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26/07/2016

Pourquoi est-ce qu'ils nous tuent ?


Pourquoi est-ce qu'ils nous tuent ?


(Varg Vikernes - sous-titres français)

27/01/2016

Invasion de l’Europe : le bateau est en train de couler !

Invasion de l’Europe :
Le bateau est en train de couler ! 

Un article signé Sam Gerrans, pour RT en français, 26 janvier 2016.
https://francais.rt.com/opinions/14648-invasion-europe-bateau-coule

Sam Gerrans est un écrivain britannique, traducteur, consultant et militant. Il a également une expérience professionnelle dans les médias, la stratégie et les technologies de communication. Il est animé par un objectif ultime et se concentre sur une approche authentique de la Révélation et de la Realpolitik. Il est le fondateur du site Quranite.com où le Coran est étudié non pas sur les bases de la tradition, mais plutôt sur celles de la raison. 

Il est incroyable de voir les prétendus capitaines du navire que tes ancêtres ont construit pendant des milliers d’années, en briser les cloisons et percer de grands trous dans la coque tout en déclarant qu’il n’y a rien qu’on aurait pu faire.

Le modèle des stades de la crise de Kübler-Ross décrit l’évolution émotionnelle de chaque Européen qui s’intéresse à la protection de ce que ses ancêtres ont créés contre la perfidie des dirigeants nationaux, dont les actions remettent en question sa propre existence et celle de ses enfants.

Au début, il y avait la négation : Angela Merkel ne saurait certainement pas être assez bête pour faire couler le bateau européen ?

Ensuite est venue la colère, lorsque des informations faisant état d’attaques organisées contre des femmes blanches par de soi-disant demandeurs d’asiles ont filtré à travers les principaux médias dominants.

Après ce fut l'étape des négociations, quand les gens pensaient qu'on allait fixer des restrictions quantitatives pour que la vague soit arrêtée.

Et maintenant nous sommes au stade d’une acceptation forcée : la vague ne va pas s’arrêter – alors habituez-vous à ça – avec Jeremy Corbyn par exemple, qui appelle à ce que le Royaume-Uni accueille le même nombre de réfugiés que l’Allemagne.

Si vous sentez que vous n’avez voté pour rien de tout ça, c’est parce que tel est bien le cas. Votre opinion ne vaut même pas le papier sur lequel elle est écrite. Ce sont des gens comme George Soros qui prennent ces décisions. Quant à vous, votre travail consiste à vous taire, payer les impôts et apprendre comment participer à cette nouvelle étape d’ingénierie sociale et de nettoyage ethnique.

Mais, maintenant que toute personne intelligente a compris que la décision était déjà prise, il est intéressant de voir que les politiciens disent que la poussière est déjà retombée sur la nouvelle réalité.

Parce que parler, c’est la seule chose qu’ils peuvent faire. Nous sommes à un point de basculement. Et une fois qu’on aura basculé, vous pouvez être sûr que le navire coulera.

Positionnement politique

Le premier ministre français Manuel Valls a, par exemple, réussi, bien que tardivement, à comprendre ce qui était en train de se passer : la crise des réfugiés est en train de déstabiliser l’Europe.

Mais, attention, il a une notion de l’Europe différente de vous et moi, qui représente pour nous nos pays, nos nations, nos langues et nos histoires. C’est un membre du club de Bilderberg, donc il a au moins une certaine compréhension du plan en cours, mais ne se préoccupe pas des choses qui sont chères aux gens qui votent pour lui. Ce qu’il entend par «Europe» c’est l’Union des républiques socialistes soviétiques européennes, l’oligarchie de Bruxelles en d’autres termes.

Dans un article du Guardian, on lit : «Il a dit que le message aux réfugiés qui disait "Venez, vous êtes bienvenus" avait provoqué des changements majeurs dans la population». Sa compréhension du fait qu’il est trop tard à présent pour faire quoi que ce soit est impressionnante.

Le Premier ministre allemand Mark Rutte a dit que l’Europe était proche du point de rupture : «Nous avons besoin de comprendre ce phénomène dans les six à huit prochaines semaines ». Mais il a continué : «Personne ne veut détruire Schengen, mais si ce système ne fonctionne que par beau temps, alors il ne pourra pas survivre.»

Lire aussi : Pour la police allemande, les agressions du Nouvel An seraient une nouvelle forme de criminalité

Geert Wilders est décrit par la presse libérale comme un homme politique hollandais d’extrême droite. Cela veut dire qu’il est resté à peu près à l’époque de nos grands-parents alors que tous les autres ont été façonnés par le marxisme culturel. Geert Wilders a appelé à enfermer dans les centres d’asile les hommes qui sont en train d’envahir, de piller l’Europe ; et à considérer la sécurité des femmes et des jeunes filles hollandaises comme une priorité. Quelle idée originale !

Ce n’est pas de l’extrême droite. C’est tout simplement du bon sens. Mais, nous le savons déjà, cela n’aura jamais lieu.

RT a interviewé Hansjoerg Mueller du parti Alternative pour l'Allemagne. Il a dit : «L’Allemagne est à présent quelque part au bord de l’anarchie et glisse vers une guerre civile ou se prépare un avenir de «république bananière sans aucun gouvernement».

Il a continué en disant : «La Bavière est la première région car nous sommes les plus touchés. Nous vivons à la frontière avec l’Autriche d’où provient l’afflux des réfugiés. Mais, les deuxièmes régions d’Allemagne où cela se passe sont la Saxe et la Thuringe. Tout d’abord, ils ont, eux, des frontières avec la République tchèque, c’est la première raison. Et la deuxième raison est que dans l’ex Allemagne de l’Est, les gens savent encore ce que c’est de vivre sous une dictature. Ils ressentent parfaitement que notre soi-disant démocratie tend de plus en plus vers un État totalitaire.

Ses paroles sont intéressantes et objectivement correctes. Mais, encore une fois, Mueller n’a pas de réel pouvoir.

De son côté, Donald Tusk, un chef apparatchik de la machine soviétique européenne, a du pouvoir lui. Il avertit à présent que nous n’avons que deux mois pour mettre les choses sous contrôle. Cela signifie bien évidement que lorsque, dans les deux mois, l’invasion n’aura fait qu’empirer, on devra accepter la situation comme un fait accompli.

Tusk a également une sainte vénération pour l’absurdité connue sous le nom d’accord de Schengen et a prévenu que si l’Europe ne parvenait pas à faire fonctionner cette stratégie, nous serions «confrontés à de graves conséquences, comme l’effondrement de Shengen», la zone de circulation sans passeport pour les 26 nations.

A quel point est-ce grave ?

Il n’y a rien de sacré à l’accord de Schengen. Le Royaume-Uni n’en fait pas partie, par exemple. Mais, les dirigeants européens l’évoquent comme si c’était quelque chose de compliqué à révoquer.

Ça ne l’est pas.

Schengen n’est qu’une idée. L’invasion de l’Europe et la destruction des vieilles cultures qu’elle abrite est en revanche très réelle.

S’il n’y avait pas eu des «réfugiés» mais des fantassins (même non armés) en provenance de, disons par exemple, la Corée du Nord, le problème n’en serait pas arrivé au premier stade.

C’est une invasion. Mais parce qu’elle est revêtue d’une tenue que l’Europe choisit à chaque fois, la langue de compassion, nous vivons à présent dans une situation ou les Européennes ne peuvent plus marcher dans les rues de leurs pays sans être agressées, ni accéder aux piscines publiques sans être exposées à des humiliations.

