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10/12/2012

Georges BLOND

Boutique Fiertés Européennes :

 

Georges BLOND : « Verdun »

 

Après l’irrésistible avancée d’août 1914 et la riposte française sur la Marne en septembre, le front s’est stabilisé et une guerre de tranchées fige les belligérants dans une immobilité qui n’exclut pas les combats destructeurs. C’est pour relancer l’action et du même coup briser le moral français que les Allemands décident d’attaquer Verdun le 21 février 1916. Les effectifs (73 bataillons allemands contre 36) et l’armement sont formidables. L’endroit est bien choisi, car les défenses françaises y sont faibles, les forts presque désarmés.

Un bombardement d’artillerie sans précédent pulvérise les premières lignes françaises au point qu’en certains endroits, les vagues d’assaut allemandes les franchissent sans s’en apercevoir. Des fantassins défendent leur position en tirant accoudés derrière des parapets de cadavres. Les liaisons sont détruites, l’état-major perd le contrôle de l’événement. Le fort de Douaumont tombe le 25 février. La percée allemande sur Paris est possible.

Le 26 février, le généralissime Joffre convoque le général Pétain et le charge de stopper la ruée allemande. Avec une calme autorité qui lui vaut la confiance de la troupe, avec une compétence stratégique et tactique reconnue par tous les historiens militaires, Pétain entreprend, sous la poussée ennemie qui se poursuit, de réorganiser complètement le front de Verdun.

Le retournement de la situation demandera plusieurs mois, pendant lesquels l’armée française et l’armée allemande vont se battre sans arrêt, dans la neige et la glace, puis dans la boue du dégel, sous le soleil de l’été et les pluies de l’automne. Le chiffre des pertes françaises et allemandes à Verdun n’a jamais pu être calculé à cent mille unités près. Environ cinq cent mille morts (ou disparus) en tout, plus un million d’estropiés à vie.

Plusieurs épisodes historiquement célèbres jalonnent les heures grandioses de courage et de souffrances humaines qu’on a appelées « L’enfer de Verdun », magistralement évoqué par Georges Blond dans ce récit poignant.

 

Le livre de poche – 1974 – 315 pages – 160 grammes.

Etat = une petite trace de pliure en bas de couv’, sans quoi bon état général ! Tranche non cassée, intérieur propre et sain, tout à fait bon pour le service !   

>>> 2,20 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Georges BLOND : « L’agonie de l’Allemagne »

 

Obligée de lutter sur deux fronts, à l’est et à l’ouest, pilonnée par l’aviation alliée, l’Allemagne en juillet 1944, est au bord du désastre. Seul Hitler refuse de l’admettre.

Croyant encore possible de retourner la situation en sa faveur, il ordonne la grande contre-offensive des Ardennes, où ses meilleures troupes s’épuisent dans la terrible bataille de Bastogne sans parvenir à percer les lignes américaines.

Tandis que la marche en avant des Alliés reprend à l’ouest, les Russes déferlent à l’est. Prise entre deux feux, l’Allemagne agonise, mais talonnée par le maître implacable qu’elle s’est donné, elle doit se battre quand même.

Combat apocalyptique qui s’achève en mai 1945 par la capitulation sans condition. Fin sanglante d’un rêve de domination dont Georges Blond présente une synthèse aussi vivante que bien documentée, essentielle pour la connaissance de la deuxième guerre mondiale.

 

Le livre de poche « Historique » – 1972 – 446 pages – 230 grammes.

Etat = Tranche légèrement incurvée présentant de fines traces de cassures, sans quoi très bien ! Intérieur propre et sain, vernis toujours bien brillant, un exemplaire de 1972 qu’on peut aisément estampiller « bon+ » !

>>> 2,40 €uros. / Temporairement indisponible.  

 

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