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28/09/2012

Bernard CLAVEL

Boutique Fiertés Européennes : 

 

Bernard CLAVEL

 

Bernard Clavel (né le 29 mai 1923 à Lons-Le-Saunier et décédé le 05 octobre 2010 à La Motte-Servolex) est le fils d'un boulanger et d'une fleuriste.

A 14 ans il entre en apprentissage chez un boulanger. Il exerce ensuite divers métiers : relieur, agent administratif journaliste. Passionné de peinture et d'écriture il publie son premier roman en 1956 mais ne se consacre à l'écriture qu'en 1964.

Son premier roman L'Ouvrier de la nuit, publié en 1956, marque le début d'une production importante de près d'une centaine de titres avec des œuvres pour la jeunesse et de très nombreux romans, parfois constitués en sagas qui ont rencontré un vaste public comme La Grande Patience (4 volumes - 1962/1968), Les Colonnes du ciel (5 volumes - 1976/1981) et Le Royaume du Nord (6 volumes - 1983/1989).

Associant l'enracinement régional (la Franche-Comté, Lyon et le Rhône, le Québec…) et l'évocation historique (conquête de la Franche-Comté au XVIIe siècle, la vie des canuts et des mariniers du Rhône au XIXe siècle, la guerre de 1914-1918, l'implantation française au Canada…), Bernard Clavel montre une constante attention aux humbles et défend des valeurs humanistes en contant avec simplicité et force des destins individuels et collectifs, souvent confrontés au malheur.

Son sens de la nature et de l'humain, sa mise en question de la violence et de la guerre et son souci de réalisme ont fait de lui un écrivain populaire, récompensé par de nombreux prix dont le prix Goncourt pour Les Fruits de l'hiver en 1968. 

 

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Bernard CLAVEL : « Le tonnerre de Dieu ( qui m’emporte ) » ( 1956-57 )

De temps en temps, quittant sa femme, Brassac descend à Lyon pour satisfaire sa passion de la boisson et des filles.  Là, devant un public complaisant, il joue volontiers le hobereau excentrique. Lorsqu’il regagne son domaine, il ramène souvent avec lui un chien perdu ; ainsi sa maison est pleine de chiens… Cette fois, c’est une fille. Il était saoul ; elle, abrutie de sommeil. L’un suivant l’autre, ils arrivent chez lui, dans cette maison délabrée où il vit en sauvage entre sa femme et ses chiens. Et elle demeure, s’installe…

Dans le film que Denys de la Patelière a tiré du roman de Bernard Clavel, Jean Gabin a rencontré en Brassac un personnage à sa mesure.

 

J’ai lu – 1971 – 188 pages – 125 grammes.

Excellent état / quasiment comme neuf, très certainement pas lu plus d’une fois !

>>> 2,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.  

 

Ou

J’ai lu – 1963 – 188 pages – 125 grammes.

Très légère « patine » des plats (1963, tout de même!), mais rien de vraiment notable.

Tranche non cassée, intérieur propre et sain, tout à fait bon pour le service.

>>> 2,20 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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Bernard CLAVEL : « Malataverne » ( 1959-60 )

Ils sont trois, trois copains disparates réunis par le hasard dans un bourg du Jura. Serge, blond, fragile, très fils de famille ; Christophe, opulent comme l’épicerie paternelle, enfin Robert, apprenti plombier, qui fuit un foyer où l’ivrognerie règne, et dont le seul réconfort est Gilberte, la toute jeune fille d’un fermier voisin.

Ce ne sont pas – pas encore – des voyous. Seulement des gosses incompris de leurs parents, livrés à eux-mêmes, incapables de s’insérer dans notre société. Enhardis, grisés par un vol de fromage, ils décident de tenter « un grand coup » à Malataverne. Serge et Christophe ont tout mis au point.

Seul Robert hésite et discute. Lâcheté ? Honnêteté ? Superstition ? Personne ne peut l’aider, il est seul devant sa conscience, devant les copains, devant les gendarmes, devant le village. Seul devant les yeux clairs de Gilberte. Seul devant Malataverne, le lieu maudit.

J’ai lu –  1977 - 187 pages – 100 grammes.

Etat = 2 petites marques de stockage au bas de la quatrième de couv’, sans quoi il est comme neuf. Très certainement jamais lu… ou alors pas plus d’une fois !

