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16/11/2015

Attentats de Paris et de Saint-Denis / Syrie

Attentats de Paris et de Saint-Denis : l’enquête progresse, au moins une équipe jihadiste toujours dans la nature.

Chaque jour, les éléments que nous arrivons à glaner et à recouper confirment ce que nous affirmons depuis le début : les équipes opérationnelles qui ont réussi ces attentats sans précédent sur notre sol sont le fait de plusieurs groupes opératifs composés de « Français » ou de francophones issus des banlieues de l’islam, délinquants multirécidivistes radicalisés, ayant été formés à l’étranger dans les rangs jihadistes (al-Qaïda ou Daech), puis revenus clandestinement sur notre sol au nez et à la barbe des « services ».
Ces équipes étaient secondées par des opératifs étrangers infiltrés parmi les « migrants » qui leur ont fourni tous les moyens pour agir avec une efficacité redoutable. Nous affirmons de surcroît que plusieurs de ces équipes de tueurs sont encore dans la nature.

L’enquête avance, lentement. Il est évident que les autorités ne disent pas tout. Pour, bien entendu, protéger le plus possible les investigations et se prémunir de fuites pouvant profiter aux tueurs, mais aussi parce que le pouvoir en place a décidé de taire certaines choses. Au plus au sommet de l’Etat, on était au fait que des attentats de cette ampleur pouvaient se produire très bientôt. Mais on a préféré laisser faire, par bien-pensance et par lâcheté. Car on n’ose pas imaginer une quelconque duplicité afin de forcer une opinion à accepter d’entrer en guerre en Syrie contre l’intervention russe, justement au moment où cette dernière vient d’affaiblir considérablement les bandes jihadistes…
(…)
Depuis des mois, le pouvoir en place avait été prévenu que l’Etat islamique préparait des attentats d’une ampleur inédite sur le territoire français et visait même des lieux hautement fréquentés. Depuis des semaines, ce même pouvoir présidé par François Hollande était parfaitement informé, de la part notamment des services britanniques et de la sécurité d’Etat russe, de l’infiltration de terroristes islamistes parmi la vague d’immigrés clandestins en provenance du Proche et du Moyen Orient.
Nous savons aussi par le journal serbe
 Blic que la BIA (service de sécurité serbe) avaient averti Paris de l’arrivée de jihadistes par les Balkans, fondus dans la masse des « migrants ». A l’évidence, malgré ces avertissements fondés, rien ne semble avoir été fait pour éviter la dramatique soirée du 13 novembre. Pire : comme il abandonna ses compatriotes à leur propre sort dans les minutes qui suivirent l’attentat au Stade de France, François Hollande a laissé depuis des mois (si ce n’est des années) ses concitoyens totalement démunis face à la menace islamiste. La lâcheté est un trait de caractère majeur chez le locataire de l’Élysée et elle est particulièrement bien ancrée au sein des élites qui nous dirigent, qu’elles soient de droite ou de gauche. Et il n’y a que les naïfs, les sots et les crapules à s’en étonner ou à refuser de voir les choses en face.

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CT1GiYAUsAAv6Z-.jpgLe moment où Hollande apprend par sa sécurité que sa politique mène au chaos…
Dans quelques secondes, il fuira par hélicoptère le Stade de France,
laissant ses concitoyens à leur sort… La lâcheté, c’est maintenant !

(…)
Sept personnes de l’entourage familial d’Ismaël Omar Mostefaï sont en garde à vue. Son père et son frère de 34 ans ont été placés en garde à vue dès samedi en début de soirée. Les enquêteurs de la police judiciaire soupçonnent un des corps des islamistes retrouvé déchiqueté au Bataclan d’être celui d’un autre frère de Mostefaï. Plusieurs perquisitions ont eu lieu à Chartres (à La Madeleine) et à Courcouronnes dans l’Essonne ces dernières heures. Selon les informations du Monde, Mostefaï s’est absenté quelques mois de La Madeleine pour un séjour en Syrie. Une trace atteste de son passage par la Turquie à l’automne 2013, le régime islamiste d’Ankara qui soutient le terrorisme en Syrie, a donc joué un rôle essentiel dans ces attentats du 13 novembre. Puis les services français de renseignement ne retrouvent sa trace qu’au printemps 2014, en observant un petit groupe de salafistes à Chartres, à la mosquée de Lucé exactement. Il était alors considéré comme un simple membre d’un groupe salafiste que le pouvoir en place ne semble pas avoir jugé nécessaire de neutraliser.

(…)
Il y a quelques mois, nous apprenions que des explosifs, justement du TATP (ou peroxyde d’acétone) comme lors des explosions dans Paris et au Stade de France, avaient été dérobés sur un site militaire français. Depuis, plus de nouvelles de l’enquête concernant ce vol…
Plusieurs équipes de jihadistes opèrent en toute impunité, semble-t-il, sur notre sol.

