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03/08/2013

Dernière séance...

assemblée nationale, monde en perdition, j'm'en foutisme, ripoublique3 députés et 1 sous-ministre présents !

 

Paris, Palais Bourbon, 09h30 le jeudi 25 juillet 2013 …

Ouverture de la dernière séance de l'assemblée nationale avant les vacances de nos besogneux députés… 1 présent et 1 représentant du Gouvernement ! Un tantinet esseulés, le président de séance et le ministre délégué au budget réussissent par huissiers interposés à rameuter deux imprudentes élues du peuple qui traînaient dans le coin où se rafraîchissaient à la buvette du bidule en l'attente de faire leur shopping dans les environs.

3 députés présents dont l'obligé (quand même) président de séance et 2 élues quasiment amenées de force et un sous-ministre, juste de quoi faire une partie de belote ! On ne sait pas trop si cet absentéisme record était motivé par le départ anticipé en villégiature pour éviter la promiscuité populaire sur les routes, dans les gares ou les aéroports ou par un ordre du jour jugé sans intérêt : ratifications de quelques conventions internationales, règlement du budget et des comptes pour 2012, problème des soins sans consentement en psychiatrie mais aussi hommage aux victimes du train fou de San Sebastian… une manifestation probablement jugée broutillesque par les politicards qui s'étaient pourtant dans un bel ensemble mis au garde à vous pour une minute, clapet fermé et oeil humide, en hommage appuyé au haineux gringalet gauchiste qui, il est vrai, a permis de justifier la répression contre les contempteurs de la ripoublique en train de crever. 

On mettra ce bel exemple de dévoûment à la chose publique (res publica) en parallèle avec les avantages des susdits qui au fil des ans, n'ont fait que croître et embellir. En 2103, un damné de la Chambre se prend chaque mois dans la poche des citoyens-contribuables une indemnité de 5189 € nets + 6412 € bruts pour frais de mandat + 9138 € bruts pour ses collaborateurs (souvent conjoint(es) ou proches) + pléthore de privilèges qui ne disparaîtront pas durant la nuit du 4 août  (gratuité en 1ère classe sur tout le réseau SNCF, forfaits gratuits pour Internet et 5 lignes téléphoniques, crédit quasiment gratuit…), 6 mois de "chômage" en cas de non-réélection et aide au retour à l'emploi équivalente à leur indemnité… bref une sinécure byzantine qui justifierait au minimum d'assister aux séances quitte chaque après-midi à s'y abandonner à une douce somnolence gastro-hépatique.

Et ces gens là prétendent représenter le Peuple de France et travailler à son bien-être… décidément on marche sur la tête ! Un grand coup de balai, vite !   

 

Yves Darchicourt

 

Via Synthèse Nationale : http://synthesenationale.hautetfort.com/

http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2013/08/0...

01/08/2013

Fin des vacances...

Bon allez…

On tire encore au flanc jusqu’à ce soir…

Mais c’est promis, on s’y recolle à fond dès demain !

Mise en ligne du premier chapitre du « catalogue livres » sur le Bouquinorium…

Et reprise des activités sur l’ensemble des autres blogs.

 

vacances 

Demain, c'est S.F… sur le Bouquinorium !  

 

( Photo-montage : Franco Brambilla ) 

( http://francobrambilla.com/home.html )

18:14 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : vacances

21/07/2013

Mary Black - Siúil A Rúin

 

I would I were on yonder hill
It's there I'd sit and cry my fill
And every tear would turn the mill Is go dté tú mo mhúirnín slán
   (And may you go safely, my darling)

Siúl siúl siúl a rún
   (Go, go, go, my love)
Siúl go socair 'is siúl go ciúin
   (Go quietly and go peacefully)
Siúl go doras agus éalaigh liom
   (Go to the door and fly with me)
Is go dté tú mo mhúirnín slán
   (And may you go safely, my darling)

I'll sell my rock, I'll sell my reel
I'll sell my only spinning wheel
For to buy my love a coat of steel
Is go dté tú mo mhúirnín slán

I'll dye my petticoats, I'll dye them red
And 'round the world I'll beg for bread
Until my parents would wish me dead
Is go dté tú mo mhúirnín slán

And now my love has gone to France
To try his fortune to advance
If he ne'er came back, there'll be but a chance
Is go dté tú mo mhúirnín slán

Mary Black - Siúil A Rúin

[The HS - BBC4 2005 - Killiecrankie, Perthshire]

Dessins de Chard

3-9et9-3.gif

abominableprovocation.gif

citoyendenonce.gif

renouveauspirituel.gif

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D’autres ?