>>> 2 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

Bernard CLAVEL : « Victoire au Mans » ( 1968 )

Admis au sein d’une équipe de coureurs et de mécaniciens, Bernard Clavel raconte la plus célèbre course du monde, non pas en spécialiste mais en homme qui a découvert là un univers exaltant, un métier de rigueur et de passion, une camaraderie née des joies et des angoisses partagées.

Mais tandis que, sur la piste, les pilotes foncent à plus de 200 km/h vers la gloire ou l’échec – et parfois la mort – tandis que dans les stands, des mécaniciens anonymes réalisent d’extraordinaires prouesses techniques, Le Mans est aussi un grand rassemblement de « fans » et curieux, une fête de couleurs, de jeux et de chansons, dont l’éclat va briller sans trêve, de nuit et de jour, durant vingt-quatre heures.

Au roman, Bernard Clavel a préféré ici le témoignage, le récit en prise directe sur une réalité complexe et chargée d’émotions, intensément contemporaine.

J’ai lu – 1975 – 187 pages – 105 grammes.

Très bon état >>> 2 €uros. / disponible.

 

Bernard CLAVEL : « Le tambour du bief » ( 1968- 69 )

Antoine est un être simple et bon. Humble infirmier à l’hôpital de sa bourgade, il a cependant ses heures de joie et de gloire : lorsqu’il tient sa partie de chef tambour, les jours de fête au bord du Doubs. Sa vie serait paisible et sans problème si, chaque soir, il ne se rendait auprès de la mère de son ami Manu.

La vieille femme, atteinte d’un mal incurable, endure des souffrances atroces. Et chaque soir, après la piqûre calmante, Antoine repart avec l’image de ce corps qui n’en peut plus, de cette famille misérable. Lui qui n’est rien serait sans doute le seul à pouvoir apporter à tous la délivrance.

Peu à peu, l’assaillent des pensées trop lourdes pour lui : a-t-il le droit d’intervenir, de précipiter le cours du destin ? Est-ce un acte de courage ou u crime contre la vie ?

A ces questions, il lui faut apporter sa réponse, la réponse de sa conscience.

J’ai lu – 1973 – 183 pages – 125 grammes.

Très bon état >>> 2,20 €uros. / disponible.

 

Bernard CLAVEL : « Le seigneur du fleuve » ( 1970 –71 )

Au milieu du XIXè siècle, Philibert Merlin, patron-batelier sur le Rhône, voit le fleuve qu’il aime gagné par le fer, la vitesse et les machines. Mais ce « progrès », cet avenir mécanisé qui s’annonce, Merlin le hait. Depuis plus de vingt ans, régnant sur ses mariniers et ses chevaux, il vit sur le fleuve. Son fleuve – dont il boit chaque matin une goulée pour y puiser vigueur et courage. Comment accepterait-il de céder sa place ? Il y va de son pain mais aussi de son âme.

Et c’est ainsi qu’un jour d’automne, alors que le Rhône, en proie à la tempête, roule des flots furieux et que les vapeurs renoncent à appareiller, Patron Merlin, en un défi désespéré, lance ses barques et ses hommes à la remontée du fleuve.

J’ai lu – 1997 – 284 pages – 150 grammes.

Quelques infimes marques de stockage ( mais bon… infimes ! ), sans quoi il serait presque comme neuf !  Tranche non cassée, intérieur parfait, très bel exemplaire !

>>> 2,20 €uros. / disponible.  

 

Bernard CLAVEL : « Tiennot » ( 1973 –75 )

« Le pauvre petit, le voilà seul à présent ! » C’est tout un village qui parle comme ça, à la mort de Justin Biard, et pourtant « le petit », son fils, a trente-cinq ans. Un bon garçon, ce Tiennot, mais un peu bêta, simplet quoi. Sa seule richesse, ce sont ses bras vigoureux qu’il loue à l’un, à l’autre.

Et voici Tiennot seul dans sa masure des Biard, sur la petite île de la Loue. Il y a là quelques poules et lapins, et la Miaule, le doux mulet, le seul ami à qui Tiennot parle… A qui il dira bientôt que c’est trop lourd la solitude, qu’il ne s’y fait pas.

Il faut trouver une femme pour Tiennot, a décidé le village. Mais pour lui, une femme, qu’est-ce que c’est au juste ? Le meilleur ? Le pire ?

Quand Clémence apparaît sur l’île aux Biard, le mode du garçon bascule…

J’ai lu – 1980 – 188 pages – 125 grammes.