S'il y avait une volonté politique, ce problème aurait pu être réglé lors d’une conversation de cinq minutes, au maximum : le temps d’une conversation de groupe par Skype. Le fait que cela ne se produit pas masque la réalité : la décision est prise et les hommes politiques tels que Valls et les apparatchiks tels que Tusk essaient de se distancer des retombées inévitables. Voilà pourquoi ils disent les choses qu’ils pensent que les gens ont envie d’entendre, non parce qu’ils vont faire un pas en avant et faire ce qui est nécessaire, mais parce qu’ils ne veulent pas que le chaos annoncé soit attaché à leurs noms.

La solution est évidente, arrêter de «sauver» tous les bateaux arrivant en Europe, mettre des agents de police dotés de réels pouvoirs aux frontières et expulser immédiatement de l’Union européenne toute personne qui rentre sans passeport ou une autre pièce d’identité valide. Ainsi expliquer clairement aux gardes-frontières, à la fois aux périphéries de chaque pays et à celles de l’Union européenne elle-même, en quoi consiste leur travail : protéger ce qui se trouve derrière eux de ce qui est devant eux.

Si la rémunération des gardes-frontières de l’Union européenne avait été inversement indexée sur le nombre de personnes qui entrent l’Union européenne illégalement et si la police intérieure avait des incitations équivalentes, ce problème aurait pu être résolu en un mois.

Si l’on a vraiment affaire à des cas légitimant l’octroi d’asile, sur la base du cadre légal existant, les discussions doivent avoir lieu à la frontière de l’Union européenne, pas à l’intérieur.

Prétendre traiter le problème

L’Allemagne a suivi la Suisse sur la confiscation des biens des «réfugiés» dépassant une certaine valeur, annoncée comme une somme à quatre chiffres en moyenne. Le seul effet que cela aura est que la prochaine vague viendra sans rien, ou fera expédier ses biens ultérieurement par colis.

Les véritables raisons de l’invasion résident dans le néo-colonialisme et dans le cartel bancaire qui le soutient - les «philanthropes» tels que Soros - et le génocide de l’OTAN contre la Libye, ainsi que le meurtre de Kadhafi qui retenait les vannes de l’immigration pour nous.

L’OTAN n’a aucun scrupule à tuer des gens en très grand nombre lorsque cela convient à l’ordre du jour des banquiers. Mais alors que l’armée européenne marche à pas de loup tandis que nous avons besoin de soldats pour faire leur unique travail légitime, celui de défendre nos frontières, tout d’un coup, tout le monde devient Albert Schweitzer. L’affaire est tellement simple que même une jeune fille allemande de seize ans ne s’intéressant pas précédemment à la «politique» arrive à la comprendre.

Toute personne qui suggère de prendre des mesures efficaces est qualifiée d’«extrême droite» par les médias libéraux qui cèdent à ceux dont les esprits sont détournés par les mots déclencheurs  tels que la «compassion».

Mais, l’image du navire est juste. Lorsqu’un navire coule, il n’y a jamais assez de canots de sauvetage. Les marins sont formés à repousser avec vigueur ceux qui sont encore à la mer une fois le canot de sauvetage est rempli. S’ils ne le font pas, tout le monde meurt. C’est ça la véritable compassion.

S’il y a un bon côté dans cette histoire de corruption et de perfidie c’est que la justification par un libéral de ses crimes contre son propre peuple par la «compassion» ne passe plus. Les gens ont en assez. Le désir de sauver votre famille et votre culture ne fait pas de vous un méchant.

Ce n’est pas un jeu, c’est terriblement sérieux. Et si on ne peut pas arracher la tête de ceux qui sont décidés à faire couler le bateau, c’est le moment pour ceux qui ont conservé leur bon sens et en ont les moyens de se diriger tranquillement vers la sortie.

Sam Gerrans 

RT en français
https://francais.rt.com/

56a76e31c461887e7d8b458f (1).jpgPhotographie : Alexandros Avramidis / Reuters

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DU MÊME AUTEUR, 10 janvier 2016 :

L’Europe : démoralisée, envahie et violée

La vague massive d’immigrés qui s’abat sur les côtes européennes laissées sans défense s’apparente à une invasion. Nos dirigeants dont la mission est de protéger nos frontières semblent être préoccupés par une seule chose : limiter les dégâts.

Alors que les médias libéraux tentent de limiter les dégâts au moment où, dans les endroits comme Cologne, les vents violents de la réalité emportent comme de la poussière de fée leurs illusions d’enfants, le moment est venu pour les nations européennes de se demander si elles croient en leur droit intrinsèque à l’existence.

Ce n’est pas parce que les libéraux européens ont été culturellement castrés dans la période qui a suivi la Seconde Guerre mondiale que les armées des jeunes hommes qui arrivent des pays arabes et de l’Afrique sub-saharienne l’ont été aussi.

Les libéraux sont dans le déni du décalage existant entre leurs thèses et la réalité, tentant de limiter les dégâts – ou tout simplement de blâmer les victimes pour compenser cette insuffisance.

Mais, le viol et le pillage, tels qu’on les a vus à travers l’Europe, c’est ce que font les armées d’invasion. C’est ce que font nos armées d’invasion, pourquoi serait-ce différent pour les autres ? Les jeunes hommes eux-mêmes comprennent très bien ce qu’il est en train de se passer, mêmes si les fous autours d’eux ne le comprennent pas.

Pendant ce temps-là, les pauvres Européens blancs ont tellement peur d’appeler les choses par leur nom, que cela oblige ceux qui sont issus de la seconde génération d’immigrés de le faire à leur place.

La démoralisation européenne

Une idée populaire – du moins parmi les libéraux européens – c’est que l’influence des Européens dans le monde a été un mal absolu. L’autre idée qui en découle, c’est que tout instinct de survie parmi ceux qui se revendiquent de la culture européenne est aussi un mal.

Il est vrai que la Grande-Bretagne, par exemple (ainsi que d’autres pays européens importants) avait un Empire et que bien des choses accomplies par ces Empires (peut-être même trop) a été mauvais, mais en aucun cas ces pillages n’ont profité à l’homme ordinaire.

La réalité est que la Grande-Bretagne a été gérée par un cartel de banques depuis la création de la Banque d’Angleterre et que son propre peuple a été fauché par millions dans des guerres menées pour remplir les coffres des riches. Un nombre indéterminé de Britanniques se sont également tués à la tâche dans des champs et dans des mines.

C’était le modèle d’affaires de l’époque, on inculquait à la population les notions de «nous» et «eux» – membres du clan et ceux qui n’en font pas partie – parce que c’était utile à ceux qui régnaient.

A présent, l'ingéniosité et le travail acharné des hommes européens n’a plus tellement la cote. Le monde que l’on connaît a été conquis et les banques le possèdent entièrement, à l’exception de quelques résistants et de ceux qu’on bombarde actuellement. Mais le plus dur a été assez bien fait à la fin de la Seconde guerre mondiale.

A cette époque-là, une nouvelle doctrine avait été établie. Selon elle, les Européens n’avaient plus aucune raison de vivre en «tribus» distinctes. Les guerres, bien sûr, n’étaient pas dues à l’oligarchie bancaire qui possédait alors le monde entier, principalement grâce au travail et à l’ingénuité des Européens. Non, les guerres ont été provoquées par les peuples européens eux-mêmes.

Donc, plutôt que de choisir soigneusement ses amis et ses ennemis comme avant, le monde est devenu Dale Carnegie-isé.

