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01/10/2014

Ukraine : Une émission satirique de la ZDF dénonce la propagande...

Ukraine : Une émission satirique de la ZDF dénonce 

la propagande des mé(r)dias allemands/occidentaux.

 

La troupe de comédiens de l'émission "Die Anstalt program"

joue un sketch à partir d'extraits de news authentiques.

 

En France, ils seraient aussitôt blacklistés.

 

Source : http://www.youtube.com/channel/UCAR5RuPpdE9FAJTwnhfEnUw

Via : http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2014/09/ukraine-une-emission-satirique-de-la.html

 

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Activez les sous-titres.

 

(Via le "petit rectangle" en bas à droite, entre l'horloge et "la roue dentelée").

 

 Un grand merci à Frédérik D. pour nous avoir signalé cette excellente vidéo !  

 

 

10/07/2013

Socialistes identitaires européens

R&A : Comment souhaiteriez-vous voir évoluer notre mouvance à l’avenir ?

 

Roberto Fiorini : Nous avons tout un camp identitaire révolutionnaire à construire. Tout un camp à former, à fédérer, et à mettre au travail. En étant capable de produire nos propres analyses, loin de l’œil libéral qui déforme et conditionne, tout en nous enfermant dans la pensée unique. Que notre camp arrête de penser selon le schéma droite/gauche et même d’accepter de se dire d’extrême-droite, car c’est admettre que l’on peut à un moment ou un autre servir de larbin au capitalisme. C’est insupportable ! Être plus pragmatique, tout en cessant de prendre nos désir pour des réalités. Que se construise l’unité des socialistes identitaires européens. Derrière le terme de socialistes, il faut entendre l’obligation qui s’impose à chacun d’entre nous de se mettre au service de sa communauté sans rien attendre en retour. Nous ne sommes pas les derniers d’hier, nous sommes les premiers de demain. 

 

Roberto Fiorini / Réfléchir & Agir N°44, été 2013. 

 

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27/03/2013

Réfléchir & Agir

Vous ai-je déjà dit à quel point la lecture du magazine « Réfléchir & Agir » était non seulement incontournable, mais carrément vitalobligatoire ? (Néologisme de mon cru, se prononçant avec un très léger temps d’arrêt au milieu du mot – vitalo… bligatoire – afin d’en renforcer l’impact !). Non !?!??

Et bien je répare l’erreur : c’est purement incontournable… et vitalobligatoire !!!

 

Alors hop…

Pour s’abonner, trouver la liste des dealers, etc. 

C'est ici > http://www.reflechiretagir.com/    

 

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Réfléchir et Agir N°43 ( actuellement en kiosque ! )

Entretien avec Jean-Paul Bourre / extrait.

 

R&A : Dans votre dernier livre, il y a un très beau passage où vous dites que vous regardez les films de Carné, Audiard ou Verneuil, non plus pour leurs intrigues archiconnues mais pour leurs décors, tous ces détails qui fleurent bon la France d’avant (hélas). Je vous cite : « Le boucher porte le crayon à l’oreille. Il n’a pas encore de calculatrice. Il prend le temps de compter et de bavarder et on le voit à l’écran découper sa viande, la soupeser amoureusement, la faire goûter des yeux à ses clients ». Pouvez-vous expliquer ces charnelles madeleines de Proust à nos lecteurs… 

 

Jean-Paul Bourre : C’est assez simple. La vérité, c’est que j’ai connu cette France des années cinquante, qu’on a du mal à imaginer aujourd’hui. Moins de monde dans les rues, des artisans, des atmosphères de bistrots, comme dans les villages, quand les quartiers de Paris avaient encore une âme. Le communautarisme n’avait pas encore été inventé. Il y avait la communauté des Français, c’est tout ; avec leurs musiques, les chansons populaires qui passaient à la radio, les films au cinéma, et qui exprimait parfaitement bien l’identité de cette époque, sans que le nom soit prononcé. C’était pas la peine. Toute la France respirait la même atmosphère, ce qui créait une sorte de lien entre les gens, une proximité. C’est une Atlantide oubliée aujourd’hui. Il reste toujours les films devenus « classiques du cinéma français » pour se souvenir.

 

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