Etat = Quelques petites marques de stockage / manipulation sur premier plat, ainsi qu’une trace de pliure en bas de quatrième. Mais tranche non cassée et intérieur sain et propre… tout à fait O.K.

>>> 1,80 €uros. / disponible. 

 

Bernard CLAVEL :

« Les colonnes du ciel : la saison des loups – tome 1/5 » ( 1974-75  )

Au XVIIè siècle, la guerre de Trente Ans ravage la Franche-Comté qui est l’une des plus riches provinces de la couronne d’Espagne. Durant cette conquête par la France, des centaines de villages sont incendiés, des milliers d’hommes torturés, sauvagement assassinés ou décimés par la peste.

Certains, pourtant, continuent à vivre, à se battre, à espérer des jours meilleurs. Ils sont soldats, paysans, nobles ou compagnons. Leur histoire commence au début de l’hiver 1639, dans la région de Salins où Mathieu Guyon, un charretier, est désigné d’office pour enterrer les victimes de la peste parquées dans un village isolé…

Presses pocket – 1997 – 299 pages – 170 grammes.

Etat = Quelques marques de stockage / manipulation sur plats, ainsi qu’une fine cassure sur tranche ; mais O.K, intérieur sain et propre… bon pour le service !

>>> 1,50 €uros. / Vendu ! temporairement indisponible.

 

Bernard CLAVEL : « La révolte à deux sous » ( 1988-90 )

Par un été torride, la Cité des Soies se révolte. Ce jour-là, « le grondement qui ruisselle soudain » est une clameur venue du cœur des hommes épuisés de misère et de fatigue, des tisserands qui réclament deux sous d’augmentation…

A la colère et au déchaînement des passions s’ajoute bientôt le tumulte du fleuve en crue. Rien ni personne ne pourra interrompre la folie meurtrière. Pas même Pataro, l’homme-orchestre, le dresseur d’animaux, celui que des mains expertes ont jadis désarticulé pour en faire un mendiant pitoyable, pas plus haut qu’un chien. Personnage inoubliable, au service des uns et des autres, formidable entremetteur, sublime Quasimodo, qui va, vient, court à travers cette histoire de bruits et de fureurs, ce roman où la fable sociale côtoie le sordide mais aussi le merveilleux de ce monde.

J’ai lu – 1994 – 253 pages – 130 grammes.

Etat = traces de pliures et assez nettes marques de stockages sur plats… mais tranche non cassée et intérieur sain et propre. >>> 1,50 €uros. / Vendu !

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Bernard Clavel est né en 1923 dans une maison sans livres, sans eau courante, sans électricité. De cette relative pauvreté, il fera toute sa richesse. Il n’a jamais triché, il ne s’est jamais arrêté. Puissance, cohérence, humanité profonde : il a construit sa vie comme il a bâti son œuvre. « Je suis un écrivain. Essentiellement un romancier et un conteur, c’est-à-dire un homme qui porte en lui un monde et qui s'acharne à lui donner la vie. »

24/09/2012

Éphéméride

Le 24 septembre 1853, la Nouvelle-Calédonie devenait française

Le 24 septembre 2012, les banlieues françaises deviennent qataries.

 

Les temps changent… 

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23/09/2012

Cuirina - Sturmwind

22/09/2012

Qui tisse dans la bataille...

Les Valkyries

 

Peu valorisé, le rôle des Valkyries n'en demeure pas moins essentiel dans la Mythologie Germano-Scandinave et a une place primordiale dans l'esprit du Viking. Le terme de Valkyrie vient de Valkyrja (Valkyrjur au pluriel), nom éloquent puisque le mot islandais Kjósa, déverbatif de kyrja a donné en français « kyrie », ce qui signifie « le choix » et Val « la mort », mot lui-même tiré du vieux Norrois: Valr, signifiant « les cadavres gisant sur le champ de bataille », racine que l'on retrouve également dans Valhöll qui est « la salle (höll) des guerriers morts au combat (Val) ».

Les Valkyries ou « óðins meyjar » (filles d'óðinn) sont apparentées à la famille des Dieux de la guerre nommés Æsir (Ases) et ont pour devoir de venir chercher les héros morts au combat nommés Einherjars (ceux qui combattent seuls) sur le lieu de la bataille puis les emmener dans la Valhöll ou en Allemand au « Walhalla ». C'est la demeure d'óðinn à Asgarðr. Les murs y sont couverts de lances polies, de boucliers étincelants et à chaque siège se trouve une armure rutilante. Les Einherjars y passent une existence enjouée, guerroyant avec enthousiasme quotidiennement sans jamais périr malgré les pires blessures subies et festoyant chaque nuit en dévorant le sanglier Sæhrímnir qui renaît chaque matin.