La nouvelle pensée édictait qu’il fallait simplement refuser de reconnaître qu’il y avait des différences entre votre groupe de personnes et un autre jusqu’à ce qu’il soit possible de «se faire des amis et d’influencer des gens», jusqu’à ce que le monde un grand buffet joyeux autour duquel tout le monde se tient par la main en cercle, en chantant Kumbaya et en partageant un Coca.

C’est ce que croient les libéraux, par définition. Ils pensent que si l’on défend assez longtemps  ce que l’on veut la réalité soit, le loup finira par se coucher à côté de l’agneau et qu’il partageront dans l’allégresse un bon repas végétarien.

Cette image n’est-elle pas superbe ? Chaleureuse, câline et sentimentale ? Un peu comme le dénouement d’un film pour filles à la saccharine.

Mais, il y a un problème. Et le problème est que tout cela est complètement insensé.

Même nos dirigeants doivent l’admettre parce que de temps en temps, grâce aux médias qu’ils possèdent, ils nous tirent des rafales de nationalisme à chaque fois qu’il faut procéder rapidement (ou moins rapidement) à un génocide quelque part pour démonter un pays, installer une banque centrale accommodante et faire en sorte que ce pays recommence à verser ses actifs aux banques plutôt qu’à son propre peuple. Dans ce cas, le tribalisme est parfait.

Le tribalisme encadré durant la Coupe du monde de football est parfait, puisqu’il offre aux males la chance d’activer leur instinct de protection envers leurs semblables d’une manière bruyante, stérile, inutile mais maîtrisée.

Mais, le reste du temps si vous osez souligner une différence entre vous et un autre groupe, le politiquement correct fera de vous un paria social ou, de plus en plus souvent, vous fera perdre votre emploi, avant de vous envoyer en prison.

Si l’on revient à notre image du loup et de l’agneau, cela signifie que vous êtes devenu l’agneau, que toutes les dents que vous aviez ont été arrachées et que vous êtes secrètement devenu végétarien après avoir lu des livres que Deepak Chopra vous a prêtés.

En savoir plus : Gaz lacrymogène et canons à eau contre les manifestants de PEGIDA à Cologne

Et à présent, alors que vous vous pelotonnez contre le loup, toute votre stratégie de survie suppose que le loup ait lu les mêmes livres que vous et qu’il ait interprété ce qu’il a lu de la même façon que vous.

L’invasion européenne

Si je souhaite aller en Nouvelle Zélande, par exemple, il y a des procédures à suivre. Assez rigoureuses. Et si j’arrive dans ce pays sans que mes papiers soient en règle, alors on ne me laissera pas entrer.

Mais, en Europe c’est différent. Du moins, pour le moment.

Il y a d’authentiques demandeurs d’asile dans le monde. Et des processus pour étudier leurs demandes existent.

Mais, ce n’est pas comme ça que ça se passe. Les nations européennes ont été prises au piège des politiques de leurs propres gouvernements et occupées par des gangs des jeunes inconnus, dont beaucoup ont tout simplement suivi le mouvement, juste parce qu’on dit que les Européens ont perdu la volonté de se battre.

Mais, tout le monde ne profite pas des frontières poreuses ni du soutien financier offert à ceux qui parviennent à rentrer. Le gouvernement britannique interdit aux épouses de près de 18.000 citoyens britanniques de rejoindre leurs époux au Royaume-Uni si elles ne viennent pas de l’Union européenne.

Cette «compassion» est donc extrêmement sélective.

Les lois de la physique légale ont été suspendues par magie. Et les gouvernements, dont le premier devoir et la justification même de leur existence, est de garantir l’intégrité des frontières d’une nation semblent impuissants.

Je n’ai pas besoin que les grands médias m’expliquent ce qui va se passer alors que je peux le voir. Chaque fois que je vois une armée de jeunes hommes marcher sur un pays étranger à la barbe d’une armée abattue et vaincue, qui a perdu sa volonté ou sa vivacité d’esprit pour défendre les intérêts de ceux qui paient leur salaire, alors je sais ce qu’il se passe : une invasion est en cours.

Comme d’habitude, pour justifier cette démence, on utilise cette même «compassion» qui est devenue à la fois de rigueur et défendue par la loi dans tous les pays où résident des Européens, mais nulle part ailleurs, semble-t-il.

Nos dirigeants n’ont pas de scrupules à assassiner un million d’Irakiens, de bombarder Falloujah avec des bombes au phosphore ou encore, de fournir un soutien médiatique et financier pour l’éradication des Palestiniens, mais à présent, tout d’un coup, on nous demande d’être sensibles : «on ne peut tout simplement pas laisser les portes fermées ; il faut aider».

Cette nouvelle forme de compassion, contradiction flagrante, nous dit tout ce qu’il faut savoir : on est dans le pétrin. L’Europe est vouée à être nettoyée ethniquement.

Personne n’a voté pour cela. Peu de gens le veulent. Mais tout le monde doit va pourtant payer pour cela. Et en attendant que les gouvernements remplissent leur mission et protègent leur peuple de l’invasion, je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas de révolte fiscale.

Les guerres contre la Syrie et l’Irak sont criminelles. Ainsi, que le manquement au devoir de base des gouvernements européens de garantir l’intégrité de nos frontières. Ceux qui ont le pouvoir de décision dans les deux scénarios marchent à un rythme que nous n’avons aucune chance de pouvoir influencer.

C’est pourquoi, il faut l’admettre, nous vivons sous une tyrannie.

La folie libérale

L’insistance libérale politiquement correcte pour que les choses soient comme, en fait, certains groupes de réflexion socialistes auraient peut-être préféré qu’elles soient, dépasse la limite de la folie tolérable ; cela revêt l’aspect d’une volonté de mourir ; d’une purification ethnique imposée et financée des peuples européens indigènes. Et plaider la compassion ne rendra pas cette réalité publique.

Si l’on cherche les causes des crimes perpétrés contre la Syrie et l’Irak, on les trouvera dans la nature et dans l’acceptation de l’usure et des politiques de groupes de réflexion qui ont pour but de promouvoir les intérêts d’une infime minorité de personnes.

La grande majorité des Européens ne sont à l’origine d’aucun de ces deux problèmes. Ils n’en ont à coup sûr pas profité. Il n’y a aucune raison pour qu’ils doivent aujourd’hui en payer le prix.

Les ancêtres de ma nation ont donné leur vie par millions pour défendre leur terre. Je ne crois pas que je suis le seul à considérer comme néfaste, criminelle, traîtresse et diabolique, cette collision entre les politiques, l’éducation, les médias et le monde des affaires qui qualifient tout instinct de survie émanant des peuples européens comme inutile et de mauvais goût.

Les voix de la raison commencent à se lever, en provenance de la Hongrie et de la Slovaquie, par exemple. On ferait bien de les écouter.

Sam Gerrans 

https://francais.rt.com/opinions/13603-europe-demoralisee-envahie-violee

56926032c36188e27b8b4597.jpgPhotographie : Alexandros Avramidis / Reuters

28/11/2015

La France a besoin d’une nouvelle génération pour combattre le mal.

La France a besoin d’une nouvelle génération
pour combattre le mal. 

D’une façon parfaitement certaine, Bossuet  avait raison de mettre cette maxime dans ses « Oraisons funèbres ». Charles Pasqua, lui, doit s’en retourner dans sa tombe, car le drame parisien n’est qu’une reprise de l’attentat à la bombe de Saint-Michel de 1995 lorsque le brave Corse était à la tête de l’Intérieur. Pourtant, la politique molle et asexuée d’un François Hollande n’est pas pour autant la preuve d’un laisser-aller généralisé au sein de l’Administration, mais plutôt une autre approche de la problématique terroriste qui, malheureusement, vient de faire long feu.

