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21/04/2014

Réappropriation...

Une note (et une idée) en provenance du Chemin sous les buis.  

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spiraleDans "La Compagnie de la Grande Ourse", l’auteur, Saint-Jall, a écrit cette phrase qui chante et résonne encore en moi comme si la réappropriation qu’il propose était l’acte le plus important qui soit à poser aujourd’hui.

"La plupart des opérations consistaient à se réapproprier le Grand Pays de façon spirituelle et physique, en l’arpentant pour le reconnaître et apprendre à l’aimer dans sa chair, en laissant partout pour marquer cette reconquête des signes aussi tangibles que des drapeaux ou des dessins au pochoir."

Il s’agit de poser un acte de réappropriation (symbolique ou non), validé par un signe. L’acte pouvant être le signe lui même, à chacun de faire preuve d’imagination (ou pas). Sans dégrader ou salir, sans provoquer surtout (pas de croix gammée, pas d’insulte…), à la craie, à la peinture, aux crayons de couleur, avec des cailloux ou des branchages… et je rêve de tomber sur de tels signes au détour de mes promenades / déplacements (je verrai bien une spirale, par exemple, en raison de son symbolisme et de son "antiquité") dans les endroits  les plus ordinaires comme les plus improbables ; croiser ainsi le chemin d’un de mes frères ou de mes sœurs en réappropriation !

Les exemples de réappropriation où laisser le signe sont nombreux :
- Se réapproprier ses dieux (églises, mosquées, synagogues)
- Son imaginaire (cinéma, théâtres)
- Sa culture, son Histoire (écoles, lycées, facs, musées, expos, au pied des mégalithes)
- Sa liberté (prisons, palais de justice)
- Son pouvoir (Parlement,mairies, préfectures, conseil régional/général)
- Son esprit critique (journaux, télés)
- Ses droits (tribunaux)
etc.

À nous tous de jouer maintenant …

Par : Le Chemin sous les buis (Source

15/04/2014

Les villes FN épargnées par Patrick Bruel…

La terrible nouvelle est tombée sur les écrans des ordinateurs en surchauffe de l’AFP : Patrick Bruel n’ira pas chanter dans les villes dirigées par un maire FN. À l’annonce de la catastrophe, Robert Ménard n’a pu retenir ses larmes, le maire de Fréjus a avalé un tube d’antidépresseurs et Steeve Briois est retourné vivre chez sa mère. La proposition due ministre de la Culture d’envoyer un sosie s’est vu opposer une fin de non-recevoir. Les élus exigent le vrai, l’unique, celui qui joue du piano avec deux doigts en poussant cris rauques dans un micro.

Paradoxalement, les électeurs ont accueilli la nouvelle dans la liesse. Six ans sans Patrick Bruel apparaissent comme une bénédiction, un don du ciel inattendu… Partout dans les rues, on loue les noms de Robert Ménard, Steeve Briois et consorts. Bien que pas un seul concert du chanteur n’ait été prévu dans les villes concernées, aucun habitant ne se sentait à l’abri d’un récital surprise, d’un quelconque « Casser la voix » assommant, d’un pseudo-message humaniste à la sauce « Feux de l’amour »…

En bons démocrates, les maires FN et affiliés se sont pliés à la vindicte populaire. À la demande générale, de larges panneaux aux entrées des villes mentionneront désormais : « Commune garantie sans Patrick Bruel ». Véritable fleuron du tourisme local, le label fait déjà des envieux dans de nombreuses municipalités. Comment l’obtenir ? Que faire ? Quelles démarches ? Les questions fusent dans les bureaux des mairies d’Hénin-Beaumont, Fréjus, Béziers, Hayange, etc.

Dans son combat contre le FN, le chanteur militant ne recule devant aucun sacrifice. Ses espoirs de concerts gigantesques dans des capitales culturelles telles que Le Pontet, Beaucaire, Villers-Cotterêts ou Cogolin s’effondrent comme un château de cartes de poker. Ne lui restent que Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux et quelques villages reculés comme Strasbourg, Lille, Grenoble… Des miettes. L’abnégation est totale, le combat noble et beau. Robert Ménard en ressort son mouchoir.

Imaginer que les bastions encore vierges de toute atteinte fachiiiiste passent un jour aux mains de l’ennemi est le cauchemar de Patrick Bruel. L’idée d’interpréter ses vieux succès en rase campagne ou sur les aires de repos d’autoroute, loin de toutes communes contaminées, entraînerait une dégradation considérable de son image et du chiffre d’affaires. La clientèle sangliers, lapins de garenne, vacanciers en goguette et camionneurs n’est pas forcément réceptive au romantisme post-ado.