Ils y attendent valeureusement le Ragnarök (terme signifiant « le Destin final des Dieux » puis réinterprété ultérieurement avec l'influence du Christianisme comme « le Crépuscule des Puissances » puis comme « le Crépuscule des Dieux » à l'époque Wagnérienne. Le Ragnarök est l'idée de la fin du monde chez les anciens Scandinaves, l'âge où les hommes et les Dieux face à leur destin livrent ensemble un ultime combat, avant le Renouveau). Si les Valkyries, génies des morts et guerrières supraterrestres, ont le pouvoir de décider qui remportera la bataille, c'est óðinn qui choisit les guerriers qui, jugés véritablement dignes et courageux, mourront afin d'avoir l'honneur d'accroître son armée en vue du combat suprême du Ragnarök. Si elles ne se plient pas à sa volonté et n'appliquent pas ses décisions, elles seront condamnées à vivre comme de simples mortelles pouvant avoir époux et enfants.

Le nombre des Valkyrja varie selon les poèmes et les chants mais il est probable que leur nombre soit illimité. Leurs noms renvoient très souvent à une fonction guerrière et magique: Geirdríful (lanceuse de lance), Geirahöð (combat de lance), Göll (hurlement terrifiant au combat), Gunnr (bataille), Herfjöturr (lien magique de l'armée), Hladgud (qui tisse dans la bataille), Hrist (celle qui ébranle), Hlökk (vacarme des combats), Hildr (combat), Skögull (synonyme de combat), Skoggjöld (temps de la Hache), Göndul (habile au maniement du gandr / de la baguette magique), Rodgríðr (la dominatrice), Randgríðr (ravage des boucliers), Þrúðr (force), Skuld (l'avenir)… à noter que Skuld fait également partie des Nornes (équivalent des Parques dans la Mythologie Grecque). Cependant, ces noms ne sont pas très anciens et ont vraisemblablement été crées par l'imaginaire des poètes au fil du temps.

Les valkyries, apparaissent physiquement comme de magnifiques vierges blanches ayant les yeux bleus et de longs cheveux blonds coiffés en chignon. Elles sont vêtues d'amples robes de cérémonie pour servir, au Walhalla, la viande et l'hydromel aux guerriers et portent casque, bouclier ainsi qu'une lance, lorsqu'elles chevauchent, sous le tonnerre de Þhórr (Thór), de puissants étalons nacrés dans la fureur dévastatrice des combats. Dans le ciel leurs armures forment parfois d'étranges lueurs que les hommes d'aujourd'hui nomment les aurores boréales.

Au cours des époques la personnalité ainsi que la charge de la Valkyrie s'éloigne du concept originel de la mythologie Nordique et des croyances populaires pour ainsi laisser place à un portrait plus romantique et magnanime. On alla jusqu'à leur attribuer, par ineptie, une connotation sexuelle. Les Scaldes (poètes) firent avant tout éloge de leur caractère Héroïque et à travers la saga des Völsungar et en particulier du Niebelungenlied (poème autrichien écrit en 1200 relatant la vie du héros Siegfried) renchérirent leur nature humaine qu'elles n'ont pourtant pas. De fait, les personnages et les aventures relatées dans le Niebe-lungenlied sont, à tort, souvent mélangés à ceux de la tradition proprement Nordique (Edda / Völsung). Si des fondements communs existent dans ces deux Sagas on ne peut les assimiler totalement. Le caractère de la version Norroise (Völsung) est très proche du monde céleste tandis que la version Allemande (Niebelungenlied) est beaucoup plus proche du monde humain. Cette erreur fut pourtant exaltée et universalisée au XIXème siècle principalement par Richard Wagner qui, dans son oeuvre, ôta aux Valkyries leurs cruautés ancestrales ainsi que leurs aspects ténébreux.

Car si dans la société scandinave mourir courageusement au combat fut un honneur et que les Valkyries, expertes en bravoure, offrent gloire et victoire sur le champ de bataille, il ne faut pas oublier qu'elles n'en restent pas moins, à l'origine, des créatures mortuaires démoniaque redoutables, se délectant de corps démembrés, appréciant les tueries sanguinaires, les carnages de la guerre et le triomphe de la mort, n'hésitant nullement à massacrer elle-même les guerriers dont le destin est de périr, afin d'avoir le plaisir de les choyer dans la Valhöll.