Je vais donc me livrer à la plaidoirie des socialistes ce qui est pour moi presqu’un acte contre nature compte tenu de mon optique monarchique et religieuse. Il se trouve que les socialistes sont une démonstration des plus flagrantes de la philosophie de notre siècle rongée par l’usure. Selon ce système commercial, tout est à vendre et à acheter: femmes, enfants, territoire, armée, paix, etc. Il existe des sanctuaires qu’il est interdit de brader dont les Etats-Unis mais tout le reste doit faire objet d’un troc sans limites. Les stratèges mondiaux se livrent donc au démontage de l’ancienne société pour en charpenter une autre, un peu à la bolchévique. Cette société doit être pourvue d’un contingent de main d’oeuvre qualifiée et cosmopolite, sans religion ni préférences ethnico-nationales. Le concept est toujours celui de Nietzsche, à savoir création d’un nouvel être qui peut être généré aussi bien par la méthode nazie ou communiste que libérale. La tolérance… intolérable des Etats-Unis à l’égard de DAESH répond bien à cette logique, car DAESH sert à pousser les immigrés en direction de l’Europe ce qui sert d’adjuvant pour accélérer la création d’une nouvelle société mondiale. L ‘expérience est, sans aucun doute, audacieuse mais osée. Pourtant les têtes chercheuses de cette cabale internationale ne s’arrêtent devant rien: ils vont jusqu’à enlever les enfants du foyer conjugal pour les placer sous la tutelle de l’Etat et les matraquer idéologiquement jusqu’à ce qu’ils deviennent porteurs de la nouvelle idéologie.

Alors les attentats en Europe ou la guerre au Proche-Orient ne sont point la cause mais juste l’effet de ce qui se passe à un niveau beaucoup plus élevé. Comme les pays du Vieux-Monde résistent à ce déblaiement du terrain, on les corrige à coups d’actes terroristes comme on corrige les musulmans pour ne pas vouloir accepter les mêmes avatars de modernité chez eux. Le problème de l’opposition est loin d’être le duel entre la chrétienté et l’islam: il s’agit plutôt d’une opposition civilisationnelle. Le monde est désespérément malade et il lutte de toutes ses forces contre le virus de la soi-disant modernité qui est en train de le ronger. Les guerres civiles qui éclatent marquent justement les points de résistance contre le Mal. Quand les Américains essayèrent de changer l’Egypte, la junte militaire refit immédiatement surface pour massacrer les terroristes. Comme résultat, nous avons une Egypte relativement stable. Quand les Tchétchènes se laissèrent entraîner par un islamisme fanatique, l’Etat de Russie réagit avec une violence propre à la situation, saluée par Israël. Quand Israël se fit attaquer par les Etats limitrophes, les canons ont encore tonné pour imposer l’ordre. Tout ça veut dire que les Etats ne luttent pas contre le chaos mais contre un plan, un concept, une approche idéologique nourrie par l’élite supranationale ce que Thierry Meyssan, par exemple, sans citer d’autres noms, se tue à répéter tous les jours. (Note F.E : Voir ici). 

La France, elle, a cédé et ouvert grand ses portes. Le scénario décrit par Jean Raspail dans son « Camp des Saints » ou encore par Michel Houellebecq ou encore Hélène Tchoudinova est en train de s’étoffer. Mais si le pire n’est pas toujours sûr, bien malheureusement, il est encore à venir. Les soi-disant terroristes ne sont qu’une infime parcelle d’un tout diabolique qui se met en marche. Si l’Europe calque sur la Russie qui sut juguler les réformistes néo-libéraux, si l’Europe essayait de s’en retourner donc à ses traditions, alors là elle verra l’éclat du fer dans toute sa terreur. Les pauvres hères menés en France comme les moutons à l’abattoir des 4 coins du monde, seront obligés de combattre pour ne pas succomber à un manque d’espace et des denrées. Si demain la cote de l’euro s’écroule, la France n’aura même pas les moyens de nourrir tout son monde car elle ne produit pas assez de vivres. C’est alors que nous verrons les vrais problèmes commencer.

Quant à l’acte qui vient d’ébranler la Cinquième République, il ne représente que les prémisses du même scénario que celui de Kosovo ou de Donbass. Une vraie sale guerre civile, sans avions, très souvent à l’arme blanche ou automatique, avec les massacres de la population civile – tout ça est à craindre dans un avenir qui nous est désormais très proche. Et n’allez pas me dire qu’il faut plus de 50% d’islamistes en France pour qu’un tel scénrio se produise. Si vous révisez le bon vieux Lénine, vous aurez fait vite de constater qu’il suffit de 1,5% de population active pour renverser un pays. Les masses aveugles suivront presqu’automatiquement parce que trop apeurées de représailles.

Mon petit doigt me dit que nombreux d’entre vous préféreront appeler vos enfants par des prénoms non-européens et les convertir à l’islam, manger hallal à la cantine scolaire pourvu que la violence épargne votre famille. Les islamistes le savent très bien. Et il faudra que beaucoup de sang soit encore versé pour que la vraie Résistance française s’organise et qu’un vrai leader national fasse son apparition.

La victoire ne s’achète qu’à l’aune du sang versé et les Français ne sont pas encore prêts à verser leur dîme pour la survie de la République, mais les islamistes, eux, meurent déjà au nom d’Allah. Je donne au moins 20 voire 30 ans à la France pour qu’elle renaisse de ses cendres mais pour ce faire il faudra une autre génération digne de celle qui a engendré l’OAS.

Alexandre Artamonov

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Lire également : 
Porochenko veut décorer le pilote turc !

26/11/2015

Turquie, les 17 secondes de vérité

Un magnifique coup de gueule comme on les aime...
Signé du toujours excellent Slobodan Despot
(Souvenez-vous... Le syndrome Tolstoïevsky)

N'oubliez pas d'ajouter son blog à vos favoris ! 

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Turquie, les 17 secondes de vérité

« J’ai personnellement donné l’ordre », dit le Premier ministre turc 

Le Malin ricane. Le premier ministre turc vient d’assumer la responsabilité de la destruction du SU-24 par l’aviation turque. Lors d’une assemblée de son parti, il a déclaré qu’il avait personnellement donné l’ordre de l’abattre.

Or son gouvernement lui-même a affirmé que le bombardier russe n’avait traversé son espace aérien que durant 17 secondes. (Ce alors que le pilote survivant conteste avoir même effleuré la Turquie.) Dans ces 17 secondes, l’information aurait donc remonté la chaîne de commandement, suivie de l’ordre de tir en sens inverse. Dans ces 17 secondes — enfin, beaucoup moins — le chef d’un gouvernement membre de l’OTAN aurait donc eu le temps de soupeser une décision susceptible de conduire à une guerre mondiale. Cette revendication venant du plus haut lieu ne peut logiquement signifier que deux choses : soit les dirigeants turcs sont fous, soit ils sont menteurs.L’hypothèse la plus crédible, au vu des justifications de leur geste, demeure celle du mensonge hypocrite. 

Auquel cas le ministre russe des Affaires étrangères aurait eu pleinement raison d’affirmer que cette attaque était un «acte prémédité». Et s’il s’agissait d’un acte prémédité, en vue de quoi était-il prémédité, sinon en vue d’une escalade incontrôlable du conflit ? (Escalade que la Russie a vu venir et soigneusement éludée.) 