D’après le général Aleksandr Vassilievitch Bortnikov, directeur du FSB de Russie (sécurité intérieure russe), « les attentats de Paris de cette ampleur sont un échec total des renseignements et du ministère de l’Intérieur français : nous avons prévenus à plusieurs reprises nos collègues européens, dont la France, que des éléments terroristes s’infiltraient sous couverture de ‘réfugiés syriens’. Nos services ont donné des éléments qu’on avait de nos informateurs. Mais apparemment, ils n’ont pas voulu en tenir compte ! » a-t-il affirmé hier sur Pervy Kanal.
Mais bon, comme depuis le 26 juillet 2014, l’Union européenne l’a interdit de visa (dans le cadre des sanctions occidentales à l’encontre de la Fédération de Russie concernant la crise ukrainienne), les avertissements fondés du général Bortnikov ont certainement été considérés avec le plus grand mépris par les plus hauts sommets de l’Etat français.

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Salopard.jpgEncore un jihadiste engagé en Syrie, puis invité en Europe.
Si nous avons réussi à nous procurer ce type de document,
on imagine bien les renseignements dont disposent nos « services » d’Etat…
Et ils ne font rien pour empêcher de nouveaux attentats ?…

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Selon la presse serbe, un des auteurs des attentats de Paris et de Saint-Denis serait un certain Ahmed Almuhamed, 25 ans, dont l’itinéraire migratoire passé par la Serbie le 7 octobre, après avoir séjourné en Grèce dès le 3 octobre, puis aurait pris la direction de la France via la Croatie, la Slovénie, l’Autriche et l’Allemagne.

Il est évident que ceux qui ont frappé à Paris ne sont pas des amateurs : ils ont opéré comme ils le font sur les terrains de guerre en Irak et en Syrie. Nous sommes en présence de plusieurs équipes composées de francophones ou de « Français » issus des banlieues de l’islam, petites frappes radicalisées, puis formées et entrainées dans les rangs jihadistes à l’étranger, secondés par un encadrement opérationnel composé d’étrangers infiltrés dans notre pays grâce aux flux migratoires que l’Union européenne refuse de juguler par idéologie mondialiste.

Mais la caste politico-médiatique, responsable au premier degré de cette situation alarmante, ne déroge pas à son arrogance habituelle et à son outrecuidance nauséeuse, en niant ses responsabilités évidentes. Médiatiquement, nous nous approchons de la phase où des proches d’Ismaïl Mostefaï vont nous dire qu’il était « gentil », « souriant » et qu’il disait « bonjour »…
Et pendant ce temps-là, Hollande négocie des contrats d’armement avec l’Arabie Saoudite qui soutient l’Etat islamique et al-Qaïda en Syrie et en Irak.

NationsPresse.info, 15 novembre 2015.
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Un homme d'État s'adresse à François Hollande…



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Syrie : débandade jihadiste au Sud d’Alep ! 

Les attentats de Paris au bilan catastrophiquement meurtrier interviennent à un moment où les forces islamistes, toutes tendances confondues, semblent perdre progressivement pied sur l’ensemble des parties du front syrien des suites de l’offensive loyaliste très largement appuyée par la Russie. A l’Ouest de Raqqah, capitale du califat, la base aérienne de Kuweires près d’Alep est désencerclée et le front de l’EI enfoncé et à l’Est de Raqqah la route principale menant à l’Irak est coupée.
On a l’impression que, finalement, ceux qui ont commandité ces carnages cherchent à forcer la main à une opinion publique française afin que cette dernière accepte une intervention militaire massive en Syrie, non pas pour détruire Daech, al-Nosra ou encore le Jund al-Aqsa, mais pour en finir avec le régime laïc de Bachar al-Assad, au risque de se retrouver face à un affrontement direct avec la Russie. Ce sentiment désagréable est conforté par l’attitude autiste maintenue par le locataire de l’Elysée et son gouvernement envers le régime syrien, en dépit des évidences, des derniers événements et du simple bon sens.

En réponse aux attentats de Paris dans la soirée du 13 novembre, qui ont fait au moins 132 morts, des centaines de blessés dont une quarantaine sont encore en réanimation, l’aviation française a bombardé ce soir le fief du califat islamique à Raqqah. Un « bombardement massif » selon la com’ du ministère de la Défense. En tout 20 bombes guidées ont été larguées par 10 appareils sur des objectifs de l’Etat islamique. C’est finalement assez peu et pas très « massif » pour un pays qui se prétend être une puissance militaire importante dans le monde. Il reste à en connaître les effets au sol. Et pourquoi cela n’a-t-il pas été réalisé plus tôt ? Et va-t-on enfin cesser de soutenir ceux qui sont derrière Daech ?

