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26/02/2015

Don Cossacks commander Nikolay Kozitsyn

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Debaltsevo / Don Cossacks commander Nikolai Kozitsyn

Part. 1 / Source : Novorossia News Channel

15/01/2015

Contre-attaques des forces de Nouvelle Russie

Ukraine / Donbass :

Contre-attaques des forces de Nouvelle Russie

A la surprise générale, alors que tout le long de la ligne de front semblait fixé pour plusieurs semaines encore, sinon pour plusieurs mois, on apprend qu’une contre-offensive des forces de Nouvelle Russie serait en cours. Des données fragmentaires qui nous parviennent font état de progressions significatives des FAN vers Mariupol sur l’aéroport de Donetsk (déjà hier), sur la partie orientale et sud du saillant de Debaltsevo et au nord-ouest de Lugansk.

L’ex-ministre de la Défense de la République populaire de Donetsk, Igor Strelkov, a annoncé que les forces républicaines avaient lancé une contre-offensive sur le front du Donbass. « Selon les informations reçues, les FAN sont passées à l’offensive sur le tronçon sud du front. Non sans succès. L’axe de Mariupol. J’attends d’en savoir plus. L’opération est en cours et l’ennemi en est informé bien mieux que nous », a déclaré le colonel Girkin sur le forum internet où il intervient régulièrement (source).

( Note de K.,voir aussi : http://novorossia.today/strelkov-armee-de-la-novorossia-est-passee-a-la-contre-offensive/ )

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Affrontements intenses à l’ouest de Shachtye

(…) Les FAN ont engagé leurs 1re et 3e brigades sur Orekhovo-Donetsk (nord immédiat de Krymskoe), détruisant le poste de contrôle kievien qui était situé à l’avant du village. Les combats ont été particulièrement durs. Du côté des troupes ukrainiennes on déplore la perte d’une dizaine de chars, de plusieurs BTR, de 4 BMP, d’environ 10 mortiers, d’une batterie de 4 obusiers, de 2 lanceurs Grad, d’un Hummer et de 7 camions Ural, en plus d’environ 200 blessés et des dizaines de morts. Les FAN semblent avoir perdu 2 chars lourds, 3 BTR et BMP, 2 mortiers 1 obusier et 2 camions Ural, de même que plusieurs morts et une cinquantaine de blessés.

Plus à l’ouest, les reconnaissances offensives de ces derniers jours de la part des FAN se sont transformées en une progression significative entre Slavyanoserbsk et Krymskoe (au nord-ouest de Lugansk et à l’ouest de Shachtye sur la Seversky Donets). Mais, en dépit d’un certain nombre de rapports optimistes, la progression se fait lentement. (…)

Plus à l’ouest à environ 6 km, le village d’Orikhove serait en passe d’être repris par les cosaques.

Offensive simultanée au nord et au sud de Debaltsevo

Sur la partie orientale du pourtour du saillant fortifié de Debaltsevo, on note depuis 48 heures une offensive simultanée au nord-est et au sud-est de l’agglomération aux mains des Ukrainiens, jusqu’à Kirivskoe, avec une progression de plusieurs kilomètres en quelques heures des forces de Mozgovoi et des cosaques du Don, pour la partie nord de la manœuvre.

Sur le versant nord-est de la poche, la brigade « Prizrak » a été presqu’entièrement engagée avec une partie des unités cosaques, le tout étant appuyé par d’importants moyens d’artillerie positionnés vers Stakhanov : plusieurs villages ont été reconquis de haute lutte vers Sanzharovka (8 km au nord de Debaltsevo). Le village de Polevoe, plus en arrière du dispositif kievien sur ce secteur, semble être passé entre les mains des unités républicaines, ce qui signifie que les forces de Kiev auraient reculé de près de 4 km.

Au sud de Debaltsevo, une position fortifiée contrôlant un carrefour routier a été pilonné par les cosaques au moyen de Grad-P : les forces ukrainiennes ont eu 1 tué et 5 blessés. Mais l’essentiel de l’effort républicain se situe au niveau de Nikishino, quelques kilomètres plus au sud-est où les forces ukrainiennes semblent, là encore, en grosses difficultés.

(…)

Si les efforts de « Prizrak » et des cosaques d’un côté du nord du saillant se rejoignent avec ceux des éléments de la 3e brigade d’infanterie motorisée de Gorlovka (ex-brigade « Demon » du général Bezler) de l’autre côté, alors les forces ukrainiennes regroupées dans le saillant risquent de se retrouver dans un chaudron. Mais nous n’en sommes pas là. 

