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Ruslan Kotsaba : appel aux ukrainiens
Ruslan Kotsaba est un journaliste ukrainien de la chaîne publique de télévision KANAL 112. Il est originaire de l'Ukraine de l'ouest. Suite à l'annonce par le gouvernement de la n-ème vague de mobilisation il s'insurge et lance un appel aux ukrainiens. (Y.D.)
(Trad. française Y. Delville)
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Version longue et originale ici
Руслан Коцаба / Інтернет-акція "Я відмовляюся від мобілізації"...
Вибачте за низьку якість відеозйомки - сутеніло і знімав слабенькою передньою камерою телефону. Дозволяю поширювати це відео в соцмережах.
22/01/2015 | Lien permanent
Ukraine : Ruslan Kotsaba accusé de haute trahison, arrêté et écroué.
Dernières paroles de Ruslan Kotsaba avant d'être écroué.
Vidéo depuis la salle d'audience.
Le très populaire journaliste ukrainien de Ivano-Frankovsk [l'Ukraine de l'Ouest] qui travaille [travaillait...] pour la chaîne de télévision 112 et qui le 19 janvier avait publiquement appelé les ukrainiens de refuser la mobilisation [voir sa déclaration ici : https://www.youtube.com/watch?v=zv-Fp...] a été arrêté par les services secrets ukrainiens et accusé de haute trahison..Selon son épouse, Ouliana, il a été arrêté samedi après une perquisition menée par le SBU à son domicile.
Dimanche, 8 février, le tribunal a décidé de le maintenir en détention pour un maximum de 60 jours par "mesure de précaution" jusqu'à la fin de l'enquête. Sa demande de "liberté surveillée" a été rejetée...
Source : Thalie Thalie
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Lire aussi :
Sauvons le refusnik Ruslan qui refuse d'aller tuer dans le Donbass
10/02/2015 | Lien permanent
Yuri Bereza & Tatiana Montian... 2 visages de l'Ukraine.
Brûler la Crimée !
Les résultats d'un sondage réalisé dernièrement auprès de la population de Crimée et... les déclarations d'un député du parti de Yatseniouk (1er ministre de l'Ukraine) sur le plateau de la chaîne TCH (TSN) au sujet de la Crimée. A vous de vous faire une idée !
Note de Kurgan : précisons que l'immonde pourriture... pardon... le "député" en question n'est autre que le fier guerrier Yuri Bereza (voir ici, pour son plus bel exploit !), commandant en chef du bataillon paramilitaire "Dniepr-1" (presque entièrement laminé par les FAN, l'an dernier à Ilovaïsk) et grand ami d'Igor Kolomoïsky !
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Situation de l'Ukraine - interview juriste ukrainienne
Tatiana Montian est une juriste ukrainienne, clairement engagée dans le débat politique. Elle n'était pas du tout partisane de Yanoukovitch mais ne garde cependant pas sa langue dans sa poche lorsqu'il s'agit de faire le constat de la situation actuelle de l'Ukraine...
Note de Kurgan : Et elle ne manque pas de courage ! Car rappelons que d'autres, comme Ruslan Kotsaba, payent chèrement le fait de s'être exprimés un peu trop librement... que ce soit contre la mobilisation, ou autre chose.
Source : Chaîne Youtube de Vincent Parlier.
19/02/2015 | Lien permanent
Bataillon Tornado - Les enfants victimes de la descente de l'Ukraine dans les abysses de la folie collective.
Ignobles parmi les ignobles !
Bataillon Tornado - Les enfants victimes de la descente de l'Ukraine dans les abysses de la folie collective.
Chaque jour voit de nouvelles révélations dans l'affaire du bataillon Tornado.
Rappelons que depuis le 2 août, le procès du chef de ce bataillon et de sept de ses hommes s'est ouvert à Kiev, pour crimes de guerre.
Non pas que Kiev ait réellement décidé de faire le ménage dans les rangs de ses bataillons spéciaux si utiles sur le front du Donbass, mais ceux-là commettaient des crimes tellement voyants qu'il fallait bien sauver les meubles face à la communauté internationale. On arrête donc le chef et quelques soudards, puis on redéploie les autres dans d'autres bataillons aussi criminels que le bataillon Tornado, et on lance la machine judiciaire.
Sauf que les autres soldats de ce bataillon, et d'autres aussi nauséabonds que le bataillon Tornado, ont décidé de ne pas laisser faire la justice. Manifestations violentes et menaces contre les autorités de Kiev n'ont pas manqué pour exiger la libération de ces « héros de l'Ukraine » (et au vu des crimes de ces personnes ce titre a de quoi donner envie de vomir).
Si jusqu'au procès, les crimes reprochés publiquement à ces soldats rassemblaient la cohorte classique des crimes de guerre (pillages, enlèvements, tortures, viols, meurtres), depuis le cinq août et les révélations du procureur militaire, la galerie des horreurs a vu s'ajouter les viols sur mineurs, y compris de très jeunes enfants. Confiants dans leur impunité, ces hommes se sont comporté pire que des animaux.
