12/08/2016
Autriche, Grande Bretagne, Hongrie... les peuples contre les pseudo élites !
Autriche, Grande Bretagne, Hongrie...
Les peuples contre les pseudo élites !
Par Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Editorial du n°43 (été 2016) cliquez ici
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Nous vous le disions dans la précédente livraison de Synthèse nationale : le monde change. En effet, regardez ce qui s'est passé au cours de ces derniers mois autour de nous.
En Autriche d'abord, le candidat nationaliste du FPO arrive au second tour de la Présidentielle en avril, ce qui est déjà en soit une belle performance. Au second tour, évidemment, il doit faire face à l'éternelle coalition des nantis et des profiteurs du Système, regroupés derrière un écologiste sur le retour. Ceux-ci n'ont que de mots assez sévères et de coups bas suffisamment malhonnêtes pour tenter de discréditer celui qui incarne l'espérance nationale et identitaire du peuple autrichien. Pour être sûr de conserver leurs prébendes, ces faiseurs n'ont pas hésité à truquer le bon déroulement de l'élection présidentielle. Mais ce qui est trop gros ne passe plus et les irrégularités constatées furent tellement nombreuses que la Cour constitutionnelle a annulé le scrutin litigieux. Les Autrichiens retourneront donc voter. La camarilla politico médiatique dans son ensemble s'était égosillée pour saluer "la victoire de la démocratie". Pas un mot pour condamner les forfaitures avérées des démocrates autrichiens... Ce qui nous intéresse pour notre part, c'est que pour la première fois depuis longtemps un nationaliste, qu'il soit au final élu ou non, arrive à casser un Système qui, pour beaucoup, y compris dans nos rangs, est jugé inébranlable...
Passons en Grande Bretagne maintenant. Là aussi l'exemple du Brexit mérite d'être médité. Tout d'abord, il y eu l'arrogance d'un Premier ministre en difficultés qui s'auto persuada qu'il allait être plébiscité par un référendum sur l'Europe. Puis, toutes les forces du Système, avec les énormes moyens que cela représente, se sont mises en branle pour faire avaler aux Britanniques la sauce bruxelloise. Tous les arguments, même les plus fallacieux, ont été exploités. Pour faire peur aux Anglais, en cas de mal vote, tout a été imaginé. Et toc, le jour venu, malgré la chape de plomb du prêt à penser, les Anglais ont souverainement décidé de sortir du carcan européen. Nouveau coup dur pour le Système... L'avenir nous dira comment ce Brexit se passera concrètement, mais ce qui compte pour l'heure c'est que, là aussi, le peuple à ceux qui pensaient une fois de plus le maîtriser...
Dur printemps pour les tenants de la pensée unique !
Ces deux exemples démontrent que rien n'est fatal lorsque les peuples se réveillent. Il est vrai que l'endormissement est tel que l'on peut comprendre que certains finissent par se décourager. L'exemple du référendum de 2005 reste dans la mémoire collective. Le peuple français avait alors nettement (55 % de non) refusé le projet constitutionnel européen et celui-ci lui a été imposé malgré tout, avec le Traité de Lisbonne, par les petits valets du Système qui sont sensés gouverner notre pays. Mais 2005, c'était il y plus de dix ans... Depuis, qu'on le veuille ou non, beaucoup de choses ont changé.
Le Nouvel Ordre mondial que voulait nous imposer l'hyper classe mondialiste après la chute de l'URSS au début des années 90 a prit du plomb dans l'aile. La Russie a relevé la tête et l'Amérique, si par chance elle échappe l'hystérique Clinton, adoptera, peut on espérer, une attitude différente de celle qui est la sienne depuis un siècle. Il ne faut donc pas désespérer. La France et l'Europe, telle que nous la concevons, n'ont peut être pas dit leur dernier mot.
Et au-delà de l'Europe, nous pourrions aussi citer l'exemple de la courageuse Syrie baasiste du Président Bachar Al-Assad. Afin d'étancher leur soif de "démocratie" et surtout leur contrôle sur le pétrole, les mondialistes pensaient mettre à bas ce pays, comme il l'ont fait il y a quelques années en Irak, en Lybie ou ailleurs, en se servant des islamistes sanguinaires pour imposer un gouvernement fantoche à leurs bottes. Mais là aussi, ils se sont heurtés à la résistance farouche du peuple et de ses chefs ainsi qu'à la Russie. L'Amérique a visiblement de plus en plus de mal à s'imposer comme gendarme du Monde.
