dont la beauté fascinait tous ceux qui l'approchaient. L'histoire d'une trahison et de la chute de tout un monde, d'un combat désespéré et d'un amour impossible ».

Dans un Moyen-Âge où le merveilleux côtoie la violence et la cruauté, ce fabuleux roman, nourri par une inépuisable imagination et une grande connaissance du monde médiéval, établit un pont entre l'univers des légendes celtiques, la fantasy et le cycle arthurien.

Presses pocket Fantasy – 2002 – 347 pages – 180 grammes.

Etat = quelques petites marques/traces de manipulation et stockage, mais rien de bien notable, tranche intacte, intérieur propre et sain, exemplaire entre bon et bon+.

 

Jean-Louis FETJAINE : « La nuit des elfes (2/3) »

Lorsque les hommes ont exterminé les derniers royaumes nains le monde a sombré dans le chaos. Seuls les elfes pourraient s'opposer à eux, mais retranchés dans leurs immenses forêts, ils sont inconscients du danger qui les menace à leur tour.

Pour empêcher le duc Gorlois d'étendre la domination des hommes sur la terre, au nom de Dieu, le druide Merlin s'attache aux pas du chevalier Uter, l'amant de Lliane, la reine des elfes. Investi du pouvoir de Lliane, Uter devient le Pendragon, chef de guerre de tous les peuples libres, et tient désormais entre ses mains le pouvoir de restaurer l'ordre ancien. Mais il lui reste à choisir entre l'amour de deux reines : Lliane, l'inaccessible, réfugiée dans son île d'Avalon ; ou Ygraine, si réelle, si humaine…

Presses pocket Fantasy – 2002 – 265 pages – 150 grammes.

Etat = plats O.K, tranche intacte, l’exemplaire aurait pu être parfait s’il ne souffrait d’un petit choc en bas à droite et surtout d’une trace d’humidité (1,5 cm) visible au haut des 30/35 premières pages. En conséquence de quoi il ne sera donc estampillé que moyen+.

 

Jean-Louis FETJAINE : « L’heure des elfes (3/3) »

Le monde, partagé entre les nains, les monstres, les elfes et les hommes, a perdu son équilibre depuis que ces derniers se sont approprié la légendaire épée Excalibur. Déchiré entre son épouse, la chrétienne Ygraine, et Lliane, la reine des elfes, le roi Uter a pris la décision de rendre l'épée sacrée et de restaurer ainsi l'ordre ancien.

C'est alors que les monstres envahissent le royaume de Logres et anéantissent leurs adversaires désunis. Affaiblis et terrifiés, les hommes se tournent de nouveau vers les elfes, espérant que le peuple des arbres viendra à leur secours.

Exilée sur l'île d'Avalon avec sa fille Morgane et accompagnée du mystérieux Merlin, la reine Lliane acceptera-t-elle, une fois encore, de tout risquer pour l'amour d'Uter ?

Presses pocket Fantasy – 2002 – 268 pages – 150 grammes.

Etat = quelques petites traces de manipulation et/ou stockage, mais O.K, entre bon et bon+.

 

Les 3 volumes ( poids total = 480 grammes ) pour :

>>> 5,50 €uros. / Vendus !

Temporairement indisponibles.   

 

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Le crépuscule des elfes 

Au bord d'une mare, une femme à la peau bleue se coiffe…

C'est sous cette illustration trompeuse, trop sage, que se voile une fantasy aussi épique que tragique de la plus belle plume : celle de Jean-Louis Fetjaine, dont c'est là le premier roman. Un roman sombre et fort, au carrefour de la mythologie celte et de l'épopée arthurienne, dont le ton emprunte à l'Excalibur de John Boorman.

Une arthurienne de plus, me direz-vous ? Oui. Mais la légende arthurienne est un matériau de tout premier choix pour qui veut inscrire sa fantasy dans la veine historique. Cependant, si noble que soit le matériau, il a déjà été forgé sur plus d'un feu (…) On peut écrire de la fantasy sur la base des légendes des indiens Hopi… ce n'est pas un sport pour européens. Par contre légende du roi Arthur est la borne blanche d'un celtisme très en vogue que se partagent la France et le monde anglo-saxon. Sur ce thème là, même une approche originale ne produira pas un roman original. Grand est donc le risque de lasser ; c'est pour l'auteur un défi à relever.

Jean-Louis Fetjaine n'a pas inscrit la tragédie là où on l'attend d'un roman arthurien : dans la mort du roi. D'ailleurs d'Arthur, point. ll a trouvé mieux que la mort d'un homme : celle de tout un univers. A l'instar de Stormbringer – le roman de Moorcock – ce Crépuscule des elfes (comme celui des dieux) illustre la fin d'un monde, une inexorable apocalypse en forme de changement de paradigme.

En ce temps-là, alors qu'Uther était jeune encore, elfes, nains et hommes vivaient en paix : les elfes en harmonie avec la nature, plantes et animaux à qui ils parlaient ; les nains, forgerons nés, maîtrisaient les magies minérales. Et les hommes… l'art cynique de la politique et de l'intrigue, ainsi qu'il apparaîtra au fil du livre (…).