En attendant cette échéance fatidique, un tri sélectif des spectateurs pourrait intervenir à l’entrée des concerts. Électeurs FN refusés, sympathisant du PS aux dix premiers rangs, Front de gauche au milieu et UMP au fond. Manifestation assimilée à un meeting politique… Risque de troubles à l’ordre public. Et boum. Censure de l’impitoyable Manuel Valls. Décidément, la vie d’artiste combattant n’est pas facile…

 

Source : Boulevard Voltaire

http://www.bvoltaire.fr/janyleroy/les-villes-fn-epargnees...

Patrick Bruel, Front National, liesse et allégresse, Commune garantie sans Patrick Bruel

08/04/2014

Fairy Flag

Le Fairy Flag du Clan MacLeod 

 

Le clan MacLeod est l’un des plus vieux et plus puissant clan d’Écosse. Depuis plusieurs années, ils habitent dans le château de Dunvegan situé sur l’Ile de Skye, près du Lac Dunvegan. Ce château possède une relique d’origine féérique qui protégerait un clan depuis des centaines d’années. En effet, le fragment d’un lambeau de soie jaune connu sous le nom de « Fairy Flag of Dunvegan » (le Drapeau Féérique de Dunvegan). Il existe deux versions de cette légende, les voici :

 

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Première version :

 

Le Fairy Flag aurait été donné au Clan MacLeod par la femme du quatrième chef du clan : Iain. On raconte que ce dernier aurait été très chanceux car elle était la fille d’un Roi du pays des fées. Après leurs noces, les deux retournèrent dans leur royaume du commun des mortels pour veiller sur le clan. Cependant il avait été entendu qu’après sept années, elle retournerait dans son propre monde.

Le temps passa et la fin des sept années arrivèrent. La femme de Iain, remplit de tristesse, due se résoudre à faire ses adieux à son mari et au bébé qu’elle venait juste de mettre au monde. Alors qu’ils se trouvaient sur le pont féérique, elle fit promettre à son mari de ne jamais laisser l’enfant seul car la seule chose qu’elle ne pourrait pas supporter était de l’entendre pleurer. La même nuit, afin de changer les idées du chef de clan, un énorme festin fut organisé et pris dans la fête, Iain oublia complètement la promesse qu’il avait faite à sa bien aimée. Malheureusement pour lui la nanny qui avait en charge de s’en occuper préféra s’échapper furtivement de la nursery pour écouter le chant et la cornemuse qui s’échappait du hall.

Le pauvre bébé, livré à lui-même, se mit à pleurer et quand Iain surpris la nanny dans le hall, il se souvint soudainement de son serment et courut à la nursery. Là, il aperçu sa femme qui était revenu dans le monde des mortels, alerté par les pleurs de son enfant : elle se mit à le bercer en lui chantant ce qui est maintenant connu comme étant la berceuse des Dunvegan. Mais au moment où il entra dans la pièce, elle disparue pour toujours mais laissa une couverture de soie dans le berceau du bébé.

On raconte que ce Fairy Flag est capable de protéger le clan des dangers, mais il ne peut être invoqué que trois fois, après quoi le morceau de tissu et celui qui le porte disparaitrait. Jusqu’à maintenant il n’a été utilisé que deux fois et – ce qui n’est pas surprenant – personne n’a encore osé de s’en servir une troisième fois. Dame Flora MacLeod avait vaillamment proposé de s’en servir depuis les falaises blanches de Douvres durant la seconde Guerre Mondiale alors que l’invasion semblait imminente. Les pilotes du clan en garderaient aussi un morceau avec eux en guise de protection.

 

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Deuxième version :

 

Il y a très longtemps, le chef du clan de l’époque, un certain Malcolm, épousé une fée qui lui donna un fils. Mais après plusieurs années passées dans le royaume des mortels, elle commença à se languir de son royaume féérique. Comme Malcolm avait beaucoup d’amour pour sa femme et que ça le rendait triste de la voir mélancolique. Ils traversèrent alors le Loch et marchèrent ensemble vers le passage pour rejoindre Annwm, la terre où les fées laissent leurs enfants qui héritent des terres de Dunvegan. Malcolm retourna ensuite à la maison, le cœur emplit de tristesse même si il savait qu’un festin l’attendait la nuit même car c’était l’anniversaire de son fils.

