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06/02/2015

Islamo-terrorisme : France Police dénonce l’incurie des pouvoir publics.

Islamo-terrorisme : 

Un proche d’Amedy Coulibaly en couple avec une sous-officier de gendarmerie spécialisée dans le renseignement

 

Selon "Le Canard Enchaîné", un homme de l’entourage du terroriste islamiste Admédy Coulibaly, recherché pour trafic d’armes, était fiancé avec une femme gendarme, agent du renseignement.

 

« Amar R., un individu recherché pour trafic d’armes, avait été suivi par les enquêteurs de la direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) dès le lendemain de l’assassinat par Amédy Coulibaly de la policière municipale à Montrouge. Quelques heures avant la prise d’otages de l’Hyper Cacher, Amar R. est vu en compagnie de l’assassin.

Selon Le Canard enchaîné de ce mercredi, le service de renseignement avait poursuivi la filature d’Amar R. et constaté qu’il avait ses entrées au fort de gendarmerie de Rosny-sous-Bois (93).

Sa fiancée, selon l’hebdo satirique, est sous-officier du renseignement dans ce centre d’élite de la gendarmerie. Amar R. a pu entrer et sortir de cette forteresse avec et sans sa compagne. Il faisait pourtant l’objet d’un mandat d’arrêt européen. Il a finalement été interpellé le 23 janvier. Jusqu’à présent, sa fiancée n’a pas été inquiétée. »

Source

 

Victor De Bann, Pour NationsPresse.info, le 04 février 2015.

Article source : 

http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/un-proche-damedy-coulibaly-en-couple-avec-une-sous-officier-de-gendarmerie-specialisee-dans-le-renseignement

 

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Islamo-terrorisme :

France Police dénonce l’incurie des pouvoir publics

 

Communiqué du Syndicat France Police (SFP)

 

SFP-France-Police.pngLa sémantique utilisée par l’Establishment pour désigner l’attentat perpétré par Moussa Coulibaly contre trois militaires français à Nice est de nature à minimiser la réalité des faits et à tromper l’opinion publique sur la réalité de la situation.

L’expression « attentat terroriste islamiste » est bannie du langage public pour être remplacée par le terme plus consensuel « d’agression de militaires ».

Et pour cause, les pouvoirs publics sont directement responsables de la présence de Moussa Coulibaly à Nice en l’ayant empêché de partir rejoindre les rangs de Daesh en Syrie et en ne prenant pas à son encontre de mesures de privation de liberté.

Madame Taubira et consorts veillent à préserver les libertés publiques des terroristes jihadistes.

Il s’est ainsi produit et il se reproduira ce que France Police annonce depuis des mois ; un jihadiste empêché de partir faire le jihad en Syrie le fera en France.

 

Rien depuis les attentats de Charlie Hebdo n’a changé hors mis avoir renforcé le plan Vigipirate, mesure d’ailleurs très critiquable.

Avoir opté pour une présence visible devant les lieux sensibles est absurde. D’abord parce que désormais les emplacements de tous les lieux sensibles sont clairement identifiés, ensuite parce que cette présence ne dissuade en rien les passages à l’acte, l’attentat de Nice en est la preuve.

Le ministère de l’Intérieur aurait pu opter pour une sécurisation des points sensibles avec des personnels armés en tenues civiles et véhicules banalisés pour plus de discrétion et d’efficacité. Mais politiquement mettre des militaires à la vue du public rapporte plus dans les urnes, peu importe le bilan final.

Cette incurie des pouvoirs publics à prendre des mesures pour assurer la sécurité des Français est aggravée par une situation bien plus inquiétante encore, une possible infiltration de notre appareil de sécurité intérieure et extérieure.

 

Amar R., complice d’Amédy Coulibaly lui-même co-auteur de la vague d’attentats des 7, 8 et 9 janvier 2015 entretiendrait une relation amoureuse avec Emmanuelle, sous-officier du renseignement de la gendarmerie nationale convertie à l’islam depuis deux ans.

Le sous-officier Emmanuelle, qui porte le niqab hors service, aurait permis à Amar R. de pénétrer à plusieurs reprises au sein du fort de Rosny, un lieu qui n’a rien d’anodin. Notre sens des responsabilités nous interdit d’indiquer ici l’ensemble des services qui utilisent ces locaux ; la presse ne l’ayant fait que partiellement.

Accessoirement, Amar R., interpellé le 23 janvier dernier, connu pour trafic de stupéfiants et trafic d’armes faisait l’objet d’un mandat d’arrêt européen.

Réactions de la gendarmerie ? Aucune.

La gendarmerie estime qu’il n’y a pas de signe de radicalisation chez Emmanuelle et qu’aucune infraction n’a été relevée contre elle.

Côté ministère ? Rien non plus. Le ministre est-il seulement au courant ?

 

France Police demande à Monsieur Bernard Cazeneuve une enquête administrative transparente en co-saisine police / gendarmerie pour faire toute la lumière sur ces faits ainsi que la suspension immédiate du sous-officier de la gendarmerie impliquée en attendant les conclusions de l’enquête.

Si les faits sont avérés, Emmanuelle ainsi que les membres de sa chaîne hiérarchique impliqués par leur inaction doivent être évincés de la gendarmerie nationale.

Le placement en garde à vue de Bernard Petit, patron de la PJ parisienne, ne doit pas nous détourner des vraies menaces.

 

Sarah Jay, Pour NationsPresse.info, le 05 février 2015.

Article source.

http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/islamo-terrorisme-france-police-denonce-lincurie-des-pouvoir-publics

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Amédy Coulibaly

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