Rien de plus simple…

Cliquez sur la bannière ci-dessous !

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09:41 Publié dans Blog, Humour | Lien permanent | Commentaires (0)

15/07/2013

Ungern vu par Evola / Part.1

Le baron von Ungern vénéré dans les temples mongols.

Par Julius Evola

 

Depuis peu, on ne cesse d’écrire sur une figure qui, malgré sa stature extraordinaire, était passée presque inaperçue dans le tumulte consécutif à la précédente guerre : celle du baron Ungern-Sternberg. Ossendovski avait été le premier à s’intéresser à lui, à grands renforts d’effets dramatiques, dans son célèbre et très controversé Bêtes, hommes et dieux. Il a été suivi par une vie "romancée" du baron von Ungern, publiée par Vladimir Pozner sous le titre de La Mort aux dents ; puis, par une seconde vie romancée, de B. Krauthoff : Ich befehle - Kampf und Tragödie des Barons Ungern-Sternberg.

Ces livres semblent toutefois donner une image inadéquate du baron von Ungern, dont la figure, la vie et l’activité sont susceptibles de laisser une grande latitude à la fantaisie en raison de leurs aspects complexes et énigmatiques. René Guénon, le célèbre écrivain traditionaliste, contribua à mieux faire connaître le baron en publiant des passages de lettres écrites en 1924 par le major Alexandrovitch, qui avait commandé l’artillerie mongole en 1918 et en 1919 sous les ordres directs de von Ungern; et ces données, d’une authenticité incontestable, laissent à penser que les auteurs de ces vies romancées se sont souvent appuyés sur des informations inexactes, même en ce qui concerne la fin du baron.

Descendant d’une vieille famille balte, von Ungern peut être considéré comme le dernier adversaire acharné de la révolution bolchevique, qu’il combattit avec une haine implacable et inextinguible. Ses principaux faits d’armes se déroulèrent dans une atmosphère saturée de surnaturel et de magie, au cœur de l’Asie, sous le règne du dalaï-lama, le "Bouddha vivant". Ses ennemis l’appelaient "le baron sanguinaire" ; ses disciples, le "petit père sévère" (c’est le tsar que l’on appelait "petit père"). Quant aux Mongols et aux Tibétains, ils le considéraient comme une manifestation de la force invincible du dieu de la guerre, de la même force surnaturelle que celle de laquelle, selon la légende, serait "né" Gengis Khan, le grand conquérant mongol. Ils ne croient pas à la mort de von Ungern – il semble que, dans divers temples, ils en conservent encore l’image, symbole de sa "présence".

Lorsqu’éclata la révolution bolchevique, von Ungern, fonctionnaire russe, leva en Orient une petite armée, la "Division asiatique de cavalerie", qui fut la dernière à tenir tête aux troupes russes après la défaite de Wrangel et de Kolchak et accomplit des exploits presque légendaires. Avec ces troupes, von Ungern libéra la Mongolie, occupée alors par des troupes chinoises soutenues par Moscou ; après qu’il eut fait évader, par un coup de main extrêmement audacieux, le dalaï-lama, celui-ci le fit premier prince et régent de la Mongolie et lui donna le titre de prêtre. Von Ungern devait entrer en relation, non seulement avec le dalaï-lama, mais aussi avec des représentants asiatiques de l’islam et des personnalités de la Chine traditionnelle et du Japon. Il semble qu’il ait caressé l’idée de créer en grand empire asiatique fondé sur une idée transcendante et traditionnelle, pour lutter, non seulement contre le bolchevisme, mais aussi contre toute la civilisation matérialiste moderne, dont le bolchevisme, pour lui, était la conséquence extrême. Et tout laisse à penser que von Ungern, à cet égard, ne suivit pas une simple initiative individuelle, mais agit dans le sens voulu par quelqu’un qui était, pour ainsi dire, dans les coulisses.