L'identité de la Valkyrie véhicule indéniablement une notion de mort au combat, une mort violente réclamé par le destin. La Valkyrie est le lien fondamental entre le guerrier et sa mort. A la fois obscurité et lumière, belle et sinistre, ces majestueuses vierges funestes furent craintes et respectées de tous Vikings.

 

( http://noreg.canalblog.com/archives/2005/10/12/779638.html )

 

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Note des blogueurs de F.E : Si vous étiez en train de chercher un prénom original pour une fille, n'hésitez pas à chaleureusement nous remercier ( bonnes bouteilles, blocs de foie gras, etc. ), vu que pour le coup, cette note vous offre gratuitement une superbe liste de first names pour le moins hors des sentiers battus ! Héhé!     

19/09/2012

Ruiner les cons...

Ruiner les intégristes…

Un bon plan…

 

A Paris, des clients déchirent "Charlie Hebdo"

devant les kiosques à journaux.

 

Des clients se sont précipités dans des kiosques à Paris mercredi matin, dans le but d'acheter et de détruire les exemplaires de Charlie Hebdo contenant les caricatures de Mahomet, selon des kiosquiers de Belleville, dans l'est de la capitale. "Quand j'ai ouvert à 6 heures ce matin, un homme attendait déjà là, une liasse de billets à la main. Il m'a demandé tous les exemplaires de Charlie Hebdo, avant de me dire qu'il comptait les détruire, ainsi que tous ceux qu'il trouverait chez les vendeurs de journaux du coin", a déclaré un kiosquier qui avait vendu tout son stock à 8 heures. Un autre kiosquier du quartier a vu ses clients chiffonner sous ses yeux les exemplaires du journal satirique qu'ils venaient de lui acheter, lui reprochant de vendre un journal qui "allait créer des problèmes en France".

 

(aliceadsl.lemonde.fr / Mercredi 19 nov.2012)

 

Quel dommage que nous ayons tous oublié jusqu’au sens même des mots COURAGE, intelligence, combat et solidaritéSans quoi, la « solidarité de la presse » pourrait rendre un grand service à l’humanité tout entière…

Puisqu’au final, il suffirait que l’ENSEMBLE de ladite « presse » publie quotidiennement des caricatures de Mahomet (quelques semaines durant) pour ruiner l’ensemble des intégristes… obligés d’acheter des millions de journaux et magazines chaque matin ! ( Héhé! )…   

 

Kurgan.    

intégristes,caricatures mahomet

18/09/2012

Le soldat oublié...

Boutique Fiertés Européennes : Retour en stock !

 

Guy SAJER : « Le soldat oublié »

 