Fetjaine n'a pas oublié d'écrire un roman et non une tragédie. Aussi, si le discursif domine, l'action le soutient et le visuel n'a pas été négligé, au contraire. Son écriture fluide nous fait voir, mieux, sentir un monde froid et liquide, de brume, de bruine, d'eau omniprésente, de boue et de marais glacés, de forêts profondes et détrempées. Il nous fait éprouver ce monde elfique presque monochrome pour mieux empreindre sa tragédie de la nostalgie et du deuil d'un univers. C'est une allégorie du désenchantement du monde ; d'un monde qui ne sera plus jamais le leur – celui des elfes, des nains… Sous la plume de Fetjaine, le bien ne chevauche pas chaussé des mêmes bottes que la chrétienté, incarnée par Pellehun et Gorlois. Il donne à son roman une sensualité liquide et pénétrante qui confère au drame une intensité fluide où les personnages ne prennent corps que pour mieux s'y noyer (…).

Que cet ouvrage ait trouvé place chez un éditeur de littérature générale plutôt que chez un spécialiste du genre tel L'Atalante, Pygmalion ou Rivages, s'explique tant par la qualité de l'écriture que le classicisme du thème. Et si ce crépuscule n'en est pas moins héroïque, avec ce qu'il faut d'épreuves et de combats pour combler tout un chacun, Fetjaine s'est battu avec les armes de la tragédie pour forger son succès. Car, à n'en pas douter, c'en est un.

La fantasy française n'est que bien rarement à pareille fête.

( Jean-Pierre Lion / http://www.noosfere.com/icarus/livres/niourf.asp?numlivre... )

 

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04/04/2013

Thierry CAMOUS / Romulus - Le rêve de Rome.

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Thierry CAMOUS : « Romulus -  Le rêve de Rome »

 

Personnage de légende, Romulus ne nous est connu que grâce à des écrits bien postérieurs au VIIe siècle avant J.-C. où il vécut. Objet de fascination, il reste pour les historiens une véritable énigme et une sorte de tabou scientifique. Or, des découvertes archéologiques récentes prétendant avoir retrouvé le palais royal de Romulus ou la grotte du Lupercal, dans laquelle la louve allaita les jumeaux, permettent d’éclairer d’un jour nouveau la figure du fondateur de Rome. C’est sur l’apport essentiel de ces découvertes, enfin mises à la portée du grand public, que se fonde cette première biographie de Romulus depuis… Plutarque !

En réalité, Romulus condense plusieurs époques, et donc plusieurs personnages. Quatre, pour être exact : l’homme des bois, enfant sauvage abandonné par sa mère, la vestale violée par le dieu Mars, qui tente de reconquérir son trône perdu ; le fondateur, chef de clan qui s’approprie la colline du Palatin en traçant le fameux sillon délimitant l’Urbs, tue son frère Rémus et enlève ses voisines, les Sabines, pour en faire des épouses ; le roi-guerrier, qui organise la cité unifiée, étend sa domination et finit démembré ; et le héros mythique, descendant d’Énée aux origines troyennes.

Cette enquête captivante et érudite nous ouvre les portes d’un monde méconnu, celui de la civilisation des premiers Latins, pâtres belliqueux, de leur métropole mythique au plus profond des bois, Albe-la-Longue, de leur fête sanglante des Lupercales et de leurs terribles batailles contre leurs adversaires étrusques. Au-delà du "portrait en creux" d’un homme, elle nous offre une peinture saisissante de l’Italie primitive, berceau de la civilisation romaine classique. En cela, l’action du roi Romulus, qui se lance dans le Latium à la conquête des voies commerciales, porte en germe un destin impérialiste insoupçonnable alors. Aux frontières du mythe, de l’histoire, de l’archéologie, de l’ethnologie et de l’anthropologie, un essai fascinant sur les origines à la fois tragiques et grandioses de Rome.

 

Chercheur associé au CNRS, professeur agrégé à Nice et chargé de cours en histoire ancienne à l’université de Sophia-Antipolis et de Guangzhou (Chine), Thierry Camous est spécialiste des origines de Rome (Le roi et le fleuve : Ancus Marcius Rex, aux origines de la puissance romaine, Les Belles Lettres, 2004). Il est également l’auteur de deux synthèses sur les rapports d’altérité entre les civilisations comme moteur de la violence guerrière, qui ont suscité un certain débat : Orients / Occidents, 25 siècles de guerres et La violence de masse dans l'Histoire

(PUF, 2007 et 2010).

 

Le grand livre du mois – 2010 – 431 pages – 23 x 14 cm –  500 grammes.

Etat = broché, reliure "semi-souple" illustrée par un détail de L’enlèvement des Sabines de David. Tranche intacte, quelques infimes marques de manip’, rien de notable, très bon état.

>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

 

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(Prix neuf = 25€)