L'exemple hongrois
Prenons maintenant l'exemple de la Hongrie. Nous avons eu le plaisir, lors de notre journée régionale près de Lille fin avril, de recevoir le journaliste magyar Ferenc Almassy venu de Budapest. Celui-ci nous a expliqué la situation dans son pays où le gouvernement semble beaucoup plus s'intéressé au sort du peuple hongrois, lui aussi menacé par l'invasion, qu'aux intérêts de la haute finance apatride. En l'écoutant, je me disais la chose suivante : nous sommes en 2016, il y a 60 ans, en novembre 1956, Budapest et toute la Hongrie se soulevaient contre l'effroyable dictature communiste qui asservissait le pays. Cette insurrection fut réprimée dans le sang par les soviétiques sans que personne, à l'exception bien sûr des nationalistes en Europe, ne réagisse. Les patriotes hongrois, bâillonnés, emprisonnés, assassinés ou contraints à l'exil, s'imaginaient-ils alors un seul instant que, 60 ans plus tard, la Hongrie serait l'exemple à suivre pour les nationalistes européens ? Je n'en suis pas sûr et pourtant, c'est ce qui se passe aujourd'hui.
Le XXIème siècle sera celui du réveil des identités. Dans le cas contraire, le monde deviendrait un vaste cloaque métissé et robotisé juste bon à obéir docilement à ces pseudo élites qui ne pensent qu'à leurs profits. Pour nous le choix est clair. Face à la soumission, nous appelons à une vaste offensive nationaliste et identitaire. C'est de celle-ci dont nous parlerons le dimanche 2 octobre prochain à Rungis (94) lors de notre Xème journée qui marquera aussi le dixième anniversaire de Synthèse nationale.
10:12 Publié dans Histoire européenne, Magyarország, Politique / économie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : identités, réveil des identités, peuples, les peuples contre les pseudo élites
Attentats déjoués en Crimée… contre qui ?
Attentats déjoués en Crimée… contre qui ?
Vladimir Poutine parle de « voie de la terreur » pour l’Ukraine commentant les accusations récentes faite par les services de renseignements russe : plusieurs de leurs homologues ukrainiens auraient tenté de commettre plusieurs attentats en Crimée afin d’y « déstabiliser le climat politique ».
Xavier Moreau, auteur du livre « Ukraine. Pourquoi la France s'est trompée », a une explication simple à donner à l'accroissement de l'activité dans le secteur :
Alors, les autorités de Kiev ont voulu attirer l'attention et faire du bruit, mais du bruit, il n'y en a point !
Pourtant, la situation semble on ne peut plus claire.
10/08/2016
Crimée : la Russie réagira...
Deux militaires russes tués en Crimée.
La Russie ne tardera pas à réagir, déclare Vladimir Poutine.
Selon un bilan révisé, deux militaires russes ont trouvé la mort dans l'attaque des saboteurs ukrainiens en Crimée. La Russie ne tardera pas à y réagir, a déclaré le président russe Vladimir Poutine.
"La Russie a subi des pertes, deux militaires ont été tués. Nous n'allons pas rester de marbre face à cette action", a affirmé le président.
Une tentative de perpétrer un attentat en Crimée est un jeu "très dangereux", selon le chef d'Etat russe, et la Russie fera tout son possible pour assurer la sécurité dans la région, des mesures supplémentaires seront prises.
Il est inutile d'ailleurs de se rencontrer au G20 du format Normandie après l'attaque perpétrée, a fustigé M. Poutine.
"Ce sont des informations très inquiétantes. C'est vrai, nos services spéciaux ont déjoué l'infiltration d'un groupe de saboteurs du ministère ukrainien de la Défense sur le territoire criméen. Et bien sûr, une rencontre au format Normandie dans cette ambiance, surtout en Chine, est dénuée de tout sens", a-t-il souligné. "Selon toute apparence, ceux qui ont pris le pouvoir à Kiev et le détiennent toujours, continuent la terreur à la place de chercher des compromis, à la place de chercher une solution pacifique".
Il s'agit d'un acte stupide et criminel: stupide car il est impossible d'influencer les Criméens de cette manière et criminel puisque des gens auraient pu y périr — ce qui est de fait survenu.
Pourtant, la situation est plus inquiétante qu'on ne le croit, parce qu'il n'y a aucun autre sens dans l'attaque que de distraire l'attention du public ukrainien de son économie en crise, de multiples citoyens en situation précaire, a résumé M. Poutine.
Quant aux alliés occidentaux de l'Ukraine, ils doivent formuler leur position et décider s'ils souhaitent un règlement pacifique ou bien de nouvelles provocations. En premier cas, l'Occident doit exercer une pression en conséquence sur l'Etat ukrainien.
Dans la nuit du 7 au 8 août, des unités spéciales du ministère ukrainien de la Défense ont entrepris une tentative de percée dans la péninsule criméenne qui a été avortée. Deux militaires russes ont trouvé la mort dans le pilonnage depuis le territoire ukrainien.
© Sputnik. Alexei Druzhinin
19:05 Publié dans Histoire européenne, Ukraine / Novorossiya | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ukraine, russie, crimée, vladimir poutine
Bataillon Tornado - Les enfants victimes de la descente de l'Ukraine dans les abysses de la folie collective.
Ignobles parmi les ignobles !
Bataillon Tornado - Les enfants victimes de la descente de l'Ukraine dans les abysses de la folie collective.