Il est fascinant de penser que ce régime prédateur, corrompu, fanatique et hypocrite, qui vante publiquement la légitimité de l’Etat islamique, est en alliance de guerre, et donc de sang, avec les couperosés buveurs de bière allemands, les joyeux bâfreurs belges, les drogués bataves, les bobos français et diverses lavettes scandinaves. Et que par conséquent — et par contrat — toute cette belle Atlantide-Europe boboïsée devrait se confronter demain à la machine de guerre russe parce que MM. Erdogan et Davutoglu se seraient cachés sous ses jupes après avoir délibérément excité l’ours.

Chers amis, chers voisins, chers héritiers d’Aristote, de Villon, de Cromwell et des Lumières, êtes-vous complètement cinglés, ou seulement endormis pour mille ans par un mauvais sortilège ?

Slobodan Despot

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20/11/2015

Les envoyer auprès de Lui, c’est mon affaire...

Vladimir Poutine :
« Pardonner aux terroristes, c’est le rôle de Dieu,
les envoyer auprès de Lui, c’est mon affaire ».

Un article paru sur Résistance Républicaine

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« Pardonner aux terroristes, c’est le rôle de Dieu, les envoyer auprès de Lui, c’est mon affaire ». Ce sont les mots forts du Président de la Russie, Vladimir Poutine, en officialisant l’attentat terroriste djihadiste, qui a touché l’avion qui a explosé en Egypte avec 224 personnes à bord.

La journaliste de l’agence russe RT, Remi Maalouf, a publié sur son twitter ces déclarations, qui se sont répandues rapidement.
Pendant la conférence de presse dans laquelle on a communiqué les conclusions de l’attentat du Sinai, Poutine a averti publiquement les djihadistes : « Nous irons vous chercher jusqu’au bout du monde, et là, nous vous tuerons. »

« Sur le vol a explosé un artefact explosif d’une puissance de 1,5k de trilite. Le résultat a été la désintégration de l’appareil en plein vol» informa le chef du Service Fédéral d’Information (FSB, succédant à l’ancien KGB), Alexandre Bortnikov.

Vladimir Poutine a annoncé durant la conférence de presse que la Russie intensifiera ses bombardements en Syrie contre l’Etat Islamique : « Le travail de notre aviation de guerre non seulement doit continuer. Il doit s’intensifier de telle manière que les criminels comprennent que la vengeance est inéluctable. »
La guerre ne fait que commencer.

Publié Miércoles, 18 Noviembre 2015 / 16:12.
Escrito por Mediterráneo Digital, le journal politiquement incorrect.
Traduit de l’espagnol par Alain de Catalogne.

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Note/addentum de Résistance Républicaine : Je pense que les commentaires sont inutiles, on mesure le gouffre qu’il y a entre notre « flamby » et un vrai chef d’Etat déterminé !

Note/addentum de K. : entièrement d'accord ! 

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Se coincer quelque chose...

We Loverov !

Les pays de l'Occident "pourraient se coincer quelque chose" s'ils essayaient de baisser un nouveau rideau de fer sur la Russie, a plaisanté le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov dans une interview à la "Radio de la Russie". (X)

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29/08/2015

L’armée silencieuse des martyrs du Donbass.

L’armée silencieuse des martyrs du Donbass.

 

DSC_0388-300x199.jpgDes milliers de civils tués, certainement plus de 10.000 avec une fourchette haute plus importante car il faut comprendre dans les victimes toutes celles tombées dans la zone ukrainienne, celles des répressions et massacres de Kiev dans les différentes villes au moment de l’Euromaïdan, mais aussi au commencement des tueries en Ukraine et dans le Donbass orchestrées par le régime de Porochenko. Les morts sont une chose, mais il y aussi les blessés très nombreux parmi les civils, peut-être le double des morts ? Les chiffres donnés sont manipulés notamment par les régimes qui soutiennent Kiev et les comptages toujours difficiles. Une partie d’entre eux sont désormais estropiés, ils ont perdu bras, jambes, la vue et se retrouvent dans des situations infernales.

 

La blessure grave, l’amputation, Svetlana Kozïr l’a connu l’an dernier. C’était le 16 août 2014, dans une offensive terrible et menée par les forces ukrainiennes, la poussée des bataillons de massacreurs fut bien proche d’enfoncer un coin mortel dans la Novorossia. L’objectif des Ukrainiens était de couper en deux les deux républiques autoproclamées du Donbass. Dans ce mouvement, les Ukrainiens s’engouffrèrent dans ce qui devait être plus tard le chaudron et la fournaise de Debaltsevo et Gorlovka. Dans leurs progressions ils rencontrèrent de fortes résistances dans chaque localité rencontrée. Le 16 août, ils arrivèrent devant Jdanovka, petite ville au Nord-Est de Donetsk qu’ils emportèrent d’assaut dans un chaos indescriptible. Peuplée d’environ 12.000 habitants avant la guerre, la ville paisible subit un bombardement incohérent qui ne vise pas forcément les forces insurgées mais plutôt les populations civiles. Svetlana et sa famille qui habitent un appartement au premier étage d’un petit bâtiment se réfugient immédiatement dans leur intérieur. Alors qu’ils prévoyaient de se protéger avec leurs matelas et quelques meubles, l’obus assassin frappe alors de plein fouet leur logement.

 

Dans leur maison c’est le carnage, le mari de Svetlana gît tué sur le coup dans les décombres avec son petit garçon à peine âgé de six ans. Lui aussi est mort. Mais l’obus n’a pas fait que tuer mari et fils, son bras gauche a été arraché par le projectile. Elle sera sauvée par les secours qui l’emporteront vers un poste de secours où elle subira l’amputation de son bras mutilé très haut sur l’avant-bras. La jeune femme nous raconte presque sans expression cette scène d’horreur, elle ne versera pas une larme. A côté d’elle se trouve Sacha (Alexandra), sa petite fille de bientôt 11 ans ayant survécu à l’explosion sans blessure. L’orpheline écoute sa mère avec attention, mais bientôt les désirs de jeu de l’enfant reprennent leurs droits. A leur rencontre sont venus notre équipe de tournage de Novorossia.TV mais aussi Elena Pavlenko, une jeune députée du Conseil de Donetsk. La jeune politicienne enserre à plus reprise la jeune enfant. Sur les lieux du drame, les deux survivantes resteront d’un courage rare et exemplaire, je ne sais pas si au récit des événements de cette tuerie, si elle avait touché les miens, j’aurais pu rester stoïque. Il est toutefois certain qu’à l’intérieur le désarroi et une profonde tristesse habite son âme.

 

Elena est venue à leur rencontre car elle organise avec d’autres responsables de Donetsk et avec un important financement d’un donateur allemand (25.000 euros) des vacances pour les enfants du Donbass. Ce n’est pas le premier voyage, d’autres enfants grâce à l’aide d’activistes slovaques ont déjà été conduits en colonie de vacances en Crimée. Pour son départ, Elena est venue régler elle-même chez un notaire les papiers nécessaires pour le départ de la toute jeune fille. En mon nom personnel et sur les fonds collectés auprès de centaines de gens que j’ai rencontré entre mai et juillet dernier, je remets à sa maman la somme de 5000 roubles. Je m’excuse presque de la modeste somme, mais les regards de Svetlana sont brillants, j’apprendrai bientôt qu’il s’agit pour elle de 2,5 fois sa pension d’invalidité pour un mois… C’est le cœur à la fois léger et lourd que nous repartirons d’ici. J’aurais eu le temps d’interroger Sacha et de lui confier aussi l’un des christs que je portais au cou, une croix en argent orthodoxe cerclée de petits rubis, « Que Dieu te garde Sacha ». C’est la première fois de sa vie qu’elle part en vacances aussi loin, elle sera avec d’autres enfants, certains de ses amis. Trois semaines de bonheur, pour une orpheline, quel cadeau infime pour elle qui a perdu son père.