(…)

Jacques Frère, pour NationsPresse.info, 15 novembre 2015.

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Lire également :

Attentats de Paris et du Stade de France :
la piste des « Français » fichés « S » s’ajoute à celle de Molenbeek.

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Et n'oubliez pas, pour suivre la (vraie) guerre contre Daesh...

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 Cliquez sur la bannière 

15/11/2015

Démission...

Ce président et ses gouvernements ont contribué à faire naitre DAESH en Syrie, en les armant, les finançant et en les formant pour faire tomber El Assad. Aidés en cela par les USA, les Israéliens, la Turquie, le Qatar et l'Arabie...

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Ce gouvernement a ensuite été l'un des plus actifs pour faire rentrer 800.000 pseudo migrants en Europe, dont on sait qu'ils sont à 80 % des hommes seuls. Ce ne sont pas des migrants, ce sont des envahisseurs et pour environs 4000 d'entre eux des djihadistes !

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La presse Anglaise ne s'y trompe pas et titre ce que la presse Française,
sous contrôle, n'osera pas :
"Les djihadistes sont entrés en Europe comme faux réfugiés"

France, Paris, Terrorisme, responsables, Démission

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Ce président et son gouvernement veulent faire croire aux Français qu'ils ont fermé les frontières, voilà comment était celle de Strasbourg hier 14/11/15 à 00 h 40, alors que l'Allemagne est celle qui a le plus de réfugiés sur son sol : aucun contrôle !!!
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Ce président et son gouvernement sont ceux qui ont rendu possibles les attentats du 13 novembre, (et ceux qui viendront) et doivent démissionner sur le champ !
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Un communiqué Terre & Peuple

http://www.terreetpeuple.com/282-reflexion/actualite/1336...

http://www.terreetpeuple.com/lignes-de-front-reflexion-23...

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Paris : deux "migrants", parmi les trois kamikazes identifiés ?

Attentats à Paris : deux "migrants",
parmi les trois kamikazes identifiés ? 

3 terroristes identifiés, un Syrien, un Egyptien et un Français.

L'un, qui a participé à la prise d'otages sanglante dans la salle de spectacle du Bataclan, Omar Ismaïl Mostefaï, est un Français de 29 ans. Né à Courcouronnes, en banlieue parisienne, il était fiché pour sa radicalisation islamiste depuis 2010. En outre, les enquêteurs tentent de confirmer que le kamikaze a bien séjourné en Syrie en 2014.
Condamné à plusieurs reprises pour des délits de droit commun, il n'avait jamais fait de séjour en prison. Il a été identifié par ses empreintes, grâce à un doigt sectionné retrouvé dans la salle de spectacle parisienne où se tenait un concert de rock lors de l'irruption des djihadistes.
Son père et son frère ont été placés en garde à vue. Leurs domiciles, situés respectivement à Romilly-sur-Seine et Bondoufle, ont été perquisitionnés samedi soir, rapporte l'AFP.

Le journal serbe Blic a fourni le nom d'un deuxième suspect. Il s'agirait d'Ahmad Almuhammad, dont le passeport syrien, qui avait été enregistré par les autorités serbes en octobre, a été retrouvé sur l'un des terroristes.
L'homme a été enregistré en Grèce le 3 octobre et a ensuite pris la route de la Macédoine et de la Serbie, où il a déposé une demande d'asile. Puis il s'est rendu en Croatie, où il a transité par le centre d'asile d'Opatovac le 8 octobre.

Le nom du troisième suspect des attentats a été dévoilé par le quotidien français le Figaro. Selon le journal, le passeport syrien retrouvé par la police française près du corps d'un des auteurs des attaques au Stade de France appartenait à un migrant enregistré lors de son arrivée sur une île grecque en octobre.
Le procureur de Paris a confirmé qu'il s'agissait du passeport d'un Syrien né en 1990 et inconnu des services de renseignements français. Mais les enquêteurs français n'ont pas déterminé à ce stade si ce passeport était bien celui de l'assaillant. Selon la chaîne M6, le nom figurant sur le passeport serait Abbdulakbak.B.

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Sputnik, 15 novembre 2015 / Articles source : ici et ici

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Photo : Vladimir Pesnya / Sputnik

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Lire également : 

Attentats islamo-terroristes à Paris : la traque

14/11/2015

Vague d’attentats islamistes à Paris...

Vague d’attentats islamistes à Paris et Saint-Denis :
au moins 126 morts, plus de 200 blessés
dont des dizaines graves.