Les preuves de ces crimes sans nom ont été fournies par les téléphones portables des accusés, et ont été révélées afin de calmer les ardeurs des défenseurs de ce bataillon criminel. D'ailleurs au vu de l'horreur de leurs crimes, la député ukrainienne du parti Front Populaire Tatiana Chernovol a déclaré à la télé ukrainienne que « le député qui défend ces bêtes devrait lui aussi être mis en prison ».
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Lors d'une émission sur la chaîne TV "112 Ukraine", Tatiana Tchornovol, députée de la Rada du parti "Front populaire", est revenue sur l'affaire Tornado - bataillon de volontaires ukrainiens - qui défraie à nouveau la chronique kiévienne, et dont le procès en cours révèle l'horreur des crimes commis par les psychopathes de ce bataillon spécial engagé par Kiev sur le front du Donbass. / Thalie Thalie
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Mais pour huit soldats actuellement jugés, combien d'autres peuvent continuer leurs crimes en toute impunité ? D'autant plus qu'après l'appel de Nadia Savchenko à demander pardon aux gens du Donbass, Rouslan (Ruslan) Onishchenko, le chef du bataillon Tornado, a enregistré un message vidéo dans lequel il admet que lui et ses hommes ont utilisé leurs armes non seulement contre les soldats des deux Républiques Populaires, mais aussi contre leurs femmes, leurs mères, et leurs enfants.
Pour ce fou furieux et ses sbires, tous sont des séparatistes qu'il a considéré comme des traîtres et tué sans hésiter.
Il faut vraiment avoir touché le fond des abysses de la folie collective, pour considérer des enfants comme des terroristes ou des séparatistes tout juste bons à être violés et/ou éliminés.
Combien d'enfants ont ainsi été assassinés par les membres de ce bataillon sous prétexte d'avoir été des séparatistes ? Et combien le sont encore à l'heure actuelle par les membres de ce bataillon encore libres ou ceux des autres bataillons aux principes « éthiques » comparables ? Seuls ces fous furieux le savent, et à la fin de cette guerre nous risquons fort de découvrir des charniers innombrables où les victimes de ces criminels seront retrouvées.
Il est temps pour l'ONU, les médias occidentaux et la communauté internationale de réagir (avec autre chose que de jolies paroles) devant de telles horreurs qui sont plus que prouvées, et qui ont lieu dans un pays ayant signé la charte des droits de l'homme et la convention des droits de l'enfant. Faute de quoi l'histoire, ainsi qu'un tribunal pénal international, jugeront ces pays, leurs journalistes et les institutions internationales comme complices volontaires de ces crimes, aux côtés des criminels qu'ils auront laissé faire par leur silence.
Christelle Néant, pour DONI Press.
Sources :
http://en.news-front.info/2016/08/08/tornado-militants-ad...
https://dninews.com/article/combatants-ukrainian-nazi-bat...
http://alawata-rebellion.blogspot.de/2016/08/la-psychopathie-ukrainienne-6.html
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Vidéo de leur procès, avec des éléments de leurs crimes,
sous-titrée en anglais (activer les sous-titres), âmes sensibles d'abstenir (-18) :
Les fils de truies...
10/08/2016 | Lien permanent
Un abattoir à échelle humaine...
Ukraine/Donbass :
Les forces de Kiev peinent à percer
Le 30e convoi humanitaire russe est arrivé dans le Donbass. La Fédération de Russie continue inlassablement de soutenir le petit peuple du Donbass assiégé. Hier et encore aujourd’hui, force est de constater que la ligne de contact reste stable.
En Ukraine « pro-européenne », ce jeudi 18 juin, on a commencé à lancer la sixième vague de mobilisation : la junte espère recruter quelque 50.000 conscrits pour les envoyer à l’abattoir. Le Golem kiévien a soif de sacrifices. Officiellement, les pertes des forces de Kiev seraient inférieures à 2.000 combattants, mais il se murmure que les troupes répressives de la junte (police, paramilitaires et armée) accuseraient un déficit de quelque 100.000 hommes depuis un an, tués, blessés, prisonniers…
Car il s’agit bien d’un abattoir à échelle humaine : les forces ukrainiennes ne parviennent toujours pas à trouver la faille dans le dispositif défensif républicain qui leur permettrait d’engager une offensive de grande ampleur, de percer. Ces derniers jours, plusieurs reconnaissances offensives de leur part ont confirmé que le commandement ukrainien était à la recherche de plusieurs axes de pénétration au nord et à l’ouest de Donetsk. Depuis la semaine dernière, le quartier Putilovky (au nord de Donetsk près de Spartak, à l’est de la zone aéroportuaire, est l’objet d’une très forte pression ; comme le nord-ouest de Gorlovka et la zone se situant entre Lugansk et Pervomaïsk, sans oublier le secteur de Dokuchaevsk – Elenovka et bien sûr Shirokino.