 

C’est égal, elle paraît heureuse et s’amuse de la caméra de Vyacheslav, notre cameramen. Sa mère est très modeste et simple, timide et intimidée elle n’ose pas dans sa pudeur étaler son malheur, admirable femme. Je la questionne toutefois, évoque l’avenir du pays, de la Novorossia : « c’est égal que nous soyons dans la Russie ou indépendant, ce sera bien, mais jamais avec les Ukrainiens, plus jamais ! ». Elle n’ajoutera aucune autre parole, cette femme digne, honnête et émouvante durant les heures que nous passerons avec elle, ne prononcera aucune parole de haine sur les Ukrainiens, aucune invective, aucun reproche, seulement l’impossibilité de vivre avec ceux qui ont tué son petit garçon et son mari. Continuera-t-on à les tuer pour avoir choisi de reprendre leur liberté et indépendance ? Et nous en France continuera-t-on à verser de l’argent pour financer les obus qui les tueront ?

 

Laurent Brayard, août 2015.

 

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26/08/2015

En Europe, c’est l’été.

En Europe, c’est l’été.

Par Israël Shamir – Le 17 août 2015 – Source plumenclume.org

L’été règne sur toute l’Europe, de la Grèce jusqu’à la Suède. Les vacances ont vidé les bureaux, et rempli les plages. Des fleurs partout, des fleuves de parfums. Des festivals sans fin, des performances et autres installations artistiques agrémentent les anciennes cités désuètes. Mais ça ne se passe pas comme d’habitude. Le vieux continent est malade. La vie est belle, mais pas pour vous. Les bonnes choses vous passent sous le nez, et le chômage est au plus haut.

L’austérité pour tous sauf les banquiers et les politiques corrompus, c’est le mot d’ordre. La protection sociale rétrécit, mais les budgets militaires grossissent, et l’Otan n’en finit pas de s’étendre. En dehors de l’Allemagne, les pays européens membres sont désindustrialisés, leurs travailleurs perdent leur savoir-faire et finissent dans les services. Un caddie de golf risque moins de créer des problèmes qu’un ouvrier de l’industrie, certes. La démocratie n’est jamais tombée aussi bas.

Après la débâcle Syriza, en Grèce, on ne fait plus guère confiance à la rhétorique gauchiste. De toute l’histoire moderne européenne, on avait jamais vu une reddition aussi honteuse, une telle trahison. Alexis Tsipras est une traduction grecque de Vijkum Quisling, ou Maréchal Pétain. Il a reçu le plein soutien de son peuple, et il s’est dégonflé ! La première décision de Syriza après son fiasco a été d’entamer une coopération militaire avec Israël. Aube Dorée, le mouvement d’extrême-droite, n’est plus seul à clamer contre cet abaissement devant les banquiers, mais c’est un parti dans l’opposition, et il ne risque rien à pousser des coups de gueule.

Les partis de gauche et de droite sont maintenant bien semblables. L’Europe n’a plus ni vraie droite ni vraie gauche. La pseudo gauche soutient les guerres impérialistes et émascule l’homme. La pseudo droite soutient les guerres impérialistes et supprime les impôts pour les riches. C’était plus drôle avec les partis traditionnels, avec la droite qui haïssait les financiers et maintenait la tradition, l’Église et la famille, tandis que la gauche attaquait la bourgeoisie, se souciait des travailleurs, et se battait pour la justice sociale. Dans les termes de Douglas Adams, «les hommes étaient de vrais hommes et les femmes de vraies femmes, chacun à sa place et les vaches étaient bien gardées». Maintenant tous poussent les femmes dans les conseils d’administration des multinationales, se disputent les donations juives et rivalisent de risettes pour se faire bien voir des gays.

Sur des questions importantes, c’est du pareil au même, comme disait, perspicace, ma logeuse chinoise. La gauche veut plus d’immigration, pour des raisons humanitaires et par antiracisme, tandis que la droite est d’accord, pour avoir une main d’œuvre moins chère et pour forcer les natifs à plus de docilité. Le résultat est le même.

Les gens qui se voient menacés par l’immigration votent souvent pour la droite,  parce qu’ils pensent qu’une petite dose de racisme débouchera sur de réelles actions. Mais c’est en vain. Prenez Nicolas Sarkozy, ex-président français. Il flatte son électorat avec une ligne raciste, mais c’est lui qui a bombardé la Libye et envoyé plus d’immigrants en France qu’aucun gauchiste ne l’a jamais fait. A moins, bien sûr, que le président actuel François Hollande ne parvienne à le surpasser, puisque son soutien aux rebelles syriens a déjà envoyé un million de réfugiés en Europe.

Au Royaume-Uni, Tony Blair a détruit le parti travailliste. Il a fait du vieux parti des ouvriers et des mineurs des éclaireurs des tories. Il a soutenu absolument toutes les campagnes militaires US et y a gagné le titre honorable de caniche britannique. Favori d’Israël et du lobby israélien, c’est un autre de ses titres de gloire. Il n’est plus au pouvoir, mais ceux qui le soutenaient dans son parti sont toujours là. Et ils continuent à perdre…

Les travaillistes voudraient que ce soit Jeremy Corbyn qui soit leur chef. Blair le déteste, ce qui est sûrement une excellente recommandation. On s’attend à ce qu’il soit un nouveau Michael Foot, qui était un grand homme à l’ère pré-thatcherienne. Il veut le  désarmement nucléaire, il a parlé en termes positifs du Hamas et du Hezbollah, il a voté contre la Marche vers l’Est des guerres américaines.  Littlewood l’a appelé «l’antidote à l’emprise sioniste». Il pourrait changer la donne, s’il parvenait au pouvoir. Mais les autres vont le maintenir à l’écart, parce que les gens qui sont derrière les partis préfèrent des politiciens faibles et perméables.

Le parti d’extrême-droite BNP se veut l’héritier des vrais travaillistes. Ils disent que les ouvriers anglais votent pour le BNP. Ce qui ne manque pas d’un certain fondement. Car la vraie gauche, qu’il s’agisse de la variété chinoise, soviétique ou cubaine, était strictement anti-immigration. Mais l’immigration n’est qu’une question parmi d’autres, alors que le BNP a rétréci son horizon pour ne développer qu’une politique anti-musulmane. Ils n’essayent même pas d’affronter le vrai problème, qui est la richesse démesurée de quelques-uns, édifiée sur l’appauvrissement de vastes majorités.

Le Front national en France a des côtés plus reluisants, et plus de soutiens. En fait, le FN est probablement le seul parti bien vivant en France, les autres sont morts. Il veut sortir la France de l’Otan et de l’Union européenne, pour retrouver l’amitié avec la Russie et la souveraineté nationale. Leur arrivée à l’Élysée changerait bien des choses en Europe, mais cela arrivera-t-il un jour?

Le grand problème de l’Europe, c’est l’occupation américaine. Elle est là, la source de des problèmes. En 1945, le continent a été partagé entre US et URSS. En 1991, les Russes se sont retirés, mais aucune liberté ne s’en est suivie : ce sont les US qui ont pris la place, occupant toute l’Europe, depuis Narva en Estonie jusqu’à Oeiras au Portugal, depuis la Baie de Souda en Crète jusqu’à Orland en Norvège. Sur ces fondements militaires, ils ont renforcé la pression politique. Et leur joug pèse sur les pierres grises de la vieille Europe. Les mesures qu’ils forcent les dirigeants européens à prendre nuisent  au continent. Les dirigeants prennent les mauvaises décisions, et c’est le peuple qui trinque.