Ce sont six à sept lieux différents qui ont été ciblés hier soir dans la capitale et au Stade de France par plusieurs équipes de jihadistes bien coordonnées, surarmés et décidés à faire un carnage. Le premier bilan de cette soirée meurtrière se chiffre à 126 tués, dont 4 policiers, des dizaines de blessés sont hospitalisés dans un état grave dans les différents centres de l’APHP, notre pays est sidéré.
Dans la foulée, François Hollande a décrété l’Etat d’urgence sur l’ensemble du territoire (une première depuis la guerre d’Algérie) et la fermeture des frontières, avant de se raviser bien vite : on se limitera à un contrôle « renforcé » aux frontières…
L’ensemble des terroristes n’a toujours pas été neutralisé ce matin, une traque est en cours. Il s’agirait de « Français » de retour d’Irak et de Syrie qui ont combattu dans les rangs de Daech.

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Carte des attentats dans Paris

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Les Parisiens ont vécu une soirée d’horreur et de folie pure, ponctuée par les sirènes des secours, celles des forces de l’ordre, le bruit assourdissant des hélicoptères qui tournaient au dessus des toits et, dans certains quartiers de la capitale, des barrages de police, des bruits d’explosions, des tirs, la panique. Ambiance surréaliste mais terriblement réelle d’un pays en guerre qui doit faire face à une menace islamiste de très haut niveau avec des dirigeants totalement en dessous de tout.

François Hollande avec quelques-uns de ses ministres et le chef de file des socialistes pour les régionales en Ile-de-France sont apparus au Bataclan en cravates noires, l’air grave, la mine déconfite : le temps de la com’ à défaut de l’action et de la volonté politique…

Sept lieux différents ont été ciblés, dont 6 sur Paris intra muros : Charonne, rue Bichat, rue de la Folie Méricourt, le Bataclan, la rue de la Fontaine au Roi, le Stade de France où se déroulait le match France-Allemagne et où le président de la République a été évacué d’urgence après qu’au moins deux jihadistes se soient fait sauter avec des ceintures d’explosifs. Une fusillade aurait même été entendue aux abords du Stade de France.

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L’horreur au Bataclan

Dans la salle de concerts du Bataclan, en plein Paris, le groupe de Metal « Eagles of Death Metal » avait réuni quelque 1500 fans à l’intérieur de la salle. L’équipe jihadiste est arrivée armée jusqu’aux dents, ceinturée d’explosifs. Très vite, ce fut un véritable carnage, le commando islamiste rafalant à la kalachnikov dans la foule ; la BRI (ex-anti-gang) est intervenue dans l’urgence, en pleine panique des otages. La plupart des terroristes ont été éliminés, deux se seraient fait exploser, un dernier aurait été interpellé. L’individu se revendiquerait de Daech.
Selon le journaliste Guillaume Auda, la BRI déplorerait la perte de quatre de ses hommes, des policiers d’élite qui n’ont fait que leur devoir avec courage et honneur. Une information non confirmée.

Dans la salle de spectacle, ils ont tiré en plein dans la foule en criant « Allah Akbar », l’un d’eux reprochant l’intervention française en Syrie, oubliant un peu vite que le ministre socialiste des Affaires étrangères, Laurent Fabius, considérait que les islamo-terroristes font du « bon boulot » dans ce pays meurtri par la guerre.

Des exécutions sommaires auraient été perpétrées par ces terroristes.
« Des cadavres entassés par dizaines, des morceaux de corps, de visages, de cervelle partout », témoigne une personne présente sur le lieu du drame. Certains survivants ont été sauvés grâce à leur présence d’esprit de se protéger derrière les corps de victimes sans vie.

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Dans Paris, alors que les terroristes agissaient encore, après avoir tiré à l’arme lourde contre plusieurs restaurants et terrasses de cafés bondés, une solidarité de fait s’est mise en place, comme au Café Grisette, Boulevard Richard Lenoir, qui a fourni eau, café, soutien moral et abri aux badauds quand ça tirait encore.

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Jihadistes « français » de retour de Syrie et d’Irak

Au total 8 terroristes sont morts : 4 au Bataclan (dont deux se sont fait sauter à l’explosif), 3 au Stade de France (avec leurs ceintures d’explosifs), 1 boulevard Voltaire. Toutes les autres équipes ont réussi à s’échapper, l’ensemble des forces de l’ordre et une partie de l’armée les traquent. D’ailleurs, dès hier soir, 1.500 militaires étaient appelés en renforts sur Paris.

Hier soir, tard, ordre a été donné aux forces de l’ordre de tirer à vue. Paris est désormais quasi bouclé, sous très haute surveillance. Il était temps, mais l’ennemi est déjà dans la place.

Selon l’analyste Jean-Paul Ney, les équipes d’assaut de l’Etat islamique seraient composées de jihadistes « français » de retour de Syrie et d’Irak. Tous fichés S, tous identifiés, la plupart dans la nature. Le numéro vert et les stages de « déradicalisation », mis en place par un gouvernement Valls-Hollande totalement irresponsable et déconnecté des réalités, n’auront donc servi à rien.

NationsPresse.info, 14 novembre 2015.

Article source

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