 

Le mépris de von Ungern pour la mort dépassait toutes les limites et avait pour contrepartie une invulnérabilité légendaire. Chef, guerrier et stratège, le "baron sanguinaire" était doté en même temps d’une intelligence supérieure et d’une vaste culture et, de surcroît, d’une sorte de clairvoyance : par exemple, il avait la faculté de juger infailliblement tous ceux qu’il fixait du regard et de reconnaître en eux, au premier coup d’œil, l’espion, le traître ou l’homme le plus qualifié pour un poste donné ou une fonction donnée. Pour ce qui est de son caractère, voici ce qu’écrit son compagnon d’armes, Alexandrovitch : "Il était brutal et impitoyable comme seul un ascète peut l’être. Son insensibilité dépassait tout ce que l’on peut imaginer et semblait ne pouvoir se rencontrer que chez un être incorporel, à l’âme froide comme la glace, ne connaissant ni la douleur, ni la pitié, ni la joie, ni la tristesse". Il nous paraît ridicule d’essayer, comme l’a fait Krauthoff, d’attribuer ces qualités au contrecoup occasionné par la mort tragique d’une femme qu’aurait aimée von Ungern. C’est toujours la même histoire : les biographes et les romanciers modernes n’ont point de cesse qu’ils n’aient introduit partout le thème obligatoire de l’amour et de la femme, même là où il est le moins justifié. Même si l’on tient compte du fait que von Ungern était bouddhiste par tradition familiale (c’était la religion à laquelle s’était converti un de ces ancêtres, qui était allé faire la guerre en Orient), tout laisse à penser que les qualités indiquées par Alexandrovitch se rapportent au contraire à une supériorité réelle et qu’elles sont celles qui apparaissent dans tous ceux qui sont en contact avec un plan vraiment transcendant, supra-humain, auquel ne peuvent plus s’appliquer les normes ordinaires, les notions communes du bien et du mal et les limitations de la sentimentalité, mais où règne la loi de l’action absolue et inexorable. Le baron von Ungern aurait probablement pu devenir un "homme du destin", si les circonstances lui avaient été favorables. Il n’en fut rien et c’est ainsi que son existence fut semblable à la lueur fugace et tragique d’un météore.

Après avoir libéré la Mongolie, von Ungern marche sur la Sibérie, prenant tout seul l’initiative de l’attaque contre les troupes du "Napoléon rouge", le général bolchevique Blücher. Il devient la terreur des bolcheviques, qu’il combat impitoyablement, jusqu’au bout, même s’il comprend que son combat est sans espoir. Il obtient d’importants succès, occupe plusieurs villes. Finalement, à Verchnevdiusk, attaqué par des forces bolcheviques plus de dix fois supérieures aux siennes et décidées à en finir avec leur dernier antagoniste, il est contraint de se replier après un long et âpre combat.

 

À partir de ce moment, on ne sait plus rien de précis sur le sort de von Ungern. D’après les deux auteurs de sa biographie "romancée", Pozner et Krauthoff, il aurait été trahi par une partie de son armée, serait tombé dans un état de prostration et de démoralisation et, fait prisonnier, il aurait été fusillé par les rouges. Krauthoff imagine même une entrevue dramatique entre le "Napoléon rouge" et von Ungern, au cours de laquelle celui-ci aurait refusé la proposition que celui-là lui aurait fait de lui laisser la vie sauve s’il servait la cause des rouges comme général soviétique. Il semble toutefois que tout cela ne soit que pure invention : d’après les informations publiées par Guénon et auxquelles nous avons fait allusion plus haut, von Ungern n’aurait nullement été fait prisonnier, mais serait mort de mort naturelle près de la frontière tibétaine [1].

Cependant, les diverses versions concordent singulièrement sur un détail, c’est-à-dire sur le fait que von Ungern aurait connu avec exactitude le jour de sa mort. D’ailleurs, un lama lui avait prédit qu’il aurait été blessé – au cours de l’attaque des troupes rouges à la station de Dauria. Et ce ne sont pas là les seuls éléments qui rendent suggestive l’étrange figure du "baron sanguinaire". Voici un curieux témoignage sur les effets que, à certains moments, son regard produisait sur ceux qu’il fixait : "Il éprouva une sensation inconnue, inexplicable, de terreur : une sorte de son emplit sa poitrine, semblable à celui d’un cercle d’acier qui se resserre de plus en plus". Le fait est que, pour ceux qui étaient proches de lui, son prestige et le caractère irrésistible de sa force de commandement revêtaient quelque chose de surnaturel et le distinguaient ainsi d’un simple chef militaire.

Encore un fait singulier : d’après ce que rapporte Guénon, des phénomènes énigmatiques, de nature "psychique", se sont produits ces derniers temps dans le château de von Ungern, comme si la force et la haine de celui qui fut considéré au Tibet comme une manifestation du "dieu de la guerre" brandie contre la subversion rouge avait survécu à sa mort, sous forme de résidus agités de cette figure tragique, qui a, sous plus d’un aspect, les traits d’un symbole.