Guy Sajer n’a pas 17 ans quand, en juillet 1942, il endosse l’uniforme de la Wehrmacht. Il est français par son père, allemand par sa mère ; il habite alors l’Alsace. A cause de son jeune âge, il n’est pas affecté à une unité combattante, mais dans le train des équipages. Dès novembre, l’hiver s’abat sur la plaine russe ; le froid, la neige, les partisans rendent la progression des convois extrêmement difficile : jamais l’unité de Sajer n’atteindra Stalingrad qu’elle devait ravitailler ; la VIe Armée aura capitulé avant. Mais Sajer sait déjà que la guerre n’est pas une partie de plaisir, que survivre dans l’hiver russe est déjà un combat. Et pourtant, ce premier hiver, il n’a pas vraiment fait la guerre. La vraie guerre, celle du combattant de première ligne, il la découvre lorsqu’il est versé dans la division Gross Deutschland, division d’élite, avec laquelle, à partir de l’été 1943, il va se trouver engagé dans les plus grandes batailles du front d’Ukraine, quand la Wehrmacht plie sous l’offensive russe. De Koursk à Kharkov, de jour comme de nuit, dans la boue, la neige, quand le thermomètre marque –40° degrés, sous le martèlement terrifiant de l’artillerie russe, face aux vagues d’assaut d’un adversaire désormais puissamment armé et qui ne se soucie pas des pertes, les hommes de la Gross Deutschland, portés toujours aux endroits les plus exposés, toujours en première ligne, combattant à un contre vingt, connaissent l’enfer. La bataille de Bielgorod, le passage du Dniepr (la Bérésina à l’échelle de la Seconde Guerre mondiale) constituent, vécus au niveau du simple soldat, deux des plus hauts moments de ce récit d’Apocalypse. Plus tard, quand le front allemand s’est désagrégé, quand l’immense armée reflue, aux combats réguliers s’ajoutera la lutte contre les partisans, plus sauvage et plus impitoyable. Plus tard encore, c’est la retraite des derniers survivants de la division d’élite à travers la Roumanie et les Carpathes jusqu’en Pologne. Dans l’hiver 1944-1945, Sajer et ses camarades sont lancés dans les combats désespérés que les Allemands livrent en Prusse-Orientale pour interdire l’entrée du Vateriand aux Russes. C’est encore Memel, où l’horreur atteint à son comble, et Dantzig, au milieu de l’exode des populations allemandes de l’Est. Enfin, malade, épuisé, Sajer sera fait prisonnier par les Anglais dans le Hanovre… Si ce récit de la guerre en Russie ne ressemble à aucun autre, s’il surpasse en vérité, en horreur et en grandeur tout ce qui a été écrit, ce n’est pas seulement parce que l’auteur a réellement vécu tout ce qu’il rapporte, ce n’est pas seulement parce que, sous sa plume, les mots froid, faim, fièvre, sang et peur prennent l’accent et la force terrible de la réalité, c’est aussi parce que Sajer sait voir et faire voir dans le détail avec une puissance de trait vraiment extraordinaire. Alors, le lecteur ne peut douter que tout ce qui est rapporté là est vrai, vrai au détail près ; il sait de science certaine qu’il n’y a pas là de "littérature", pas de morceaux de bravoure – mais que c’était ainsi : ainsi dans le courage et ainsi dans la peur, ainsi dans la misère et ainsi dans l’horreur…

 

Le Livre de Poche / 1971 / 695 pages / 350 grammes.

Marques de lecture et d'usage + tranche incurvée (voir photo) présentant quelques fines pliures, ainsi que bords papier jaunis… mais intérieur sain et propre, tout à fait O.K pour le service ! >>> 5 €uros. / Vendu !

 

Retour en stock d'un exemplaire (photo N°2), même année / même édition.

Le Livre de Poche / 1971 / 695 pages / 350 grammes.

Marques de pliures sur plats + tranche présentant quelques fines cassure, mais mieux que le précédent… tranche quasiment pas incurvée ( ce qui est plutôt rare pour un livre de poche aussi épais ! ) intérieur tout à fait propre et sain, pas mal du tout !  

>>> 5,80 €uros. / disponible.

 

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Ailleurs = entre 3,50 et 10 €uros sur priceminister.

( Selon les états… et les vendeurs ! )SAJER-01_Poche.jpg 

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Interview de Guy Sajer, 39-45 Magazine, décembre 1993.

>>> http://deuxiemeguerremondia.forumactif.com/t2404-intervie... 

 

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Mes parents sont nés sur la terre, à quelque mille kilomètres de distance. D'une distance encombrée de difficultés, de complexes étranges, de frontières entremêlées, de sentiments équivalents et intraduisibles. Moi, j'ai abouti de cette alliance, à cheval sur cet ensemble délicat avec une seule vie pour débattre tant de problèmes.

J'ai été enfant, mais cela est sans importance. Les problèmes existaient avant moi, et je les ai découverts. Puis il y a eu la guerre. Je l'ai alors épousée, parce qu'il n'y avait guère qu'elle a l'âge que j'ai eu, moi aussi, lorsque l'on est amoureux.

Je fus brutalement comblé. J'avais soudain deux drapeaux à honorer, deux lignes de défense, l'une Siegfried, l'autre Maginot, et puis aussi de grands ennemis à l'extérieur. J'ai servi, j'ai rêvé, j'ai espéré. J'ai eu également froid et peur sous le portail où jamais n'est apparue Lilli Marlène.

J'ai dû mourir aussi un jour, et depuis, rien n'a eu tellement d'importance.

Alors, je demeure ainsi, sans regret, désolidarisé de toute condition humaine.

( Guy Sajer )  

 

Graveland - Biale Bestie Swaroga

15/09/2012

Il fallait bien le dire à la fin.

louis-ferdinand cÉline,l’école des cadavresIls promettent, ils rient, tout est dit.

César : les Celtes.

 

Parlons un peu sérieusement.  Parlons un peu de notre avenir. Elle va durer combien d’années la prochaine "dernière" ? La reder des ders ?… Dix ans ça semble un minimum.

