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10/09/2014

Les ignobles, ça ose tout...

Audiard avait dit que les cons "ça osaient tout", et que c’était d'ailleurs à ça qu’on les reconnaîssait.

Il en va de même pour les ignobles... comme Thomas Thévenoud.

Et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'ex secrétaire d’Etat au commerce extérieur, débarqué quelques jours seulement après avoir été nommé au gouvernement Valls 2 suite à quelques soucis avec le fisc (pour, en gros, n'avoir pas payé de loyer ni déclaré de (multiples) revenus pendant plus de trois ans !!!) ne lésine pas sur le "j'ose tout" et l'indécence.

Puisque s'il a démissionné du Parti socialiste... 

Il a décidé de garder son mandat de député...

Et, de fait, de continuer à siéger à l'Assemblée nationale !

 

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Les ignobles ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ! 

Thevenoud-Campagne-Contribuables-Associes.jpg

Source photographique et pétition :

 

(Cliquez sur la phrase en bleu !)

 

"Pas de séance à l'Assemblée nationale

tant que Thomas Thévenoud y est député !"  

 

Ukraine/Donbass : une contre-offensive de Kiev d’ici peu...

Ukraine/Donbass :

Une contre-offensive des forces de Kiev d’ici peu...

 

Alors qu’une contre-offensive des forces de Kiev est évidente, et se déroulera d’ici quelques jours, la mission d’observation de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) envisage d’élargir sa présence dans le Donbass. Déjà que leur utilité sur le terrain est sujette à caution, on se demande bien en quoi un « élargissement » serait nécessaire. Car le problème n’est pas dans le Donbass mais à Kiev, à la présidence, au gouvernement et à la Rada. Et la junte n’en loupe pas une pour démontrer sa soif de démocratie « proeuropéenne » : le régime kievien vient de bannir du territoire russe la plupart des chaînes de télévision russe (15 au total) : seule la pensée unique doit primer !

 

La montagne a accouché d’une souris. Les éléments du rapport d’enquête sur le crash du Boeing de la Malaysia Airlines, rendus publique aujourd’hui, n’apportent rien de plus que ce que nous savions déjà : l’appareil a été abattu au moyen d’un missile. Reste à savoir s’il s’agissait d’un missile air-air ou sol-air et qui a bien pu le tirer et surtout pourquoi. Cela le document mis en ligne n’en dit rien. Kiev, qui a tout fait pour sinon empêcher l’enquête, du moins le gêner dans son bon déroulement, doit respirer… Un rapport final est attendu pour fin 2015. Gageons que si « les Russes » ou « les séparatistes » avaient pu être légitimement accusés d’avoir abattu l’avion civil et d’avoir causé presque 300 morts, le rapport final serait déjà publié et disponible en ligne.

 

Après le show médiatique de Porochenko, hier soir à Mariupol, l’heure est à la démonstration de force : les Etats-Unis et l’Ukraine ont entamé des exercices militaires conjoints dans le Nord-Ouest de la mer Noire. Ces manœuvres mobilisent quatre bâtiments de l’OTAN : un destroyer américain, un aviso français, une frégate espagnole et une frégate canadienne. La Turquie, la Roumanie et la Géorgie ont également envoyé des navires. Et le navire espion français, le Dupuy-de-Lome, est toujours en mission en mer Noire.

 

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> http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/ukraine-donbass-une-contre-offensive-de-kiev-dici-peu?pfstyle=wp 

 

808361829.jpg NationPresse.info

 

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Armée "Ukrainienne" :

Dzerzhinsk, au Nord-Ouest de Gorlivka, est occupé par l’armée ukrainienne.

Ces deux volontaires Tchétchènes de l'armée "Ukrainienne" arborent le drapeau de l'Itchkérie, un état islamiste auto-proclamé situé en Tchétchénie de 1993 à 1999 et dont les troupes avaient accueilli nombre d’activistes ukrainiens qui forment aujourd'hui une partie des cadres de la garde nationale, de Svoboda et de Praviy Sektor.

 

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Écosse, les pour et les contre l'indépendance font jeu égal !

Écosse :

Les pour et les contre l'indépendance

font jeu égal ! 

 

Dans un nouveau sondage.

 

Dimanche, le sondage qui a donné pour la première fois le « oui » à l'indépendance écossaise gagnant a fait planer pour de bon le spectre d'une sécession qui semblait jusqu'alors improbable. Deux jours plus tard, mardi 9 septembre, un nouveau sondage confirme la poussée des indépendantistes, et place « oui » et « non » au coude-à-coude : le premier recueillerait 38 % des voix, le second 39 %, tandis que 23 % des sondés ne se proncent pas.

Selon cette étude réalisée par TNS Scotland, le « oui » et le « non » sont même à égalité (41 %) chez les personnes qui se disent certaines d'aller voter lors du référendum du 18 septembre. La progression des personnes favorables à l'indépendance est spectaculaire. Dans le sondage TNS du mois dernier, les unionistes avaient une avance de 13 points, à 45 %. « Ce sondage révèle un changement significatif dans les intentions de vote », a confirmé le président de l'institut, Tom Costley.

 

Le véritable commencement du référendum...

« C'est trop serré pour faire des prédictions, mais les deux camps vont être à bloc pendant les derniers jours de campagne afin de tenter de convaincre les électeurs indécis des avantages de leurs campagnes respectives », a  ajouté le sondeur.

Pour les unionistes de la campagne Better Together (« mieux ensemble »), c'est le signe que chaque vote va compter. « Les deux jours qui viennent de s'écouler seront considérés comme le véritable commencement du référendum. Nous savons maintenant qu'il n'y a pas de marge possible pour un vote de contestation. Le vote de chacun d'entre nous pourrait se révéler crucial et faire la différence entre l'éclatement du Royaume-Uni et son maintien », a fait valoir le directeur de campagne, Blair McDougall.

La campagne indépendantiste, Yes Scotland, s'est de son côté félicitée de ce « sondage capital qui confirme que le “oui” monte en puissance ».

 

La Reine suit de près le référendum...

Les deux récents sondages mettent une pression accrue sur les épaules du premier ministre britannique, David Cameron, qui a répété la semaine dernière ne pas vouloir démissionner en cas de victoire du « oui ». « Ça ne porte pas sur l'avenir du gouvernement britannique à Westminster. Ni sur mon avenir ou celui de David Cameron ou de quiconque », a été contraint de rappeler à nouveau dimanche Georges Osborne, le ministre des finances.

Le Sunday Times a également rapporté que la reine Elizabeth II « s'intéressait de très près » au référendum et avait demandé qu'on la tienne au courant quotidiennement.

 

Le Monde.fr avec AFP | 09.09.2014 à 08h07.

 

Écosse, Scotland, Alba, référendum, indépendance