 

Julius Evola

La Stampa, 15.III.1943 – XXI E.F.

 

* * *

 

[1] Les archives soviétiques indiquent que von Ungern fut effectivement trahi, capturé, jugé et fusillé sur les ordres de Lénine.

 

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Sources : Evola As He Is

 

http://www.centrostudilaruna.it/ 

http://euro-synergies.hautetfort.com/

http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2013/06/24/l...

 

von ungern-sternberg,julius evola

Manowar - Sons of Odin

Une Femen symbole de la France !

Tous les soirs, je me dis : « cette fois c’est clair, on ne pourra pas tomber plus bas ! »

Et chaque matin… ils font en sorte de me détromper !

Où s’arrêtera-t-on ?

 

Capture Marianne Femen 02.jpg

http://aliceadsl.glamourparis.com/snacking-du-web/articles/francois-hollande-choisit-une-marianne-inspiree-des-femen-150713/19816

 

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Marianne Femen 03.jpg

François Hollande révèle le nouveau timbre Marianne, le 14 juillet 2013 à l'Elysée. 

(François Mori / AFP)

 

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« Maintenant, tous les homophobes, extrémistes et fascistes

devront me lécher le cul avant d'envoyer une lettre ! »

 

a déclaré Inna Shevchenko, nouveau symbole de la France.

 

Inna Shevchenko.jpeg

Inna Shevchenko 02.jpg

11/07/2013

Alain Soral / Égalité & Réconciliation

Et ouais…

Car même si chez F.E… nous ne sommes pas toujours d’accord avec R.E.

Il est clair que pour ce qui en est de ses vidéos estampillées « mai-juin 2013 », nous avons trouvé l’ami Soral particulièrement inspiré !

 

C’qui fait que hop… hop… et re-hop…

Vérifiez que vos cages à miel sont en bon état de marche…

Et installez-vous confortablement !

 

 


 

  


 

 

ERTV

10/07/2013

Socialistes identitaires européens

R&A : Comment souhaiteriez-vous voir évoluer notre mouvance à l’avenir ?

 

Roberto Fiorini : Nous avons tout un camp identitaire révolutionnaire à construire. Tout un camp à former, à fédérer, et à mettre au travail. En étant capable de produire nos propres analyses, loin de l’œil libéral qui déforme et conditionne, tout en nous enfermant dans la pensée unique. Que notre camp arrête de penser selon le schéma droite/gauche et même d’accepter de se dire d’extrême-droite, car c’est admettre que l’on peut à un moment ou un autre servir de larbin au capitalisme. C’est insupportable ! Être plus pragmatique, tout en cessant de prendre nos désir pour des réalités. Que se construise l’unité des socialistes identitaires européens. Derrière le terme de socialistes, il faut entendre l’obligation qui s’impose à chacun d’entre nous de se mettre au service de sa communauté sans rien attendre en retour. Nous ne sommes pas les derniers d’hier, nous sommes les premiers de demain. 

 

Roberto Fiorini / Réfléchir & Agir N°44, été 2013. 

 

roberto fiorini,réfléchir & agir,socialistes identitaires européens 

05/07/2013

Dès lundi...

Bon…

C’est clair que nous n’avons pas posté grand chose dans le courant du mois de juin…

Et que malgré tout, le catalogue musique est quand même sorti avec 10 jours de retard !

( http://dieunaussprechlichenkulteneditions.hautetfort.com/... )

 

Alors oui, je l’admets, nous pourrions vous pondre toute une tartine pour vous expliquer le pourquoi du comment dudit retard… et tout ça tout ça…

Mais fouchtre, vu que nous sommes (justement) en retard de 10/12 jours sur TOUT…

Nous ne le ferons pas ! (Héhé!)

 

Nous nous contenterons de vous dire que la version papier du catalogue musique…

Ainsi que notre nouveau catalogue « Livres »…

Seront disponibles et/ou en ligne entre le samedi 13 et le lundi 15 qui viennent.

 

Et que d’ici là, dès lundi, TOUS nos blogs reprendront leurs rythmes de croisière…

Via une publication quasi-journalière.

 

Voili voiloù…

Désolés pour cette courte baisse de régime…

Et à lundi, pour ce qui en est d’un retour à la normale.

 

Cordialement :

L’équipe D.U.K.E

 

Team-DUKE_01.jpg

16:28 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)