Les spécialistes nous rencardent qu’ils ont fait des progrès splendides en armes défensives, mais qu’ils sont beaucoup moins fiers des engins d’attaque. En comparaison c’est loupé. Les offensives caneront pour sûr,  figeront, cafouilleront dans les  barrages. C’est écrit. Voyez l’Espagne… Les mitrailleuses nouveau régime, sont invincibles, infranchissables. Donc des hostilités très longues, très coûteuses, très meurtrières, très pâteuses, anéantissantes pour tout dire. La prochaine nous coûtera au moins dans les vingt-cinq millions de morts, tant civils que militaires. C’est moins qu’on peut estimer, par mitrailles, bombes, insurrections, épidémies, etc…

C’est le minimum optimiste pour la France vaillante, cocue et pas éternelle. Nous aurons trois, quatre et cinq fronts pour déployer nos héroïsmes, de la vraie gâterie. Que nous sortions vainqueurs ou vaincus de ces fariboles, le résultat sera le même pour nous. Strictement réduits à zéro, France anéantie par disparition des Français ! Ils ont beaucoup trop saigné, les Français, depuis 89. Ils perdent cent mille soldats par an, par malthusianisme. Ils ne font plus d’enfants. Une guerre par-dessus le marché ?

Ça sera pas la vraie "lutte finale", ça sera la boucherie terminale, la folle saignée torrentielle, démentielle, exhaustive. L’hémorragie à blanc. Moi je peux bien donner mon pronostic, je suis médecin, j’ai le droit.

L’issue de la prochaine on s’en fout, puisque de toutes les  façons, nous serons portés disparus, repassés en cours de route. Ça peut pas nous intéresser, ni la victoire, ni la défaite, puisque de toutes les manières, nous ne verrons ni l’une ni l’autre, nous serons décédés bien avant, emboutis, broyés, émiettés dans les  fracasseries enthousiastes, les croisaderies libératrices fantastiquement fulminantes. On retrouvera même pas nos cendres tellement on sera partis violents. Nous disparaîtrons corps et âme de ce territoire, bien avant la dernière bataille la Patrie elle existera plus, fumée ! ça sera des souvenirs de boudins, des fictions épongées au sang. À la fin de la prochaine guerre, on aura vu tellement de choses, il s’en sera passé des si drôles, qu’on se souviendra même plus de ceux qui l’auront commencée, ni pourquoi ils l’ont commencée…

Ils existeront plus les Français, ce sera pas une très grande perte, des hurluberlus si futiles, si dégueulassement inflammables pour n’importe quelle connerie.

Nous disparaîtrons corps et âme de ce territoire comme les Gaulois, ces fols héros, nos grands dubonnards aïeux en futilité, les pires cocus du christianisme. Ils nous ont pas laissé vingt mots de leur propre langue. De nous, si le mot "merde" subsiste ça sera bien joli.

 

Avec notre natalité déjà si piteuse, d’aztèques, de décadents risibles, notre biologie  chancelante, nos métissages dégradants, notre rabougrisme spirituel, notre alcoolisme épanoui,  nous ne pouvons nous payer à aucun prix le luxe d’une autre guerre. C’est classé.

La guerre pour nous, n’importe quelle guerre, malheureuse ou victorieuse, c’est tout pareil, c’est du suicide. La prochaine mobilisation, une de trop, on pourra bien l’encadrer, ça sera notre "Faire-Part" ! "Faire-Part-National" ! dans l’Union  nationale, pour la Conscience universelle. Notre population  autochtone, déjà si dangereusement abâtardie par les croisements négroïdes, afro-asiatiques, les  apports de juifs tordus, le confusionnisme maçonnique, la trahison raciale, la dégénérescence érigée en religion sublimement humanitaire ne résistera pas à deux années de systématiques tueries.

Les Français, dès le premier jour, dès la gare de l’Est, s’en iront littéralement fondre dans la catastrophe, on n’en retrouvera plus la trace. Encore une autre épuration comme celle de 14 et c’est la fin du cheptel. La Gaule "chevelue" ! comme ils l’appelaient, et puis la "Gaule chauve", elle deviendra la "Gaule des cimetières". Tout simplement. Feu l’indigène sera départi sans le moindre espoir de retour.

Il fallait bien le dire à la fin. Ça peut pas servir à grand’chose, mais c’est agréable.