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Batterie d’obusiers de 122 D-30 des FAN en position vers Pervomaïsk

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Donetsk : les combats continuent à l’aéroport

Donetsk pilonnée à l’artillerie lourde

En dépit des succès significatifs d’hier pour les forces indépendantistes, la bataille pour le contrôle total de l’aéroport n’est toujours pas terminée. Selon des sources proches de la brigade « Vostok », les FAN contrôleraient complètement la zone. Selon Arsen Pavlov, dit Motorola, le bataillon « Sparta » aurait uniquement pris le premier étage du bâtiment de la nouvelle aérogare, la bataille continue.
« Sparta » aurait fait hier 24 prisonniers ukrainiens et ce matin 18 soldats de Kiev restaient terrés dans les sous-sols, refusant de se rendre.

(…)

Petro Porochenko vient de signer un décret concernant la prochaine mobilisation. Ce sera la quatrième vague de conscription forcée, deux autres sont prévues en avril et en juin. Kiev a bien l’intention de continuer de faire la guerre au peuple du Donbass, en dépit de la désinformation occidentale qui affirme le contraire.

Jacques Frère / 14 janvier 2015

Pour lire l’article dans son intégralité, regarder les vidéos, étudier les cartes > c’est ici !

http://www.nationspresse.info/  

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http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/ukraine-donbass-contre-attaques-des-forces-de-nouvelle-russie#more-238771 

25/10/2014

Interview de l'Ataman Kozystin, des cosaques du Don

 Interview with Ataman Kozystin about situation on the frontlines

[eng subs] / PART 1 / 21-10-2014.

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Nikolai KozitsynAtaman (chief) of the Great Host of the Don Cossacks

24/06/2014

Les cosaques, maîtres de la terre russe.

Les cosaques, maîtres de la terre russe.

Par Inna DOULKINA pour Le Courrier de Russie

 

Originellement publié le Mardi 13 mai 2014.

 

On les avait crus morts il y a cent ans...

Les vrais cosaques ont quitté la Russie après la révolution de 1917, disions-nous, et ceux qui paradent dans leurs uniformes aujourd’hui, chantent leurs chansons et créent des associations sont des clowns, de faibles imitateurs, des acteurs déguisés, rien de plus. La crise en Ukraine a démontré combien nous avions tort.

 

On les a vus en Crimée d’abord : ces hommes robustes et barbus ne cachaient pas qu’ils étaient venus de Russie pour « aider leurs frères à défendre la foi orthodoxe ». On les a vus sur les barrages routiers à l’entrée de Sébastopol : avec les habitants locaux, ils contrôlaient les voitures afin que « les nationalistes du Secteur droit [1] ne pénètrent pas dans la cité russe ». On les a vus sur la place centrale de Simferopol, aussi : avec des autochtones en tenue de camouflage, les cosaques surveillaient l’entrée des bâtiments administratifs.

 

Alexandre Mojaev.jpgAlexandre Mojaev, cosaque du Kouban. Crédits: Reuters

 

Le 18 mars, quand Vladimir Poutine a demandé au Conseil de la Fédération de reconnaître les résultats du référendum sur le rattachement de la Crimée à la Russie, à Simferopol, à l’entrée d’une base militaire, un sniper a tiré sur des gens. Deux hommes ont péri : un officier ukrainien et un membre russe des brigades d’autodéfense. Le lendemain, leurs cercueils étaient placés côte à côte et les habitants de Simferopol les inondaient de fleurs. Le Russe s’appelait Rouslan Kazakov, il venait de Volgograd et c’était un cosaque. Quand la fusillade a commencé, il s’est jeté devant le corps de son camarade blessé afin de le couvrir. On ne sait pas si c’est son sacrifice qui a calmé les esprits, mais les militaires ukrainiens et les habitants pro-russes de Crimée n’ont pas levé les armes. Le sniper a échoué dans son geste de provocation : le carnage fratricide n’a pas eu lieu.

 Rouslan Kazakov.jpgRouslan Kazakov. Crédits: VK.com

 

Puis, nous avons vu les cosaques en Ukraine, dans le Donbass : la photo de l’un d’entre eux a même été présentée par Jen Psaki, représentante officielle du Département d’État américain, en guise de preuve de la présence de forces spéciales russes en Ukraine. Mme Psaki a présenté au Conseil de sécurité de l’ONU deux photos d’hommes barbus en tenue de camouflage : l’un des clichés avait été pris en Géorgie en 2008, l’autre en Ukraine, en avril 2014. Selon Psaki, il s’agissait du même homme mais les journalistes ont vite trouvé l’erreur : sur le cliché géorgien figurait Khamzat Gaïrbekov, chef du bataillon Vostok, et sur l’autre, Alexandre Mojaev, cosaque du Kouban, venu en Ukraine « afin d’aider ses frères à libérer la terre russe ».