Chaque jour voit de nouvelles révélations dans l'affaire du bataillon Tornado.
Rappelons que depuis le 2 août, le procès du chef de ce bataillon et de sept de ses hommes s'est ouvert à Kiev, pour crimes de guerre.
Non pas que Kiev ait réellement décidé de faire le ménage dans les rangs de ses bataillons spéciaux si utiles sur le front du Donbass, mais ceux-là commettaient des crimes tellement voyants qu'il fallait bien sauver les meubles face à la communauté internationale. On arrête donc le chef et quelques soudards, puis on redéploie les autres dans d'autres bataillons aussi criminels que le bataillon Tornado, et on lance la machine judiciaire.
Sauf que les autres soldats de ce bataillon, et d'autres aussi nauséabonds que le bataillon Tornado, ont décidé de ne pas laisser faire la justice. Manifestations violentes et menaces contre les autorités de Kiev n'ont pas manqué pour exiger la libération de ces « héros de l'Ukraine » (et au vu des crimes de ces personnes ce titre a de quoi donner envie de vomir).
Si jusqu'au procès, les crimes reprochés publiquement à ces soldats rassemblaient la cohorte classique des crimes de guerre (pillages, enlèvements, tortures, viols, meurtres), depuis le cinq août et les révélations du procureur militaire, la galerie des horreurs a vu s'ajouter les viols sur mineurs, y compris de très jeunes enfants. Confiants dans leur impunité, ces hommes se sont comporté pire que des animaux.
Les preuves de ces crimes sans nom ont été fournies par les téléphones portables des accusés, et ont été révélées afin de calmer les ardeurs des défenseurs de ce bataillon criminel. D'ailleurs au vu de l'horreur de leurs crimes, la député ukrainienne du parti Front Populaire Tatiana Chernovol a déclaré à la télé ukrainienne que « le député qui défend ces bêtes devrait lui aussi être mis en prison ».
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Lors d'une émission sur la chaîne TV "112 Ukraine", Tatiana Tchornovol, députée de la Rada du parti "Front populaire", est revenue sur l'affaire Tornado - bataillon de volontaires ukrainiens - qui défraie à nouveau la chronique kiévienne, et dont le procès en cours révèle l'horreur des crimes commis par les psychopathes de ce bataillon spécial engagé par Kiev sur le front du Donbass. / Thalie Thalie
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Mais pour huit soldats actuellement jugés, combien d'autres peuvent continuer leurs crimes en toute impunité ? D'autant plus qu'après l'appel de Nadia Savchenko à demander pardon aux gens du Donbass, Rouslan (Ruslan) Onishchenko, le chef du bataillon Tornado, a enregistré un message vidéo dans lequel il admet que lui et ses hommes ont utilisé leurs armes non seulement contre les soldats des deux Républiques Populaires, mais aussi contre leurs femmes, leurs mères, et leurs enfants.
Pour ce fou furieux et ses sbires, tous sont des séparatistes qu'il a considéré comme des traîtres et tué sans hésiter.
Il faut vraiment avoir touché le fond des abysses de la folie collective, pour considérer des enfants comme des terroristes ou des séparatistes tout juste bons à être violés et/ou éliminés.
Combien d'enfants ont ainsi été assassinés par les membres de ce bataillon sous prétexte d'avoir été des séparatistes ? Et combien le sont encore à l'heure actuelle par les membres de ce bataillon encore libres ou ceux des autres bataillons aux principes « éthiques » comparables ? Seuls ces fous furieux le savent, et à la fin de cette guerre nous risquons fort de découvrir des charniers innombrables où les victimes de ces criminels seront retrouvées.
Il est temps pour l'ONU, les médias occidentaux et la communauté internationale de réagir (avec autre chose que de jolies paroles) devant de telles horreurs qui sont plus que prouvées, et qui ont lieu dans un pays ayant signé la charte des droits de l'homme et la convention des droits de l'enfant. Faute de quoi l'histoire, ainsi qu'un tribunal pénal international, jugeront ces pays, leurs journalistes et les institutions internationales comme complices volontaires de ces crimes, aux côtés des criminels qu'ils auront laissé faire par leur silence.
Christelle Néant, pour DONI Press.
Sources :
http://en.news-front.info/2016/08/08/tornado-militants-ad...
https://dninews.com/article/combatants-ukrainian-nazi-bat...
http://alawata-rebellion.blogspot.de/2016/08/la-psychopathie-ukrainienne-6.html
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Vidéo de leur procès, avec des éléments de leurs crimes,
sous-titrée en anglais (activer les sous-titres), âmes sensibles d'abstenir (-18) :
Les fils de truies...
17:47 Publié dans Histoire européenne, Les ignobles, Monde en perdition, Ukraine / Novorossiya | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ukraine, armée ukrainienne, bataillon tornado, crimes de guerre, torture, salopards, novorossia, donbass, viols d'enfants, rouslan onishchenko, semen semenchenko, fils de truies, ignobles parmi les ignobles