Les Français en première ligne devant Marinka
C’est pourquoi les troupes ukrainiennes poursuivent leurs tentatives destinées à reprendre le contrôle de toute la zone de Marinka et accentuent leurs pilonnages massifs contre les secteurs résidentiels et les positions clés de la milice.
Les combattants de la brigade internationale « Piatnaska », qui tiennent l’est de Marinka – Krasnogorovka, viennent de recevoir le renfort de volontaires français.
« Durement éprouvée en juin lors des combats de Marinka, cette unité a réussi à tenir la ligne de front avec courage en emportant même des succès décisifs sur les forces kiéviennes pourtant supérieures en nombre et puissance de feu », commente Erwan Castel, lui-même volontaire au sein des forces de Nouvelle Russie.
Dans la soirée d’hier, les combats ont une nouvelle fois repris sur ce secteur tant convoité. A partir de 19h00 des explosions ont été entendues et vers minuit, on signalait des accrochages vers Marinka et Staromihaylovke. Ce matin, ce sont des salves de Grad de l’artillerie ukrainienne qui s’abattaient sur le secteur.
La hantise du commandement de Kiev
En première ligne vers Marinka, ces derniers jours…
Autre point chaud : l’est de Mariupol. La nuit dernière, vers 01h30, les batteries kiéviennes se sont une fois de plus déchaînées à partir des zones des villages de Lebedinskoe et de Sartana contre els positions républicaines sur Shirokino. Cette fois-ci, des salves de BM-21 Grad ont même été signalées. Et tout au long de la nuit, les combats dans Shirokino se sont poursuivis. Dans l’après-midi, un néonazi d’ « Azov » a été blessé.
Batterie d’automoteurs de 122 mm 2S1 Gvozdika appuyant
à partir de Lebedinskoe les paramilitaires d’ « Azov » sur l’ouest de Shirokino
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Petit ménage de fin de printemps
Exit, le chef des services secrets (SBU), Valentin Nalivaychenko ! Il paie ainsi plus d’une année de crimes et délits, de magouilles, d’incurie et de coups bas plus sordides les uns que les autres. Ukrainien disposant d’un passeport américain, il ne cachait pas sa proximité avec les milieux néonazis et néobandéristes. C’est aussi lui qui est à l’origine de la systématisation de la torture et des interrogatoires musclés au sein du SBU.
Il est possible que Nalivaychenko devienne une sorte de coordinateur de la mouvance néonazie armée que, déjà, il supervisait secrètement en lien avec l’antenne de la CIA à Kiev qui loge dans les locaux de la direction centrale du SBU.
Il est plus que probable que cet individu douteux serve aussi de fusible pour éviter d’étendre les arrestations et les mise au pas d’un grand nombre de responsables et de paramilitaires engagés dans le Donbass et qui étaient plus ou moins couverts par lui jusqu’à présent. Une purge salutaire mais qui aurait des conséquences directes sur une partie des faucons de la junte comme Oleksandr Turchinov et remettrait directement en cause l’équilibre bien fragile qui fait que le régime de Kiev n’est pas encore tombé.
Ainsi en est-il du « bataillon Tornado », impliqué dans divers crimes au nord de la Seversky Donets, vers Stanitsa Luganskaya, Novoaydar et Schachtye. Pas moins de huit paramilitaires de cette formation, y compris le commandant, Ruslan Onishchenko (individu lié au grand banditisme déjà rencontré ici et ici), ont été arrêtés le 17 juin pour divers crimes et délits sur ordre du parquet général de l’Ukraine. Outre les trop classiques inculpations de trafics en tous genres, de pillages et de rapines, des cas de viols, de torture, des enlèvements et des détentions arbitraires de civils de la région de Lugansk apparaissent clairement dans les chefs d’accusations.
Afin de neutraliser le « bataillon Tornado » (qui ne représente pas plus que 2 compagnies d’infanterie), il est prévu d’employer le « bataillon » de police « Tchernihiv » (Tchernigov).
Les chacals se bouffent entre eux…
Les extrémistes ne sont pas pour autant écartés des arcanes du pouvoir kiévien.
Les forces répressives ukrainiennes doivent traiter les habitants du Donbass en prenant exemple sur les Américains durant la Seconde Guerre mondiale : créer des camps de concentration pour les civils et pilonner les quartiers d’habitations, a déclaré le 18 juin sur la chaîne ukrainienne 112, le Polonais russifié Dmitri Kortchinsky, ex-chef du parti néonazi UNA-UNSO (son actuel chef est le vice-président de la Rada) et aujourd’hui à la tête du mouvement néonazi Bratstvo (Fraternité). Il a également affirmé que les États-Unis avaient respecté des « normes démocratiques » et fait preuve d’un « haut niveau d’humanisme » en frappant avec l’arme atomique le Japon et en bombardant massivement les villes allemandes. Et de conclure : « Ce qui veut dire (…) que dans la zone des combats et dans les territoires occupés, nous devons agir complètement à l’américaine. C’est la seule façon de traiter avec les Moskali (terme raciste pour désigner les russophones)» (source).
Le président russe Vladimir Po
21/06/2015 | Lien permanent
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