L’Europe avait un excellent client pour sa production. La Russie lui achetait machines-outils, fromages, vins et voitures, et fournissait du gaz et du pétrole à bon marché. Les US ont mis fin à ces échanges profitables. Et maintenant les Européens bradent leurs pommes et leurs fromages, dépensent plus en achats militaires, et importent du gaz américain cher.

L’Europe avait un ami quelque peu excentrique, Kadhafi, le colonel à la retraite. Il vendait du pétrole bon marché, importait des marchandises européennes pour sa petite population prospère, et donnait du travail à des millions d’Africains. Sous la houlette US, l’Otan a bombardé la Libye, sodomisé le colonel avec un flingue, l’a lynché, et anéanti son pays. Les Africains déferlent, depuis, en Europe, sur tout ce qui peut flotter sur la mer.

L’Europe pouvait compter sur l’amitié de l’ex-ophtalmologiste de Londres, qui était à Damas. Il y ramenait des marchandises européennes, gardait son pays à flot, fréquentait Paris. Sous la direction US, cet homme aimable s’est vu traiter de génocideur, et ils ont armé ses ennemis, les takfiristes fanatiques. Son pays a été dévasté et des millions de réfugiés syriens ont fui en Europe.

Ils y ont retrouvé les Irakiens, dont le pays a été ruiné par l’invasion US de 2003. Le pays le plus avancé du Proche-Orient, avec un système d’éducation et de santé gratuites, avec les meilleurs ingénieurs et une armée solide, est devenu un nid de bagarres sectaires, tandis que des millions d’Irakiens rejoignaient l’Europe. Les Afghans, Palestiniens, Arabes, Africains se retrouvent en Europe, s’ils parviennent à échapper au poing d’acier qui écrase leurs pays.

Mon ami Roger van Zwanenberg, éditeur de la maison Pluto, estime que l’effroyable dévastation du Proche-Orient du fait des guerres commandées par les États-Unis s’explique par l’influence sioniste et correspond au souhait israélien de voir la région fragmentée et soumise dans le cadre du paradigme d’un Grand Israël du Nil à l’Euphrate.

C’est tout à fait plausible, si on garde à l’esprit la scène récente de Netanyahou devenu objet de vénération au Congrès US. Les promoteurs des guerres étaient principalement les néocons archi-sionistes, Wolfowitz, Perle et consorts. Ils ont poussé à l’invasion de l’Irak et voulaient en faire autant en Iran. Mais pourquoi ces mégalomaniaques borneraient-ils leurs rêves de suprématie au Proche-Orient? Pourquoi ne pas viser la domination mondiale? S’ils veulent mettre en pièces les vieilles sociétés orientales, ils peuvent le faire aussi en Europe, et y mettre le paquet. L’Europe est bel et bien une victime du conflit. Sans ces guerres, les vagues d’immigrants ne recouvriraient pas l’Europe comme le Proche-Orient. Par conséquent, quels que soient les commanditaires de ces guerres, ils ont probablement essayé de démolir l’Europe comme le Proche-Orient, et l’Europe était la plus importante des victimes visées, parce qu’il fallait lui briser la nuque, la faire rentrer dans le droit chemin de la domination mondiale. Et le Proche-Orient n’est pas la seule source de réfugiés et d’immigrants.

Jadis, l’Union européenne était une union des États issus de l’empire de Charlemagne, et peut-être une idée qui se tenait. Mais les US ont pris le contrôle de Bruxelles et ont forcé l’intégration des États de l’Est européen, sous la coupe de dévots de l’Amérique furieusement anticommunistes. A l’intérieur de l’UE, les pays développés de l’ancienne union ont dévoré les pays périphériques moins développés. Les États baltes ont perdu environ un tiers de leur population ; la Lettonie est passée de 2,7 millions d’habitants à la fin de l’époque soviétique à 1,9 millions aujourd’hui, la Lituanie est passée de 3,7 millions à 2,9 millions. La Roumanie, alors que la poigne d’acier de Nicolas Ceausescu l’avait libérée de ses dettes, se retrouve maintenant à nouveau endettée jusqu’au cou. Et les citoyens appauvris de tous ces pays se précipitent en masse dans les villes de l’Ouest.

Prenez le cas de la Suède. C’est l’été le plus froid depuis plusieurs années, en Suède. Le mois de juillet a été aussi frais qu’un mois d’avril, mais cela n’a nullement arrêté l’afflux des réfugiés. Devant chaque supermarché, chaque station de train ou de métro en Suède, depuis Kiruna jusqu’à Lund, vous tombez sur un mendiant rom avec une soucoupe en plastique à la main. Ils sont venus de Roumanie et de Hongrie, les États qui font partie de l’UE, qui ont certes un niveau de vie assez bas, mais qui appartiennent à l’espace Schengen, ce qui les dispense de visa. Ils ne sont pas venus de leur plein gré, mais ont été expédiés par leurs  barons qui se sont construit de grands châteaux dans le plus pur style tzigane tape-à-l’œil, sur la redevance que les mendiants leur versent. Après trois mois à battre le pavé suédois, ils rentrent chez eux, remplacés par d’autres arrivages de mendiants.

La police suédoise n’interfère pas avec ces mendiants. Ils disent qu’il n’y a pas de loi pour chasser les gitans. Ils ont peur de se voir condamnés pour racisme s’ils le faisaient. Les romanichels sont hauts en couleur, hommes et femmes, âgés ou plus jeunes, et ne sont jamais plus que deux à chaque emplacement. La logistique ne peut pas être facile, avec tant de gens à répartir si uniformément, mais les barons roms savent s’y prendre : je n’ai jamais observé de bagarre, ou même d’altercation, entre les mendiants. Ils ont même été entraînés à sourire ; quelque chose que vous ne verrez jamais en Europe de l’Est, où les mendiants sont aussi sinistres que les immeubles des années 1950.

Les réfugiés de Somalie et du Soudan, victimes des interventions US précédentes, ne mendient pas. Ils se regroupent dans des villes suédoises plus petites ; l’État suédois paye pour leur hébergement et leur donne quelques subventions pour vivre. Ils ne sont pas autorisés à travailler, et de toute façon personne n’a besoin d’eux comme ouvriers. Ils restent là, simplement, en attendant que leurs demandes d’asile aboutissent, généralement sur un refus. Après quoi ils disparaissent des radars.

Mais ne versez pas trop de larmes sur les Suédois. Les tauliers se font beaucoup d’argent dans ce système, de même que les fonctionnaires. L’État suédois paye 500 couronnes (50 euros) par nuit et par chambre. C’est une excellente affaire dans les petites villes reculées. Habituellement, l’État préfère des hôtels avec beaucoup de chambres à offrir, et ils renvoient l’ascenseur au fonctionnaire chargé de l’hébergement. Curieusement, un individu considéré comme le plus ouvertement raciste de toute la Suède, qui se bat contre l’immigration, a fait des profits rondelets avec l’hébergement des Somaliens ; il s’appelle Bert Karlsson.

Outre les réfugiés et immigrants fournis par les guerres US et l’élargissement de l’UE dicté par les US, la Suède et les autres pays de l’Ouest se trouvent minés par la campagne, en provenance aussi des US pour réorganiser la vie en termes de genres. Il y a peu d’enfants ; des écoles ont été fermées, les gays ont absolument tous les droits ; les femmes sont prioritaires pour les emplois. Les garçons ont moins d’opportunités : depuis les chaînes publiques de télé jusqu’aux coiffeurs, les emplois sont pris par les femmes. Les prêtres de l’Église suédoise sont principalement des femmes ; l’État choisit et rémunère les évêques connus pour leur soutien au sacerdoce féminin.