Le festin fut grandiose avec de la viande de chevreuil, de canard et du bœuf. Le joueur de cornemuse de Clan MacCrimmon vint même pour jouer, tout le monde dansait et la bière coulait à flot. Pendant ce temps là, le fils de Malcolm dormait paisiblement sous l’œil attentif d’une nanny. Cependant quand cette dernière entendu que la fête battait son plein, elle jeta un œil pour vérifier que l’enfant dormait et alla rejoindre la fête. Alors qu’elle rejoignit le hall pour rejoindre les réjouissances, Malcolm l’aperçu de loin et cru qu’elle avait abandonné son enfant. Le petit commença à pleurer mais il n’y avait personne autour pour le réconforter. Sa maman entendit son chagrin depuis le monde des fées et prit la forme d’un esprit pour pouvoir le réconforter. Cependant comme elle ne pouvait pas le tenir dans ses bras, elle laissa une couverture de soi dans son berceau et le bébé se rendormit paisiblement. 

La nanny retourna dans la chambre et, soulagée de le voir sain et sauf, elle décida d’aller le rendre au chef de clan. Alors qu’elle marchait en direction du hall, elle entendit une douce musique qui l’a suivait et qui devint plus forte quand elle entra dans le hall. Les joueurs de cornemuse s’arrêtèrent de jouer pour l’écouter. Puis des voies féériques commencèrent à chanter en expliquant le cadeau qui avait été fait à l’enfant. Elles racontèrent que la couverture était magique et qu’elle avait le pouvoir de protéger le Clan MacLeod dans l’hypothèse où il serait en grand danger. Les membres du clan n’auraient qu’à la brandir tel un drapeau pour être sortit d’affaire. Seulement, la magie n’opérerait que trois fois ; et dans l’hypothèse où un MacLeod s’en servirait pour des raisons légères, un drame s’abattrait sur le clan. Puis sur ces mots, la musique s’arrêta.

Malcolm ordonna que la couverture soit placée dans une boite en fer dont seuls les chefs de clan successifs posséderaient la clef et seuls eux pourraient donc être en sa possession. Malcolm n’eut jamais besoin de s’en servir, ni son fils, une fois devenu grand. Les générations passèrent et aucune d’elles n’eut jamais besoin de s’en servir jusqu’au jour ou le Clan MacLeod fut attaqué par le Clan MacDonald. Les deux étaient de vieux ennemis. Le Clan MacDonald était plus nombreux que leurs adversaires et à l’occasion d’une bataille à Trumpan, les MacLeods perdirent. C’est à ce moment que le chef de clan se souvint de la légende du « fairy flag » et décida alors de l’utiliser. Il brandit la couverture à la manière d’un drapeau et le secoua, puis dans les minutes qui suivirent le Clan MacDonald commença à perdre de l’énergie et de la force. Les MacLeods reprirent le dessus et gagnèrent la bataille.

Plusieurs années plus tard, une infamie toucha les gardes mangés de chaque clan et sans le bétail, il n’y aurait plus eut assez de nourriture pour tout le monde. Alors que tout semblait perdu, le chef de clan brandit la couverture et le secoua à travers les terres espérant que cela fonctionne. Peu de temps après, la vache malade retrouva toute se santé et l’infamie arrêta de se répandre dans le Clan MacLeod.

 

Fairy_Flag_-_Duvengan_Castle_-_Isle_of_Skye.jpg Fairy Flag du clan MacLeod

 

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De nombreuses années après cet épisode, en 1799, un homme employé par les MacLeods entendu parler du « fairy flag » et comme il n’y croyait pas, il décida de prouver que cette histoire n’existait pas. Il profita de l’absence du chef de clan pour s’emparer du drapeau. Évidemment, des désastres s’abattirent sur le Clan : dans un premier temps, un héritier de la famille fut tué dans une explosion à bord du HMS Charlotte. Puis dans un second temps les MacLeods durent vendre une partit de leur terrain aux Campbells car leur finances étaient au plus bas.

 

Ce morceau de tissu reste un mystère : selon le point de vu d’un historien écossais, il aurait peut être été donné au clan MacLeods par Godred Crovan, le dernier Roi de l’Ile de Man. Donc ce morceau de tissu aurait plutôt des origines autres que féériques comme par exemple, un morceau de bannière de guerre.

( Note de Kurgan : Sauf si Godred le tenait en fait de quelques fées !?! )

 

Via l’excellent blog : 

 

« U.K Legacies / Légendes, histoires, mythes et folklore du Royaume Uni et d’Irlande »

 

http://uklegacies.blogspot.fr/

http://uklegacies.blogspot.fr/2010/08/chateau-dunvegan-ecosse.html

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Château de Dunvegan

  

Sources photographiques : ici & ici

01/04/2014

Poisson(s) pour tout le monde !

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Le premier avril, c'est poisson(s) pour tout le monde ! 

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Cliquez sur les images pour agrandir. 

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17:47 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : premier avril, poissons