 

Au point où nous en sommes, dans l’extrême péril racial, biologique, en pleine anarchie, cancérisation fumière, où nous enfonçons à vue  d’œil, stagnants, ce qui demeure, ce qui subsiste de la population française devrait être pour tout réel patriote infiniment précieux, intangible, sacré. À préserver, à maintenir au prix de n’importe quelles bassesses, compromis, ruses, machinations, bluffs, tractations, crimes. Le résultat seul importe. On se fout du reste ! Raison d’État ! la plus sournoise, la plus astucieuse, la moins glorieuse, la moins flatteuse, mais qui nous évite une autre guerre. Rien  ne coûte du moment qu’il s’agit de durer, de maintenir. Éviter la guerre par-dessus tout. La guerre pour nous, tels que nous sommes, c’est la fin de la musique, c’est la bascule définitive au charnier juif.

Le même entêtement à résister à la guerre que déploient les Juifs à nous y précipiter. Ils sont animés, les Juifs, d’une ténacité atroce, talmudique, unanime, d’un esprit de suite infernal et nous ne leur opposons que des mugissements épars.

Nous irons à la guerre des Juifs. Nous ne sommes plus bons qu’à mourir. Nous voici parvenus à ce degré d’hébétude, de décrépitude abjecte, où même l’instinct de conservation nous abandonne, nous l’avons dégoûté. Plus un  seul patriote en France. Tous vendus, trouillards, pourris, éperdus d’honneur soi-disant, transis de pétoche maçonnique, de toutes les trouilles, trouille des Juifs, trouille de louper un nougat, trouille de perdre l’appétit, le sommeil, la transpiration, la petite amie, la concierge, le facteur, la jaquette, le petit ami, le demi-tarif, mes civilités empressées, la queue pluvieuse au cinéma, leur petite tête, une plus énorme légion d’honneur.

Comme patriotes nous n’avons plus, patentés, que ce terrible ramassis de Vénérables en rupture, maréchaux ou pas, Commissaires priseurs en toutes Urnes, Comiteux académiciens, perclus à prébendes, fantoches infiniment repoussants, ventriloques pour toutes trahisons, encaisseurs en tous bicornes, absolument plus regardables de la calvitie aux éperons. Mais ça cause, ça n’arrête pas, ça chevrote, ça beugle, ça redonde d’un vent dans un autre. Ça obstrue tout. Ça obstrue tout.

C’est l’infini d’allées, venues, de la Tribune aux Cimetières. Procureurs assermentés pour toutes boucheries historiques.  Comme ces moutons à la Villette spécialement dressés, les "doubleurs", qui mènent leurs copains au tranchet indéfiniment, à la ribambelle, par tous les couloirs, bêlants…

 

Louis-Ferdinand CÉLINE : L’école des cadavres (1938).

13/09/2012

I'm the Horned God

Damh the Bard - Noon of the Solstice

 

In times long past 
lived a Man of green,
And his footsteps brought life wherever he'd been.
In the deepest wildwood 
was the place he was seen,
And the people did love 
and protect him.
And they saw his face change, 
with the turn of the Wheel
of the Seasons,
They heard his voice sing. 

     
(Chorus)
    I'm the Horned God,
    I'm the face in the trees,
    I'm the breath of the wind that rustles the leaves,
    I'm the Green Man 
    in the wildwood I roam,
    Cernunnos, I'm Pan and I'm Herne.

I shall be as the Dark Holly King,
Darkness and cold 
in my cloak I will bring,
And on Winter's nights 
to me you will sing,
Till the air around me starts changing,
And on the noon of the solstice 
I'll give up my crown,
To the Light 
and the Mighty Oak King.

All Summer long 
I shall rule just and fair,
Bring your crops to fruit 
with the light that I share,
With fire and water, 
from earth into air,
But the Wheel it keeps 
steadily turning.
And on the noon of the Solstice 
I'll give up my crown,
To the cold and the Dark Holly King.

T 'is now modern times 
and the Summer is here,
The Winter has gone 
and the air it is clear,
On a fine day I walked 
through a woods I live near,
When a battle I spied 
through a clearing,
Two giants of leaves, 
one light and one dark,
Even now the Wheel it is turning !

 

10/09/2012

Fêtes aux escargots

« Des fêtes aux escargots j’en ai raté qu'cinq dans ma vie. Les années 14, 15, 16, 17, 18… quand c'était qu'c'est qu'j’étais aux Dardanelles et pis qu'aux Dardanelles y’avait pas d'escargots… »