«La Suède est l’Arabie saoudite du féminisme», a conclu Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, bouclé pour la troisième année consécutive à l’ambassade d’Équateur à Londres. C’est un expert en la matière : deux petites Suédoises avaient porté plainte pour viol, simplement parce que dans le cadre d’une relation pleinement consentie, elles avaient eu un rapport sexuel non protégé. La procureuse Marianne Ny a dit qu’en de tels cas, l’homme doit faire de la prison, même s’il s’avère qu’il était innocent. La Suède a le taux de plaintes pour viol le plus élevé au monde, et le taux le plus élevé de plaintes fallacieuses pour viol rejetées. Ce qui ne fait pas la promotion de l’amour entre personnes de sexe opposé.

L’éducation fait tout ce qu’elle peut pour émasculer les hommes, et les splendides Suédoises préfèrent souvent des mâles étrangers plus masculins (je le sais, étant précisément un mâle étranger basané et, qui plus est moustachu, j’avais épousé une ravissante Suédoise il y a bien longtemps). Les Suédois se marient de moins en moins, et ont de moins en moins d’enfants, malgré les aides gouvernementales très généreuses.

Bien des observateurs conservateurs accusent les féministes. Même si les hommes ont certainement perdu la guerre, la victoire des femmes ne résiste pas à l’examen. Jadis les femmes avaient le choix : rejoindre le monde des gens très occupés ou rester à la maison avec les enfants. Jadis, les femmes pouvaient élever une famille sans se sentir coupables. Jadis les femmes pouvaient aimer être courtisées. Tout ça c’est fini, la dévirilisation des hommes a rapidement entraîné la déféminisation des femmes.

Il y a un sous-entendu commun aux tenants du pouvoir : c’est que les hommes féminisés sont plus faciles à contrôler, et c’est pour  cela qu’ils encouragent l’homosexualité. Déviriliser l’homme est un pivot dans la reprogrammation de l’humanité pour qu’elle devienne horde obéissante, parce que les hommes entiers sont imprévisibles. Ils sont prompts à la rébellion, prêts au sacrifice et à l’action. Ce n’est pas une coïncidence si les ennemis de l’empire sont tous des mâles très virils, qu’il s’agisse de Kadhafi, de Castro, de Chavez, de Loukachenko, de Poutine, ou de Julian Assange. Tout devient clair : les hommes sont ciblés pour l’élimination, et les fourmis au travail n’ont pas besoin de sexe.

Les Suédois ont le culte des blacks, qui vient  aussi des USA, à en croire Rachel Dolezal, la militante blanche pour les droits des noirs qui se faisait passer pour  noire. Les noirs sont censés être meilleurs et plus beaux que les blancs. Dans le film Terminator, c’est un savant noir qui invente le truc merveilleux ; il se bat aux côtés de la guerrière blanche contre les méchants hommes blancs. Morpheus, un noir, dans Matrix, est un opérateur de Zion, et il sauve la race humaine. Il y avait un président noir dans Le Cinquième Élément, avant Obama. Bien des Suédois en manque d’enfants ont importé des enfants noirs et asiatiques, autre ligne culturelle instaurée par Angelina Jolie. Ce racisme à l’envers n’est pas différent de la variété ordinaire. Les noirs sont des gens très bien, mais nullement meilleurs que les Suédois roses.

Les Suédois ordinaires sont malheureux. Dans une petite ville avec un haut pourcentage de réfugiés et d’immigrants, ils sont 40% à voter pour le parti d’extrême droite, les Démocrates suédois. Ils sont 12% à l’échelle du pays malgré une campagne féroce contre eux dans les médias.

La gauche a obtenu une majorité relative des sièges au Parlement, après des années de droite au pouvoir. Après l’élection, les gauche et droite officielles ont uni leurs forces sur un programme commun dans le seul but de maintenir les Démocrates suédois en marge, ostensiblement. Les électeurs de gauche se sont sentis bernés. Pourquoi s’en faire et pourquoi voter, si le résultat, c’est un arrangement entre les partis?

Ne versez pas une larme sur le sort des Démocrates suédois non plus. Il y a un timide parti pro-sioniste dont l’action la mieux connue en matière politique a été d’installer une parade gay dans un quartier musulman. Ils s’extasient devant l’État juif, comme leurs frères dans les autres pays d’Europe. Ils acceptent l’emprise de l’idéologie du genre, qui est le programme du nouvel ordre mondial. Ils sont contre les immigrants et les réfugiés, mais jamais contre ceux qui envoient les vagues déferler sur la Suède. Au contraire, ils soutiennent le régime de Kiev, bande de bâtards à la botte des néocons, et détestent la Russie comme se doit de le faire tout défenseur du Nouvel Ordre Mondial.

Voilà pourquoi il est bien difficile de voir d’où pourra venir la libération du continent, et si même il en est encore question.

Israël Shamir 

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Israël Shamir peut être joint à cette adresse : adam@israelshamir.net

Article original publié dans Unz Review.

Traduit par Maria Poumier (merci à Freddy).

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Un article découvert sur : Le Saker Francophone

http://lesakerfrancophone.net/en-europe-cest-lete/

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Complément : Quelques pages d'actu à feuilleter

19/08/2015

Sartana : qui a bombardé le village ? Qu'en pensent les résidents ?

Sartana : qui a bombardé le village ?

Note F.E : Regardez très attentivement ces vidéos… Le peuple de l’est de l’Ukraine et de Nouvelle-Russie nous parle !  

Dans la nuit du 16 au 17 août, le bourg de Sartana, 10 km au nord-est de Mariupol, a été bombardé. Deux personnes ont été tuées, 6 autres blessées, 54 maisons touchées dans la partie sud-ouest du village. Les autorités et les médias ukrainiens, suivi à la lettre par nos médias occidentaux se sont empressés d'accuser les forces républicaines dont les positions se situent à plus de 20km . De plus les médias et les autorités de Kiev affirment en chœur (et nos médias le répètent) qu'il n'y aucun soldat dans le bourg ! Or il en est rempli ! Qu'en pensent les résidents ?

Que pensent les habitants de Sartana des journalistes et de l'armée ukrainienne ?

(Sartana est un village de 12 000 habitants (en temps de paix) majoritairement peuplé par des grecs. Ce sont leurs ancêtres transférés de Crimée en 1778 par Catherine II qui ont fondé ce village, et bien d'autres, ainsi que la ville de Marioupol.)

Source vidéos (et sous-titres) : Thalie Thalie

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Pendant ce temps là… Gorlovka, Donbass, Novorossia.

Visite de « L’OSCE »…

Dans l'OSCE il y a le mot "Sécurité"... Les résidents de Gorlovka ne savent plus ce que c'est depuis plus d'un an. Le pilonnage avec une monté d’activité des MLRS ( lance-roquettes multiples) a été un des plus puissants depuis l’hiver dernier et à touché la plupart des zones de la ligne de front de la RPD. 

Source vidéo (et sous-titres) : Thalie Thalie

21/06/2015

Chef de bataillon ukrainien : "99% de mes amis du Donbass haïssent l'Ukraine"

Chef de bataillon ukr. : "99% de mes amis du Donbass haïssent l'Ukraine"

Extrait de l’émission de Savik Shuster "Shuster LIVE", le plus grand talk-show ukrainien. Kiev, le 5 juin 2015. / Source et sous-titres : Thalie Thalie