 

Faut-il plus de preuves pour démontrer que ce sont les Russes qui sèment le trouble en Ukraine ?, diront certains. Effectivement, les cosaques russes sont présents sur le territoire ukrainien et ils ne cherchent pas à le dissimuler. Mais s’agit-il de perfides espions de la Direction générale du renseignement de l’état-major russe, ou d’hommes simples, qui se sont soudain sentis concernés par ce qui se passe au Donbass ? – chacun en décidera pour lui-même.

 

Ce qui saute aux yeux, quand on les écoute, c’est en tout cas que pour ces cosaques, comme pour beaucoup d’habitants de l’Est de l’Ukraine, la terre russe ne s’arrête pas à la frontière russo-ukrainienne. Elle s’étend jusqu’au Dniepr. Une vidéo circule actuellement sur le Net, montrant Mikhaïl Khodorkovski en train de discuter avec les habitants de Donetsk. L’homme d’affaires explique aux gens que, vu la situation économique difficile, la Russie n’a aucun intérêt à intégrer le Donbass.

 

« Mais c’est quoi, la Russie ? répondent-ils en chœur à l’oligarque déchu. Vous croyez que c’est la seule Fédération de Russie ? Mais nous aussi, nous sommes la Russie, nos terres sont tout aussi russes. La vérité, il faut la chercher non dans l’économie mais dans la conscience juste. »

Une affirmation qui fera froid dans le dos de certains – ces Russes savent-ils seulement respecter les frontières ?! – mais qu’il est indispensable de prendre en considération dès lors que l’on souhaite comprendre ce qui se passe réellement en Ukraine.

La crise en Ukraine a en effet l’avantage de briser les mythes : sous nos yeux, l’image glacée des shows télévisés se met à déteindre, et derrière, nous découvrons une clairière dans les bois, où des hommes armés sentant la sueur et l’acier envoient valser toutes nos représentations. Nous avions pris l’habitude de croire que les frontières tracées en 1991 par Eltsine, Kravtchouk et Chouchkievitch à travers les forêts biélorusses étaient inébranlables, que la décision des trois chefs d’État nouveau-né ne pourrait jamais être revue. Et voilà qu’à la première secousse importante dans l’espace post-soviétique, on voit revenir sur l’avant-scène ceux que l’on croyait évanouis il y a longtemps : des personnages de contes à dormir debout, des inspirateurs séculaires de révoltes populaires, des cosaques. Et voilà que le monde entier découvre que ces hommes ont leur vision propre des frontières, et qu’ils sont prêts à la défendre les armes à la main.

 

Parce que l’Ukraine, malgré toutes ses tentatives de se positionner comme l’État unitaire de la nation ukrainienne, ne l’est pas. L’Ukraine actuelle est constituée de deux parties inégales, au passé foncièrement différent : les provinces de l’Ouest ont longtemps fait partie de l’empire austro-hongrois, qui s’était fixé pour mission de cultiver chez les populations locales l’esprit d’un nationalisme ukrainien virulent – afin de contrer l’influence russe.

 

De l’autre côté : les provinces de l’Est, ancien champ sauvage, peuplé depuis le XVIIème siècle par des colons russes, baptisé « Nouvelle Russie » et rattaché à la république socialiste d’Ukraine par Lénine en 1920. Le chef du premier État socialiste voulait ainsi diluer la population paysanne d’Ukraine dans les mineurs du Donbass, afin d’y augmenter la part des « prolétaires ». Peu importe : bien que considérées dès lors comme ukrainiennes, les populations du Donbass ont continué de parler russe et ont gardé un fort attachement à la Russie. En réalité, elles n’ont jamais pensé en être séparées, et rien ne le prouve mieux que leurs insurrections contre Kiev.

 

Ces hommes, par leur simple présence, déconstruisent une à une nos idées sur comment le monde est fait. Grâce à eux, on réalise que non, la planète entière ne veut pas « entrer dans l’UE » et vivre selon les normes européennes. Que l’Europe n’est pas un exemple pour tout le monde, qu’il est des gens qui préfèrent creuser dans la neige leur propre sentier plutôt qu’être contraint de suivre une voie qu’ils ne se sont pas choisie, même s’il s’agit d’une autoroute goudronnée. Dans l’univers de ces hommes, des choses auxquelles nous croyions avoir toujours cru – l’immunité diplomatique, la liberté de la presse, l’autorité des organisations internationales – retrouvent leur vacuité originelle. À Slaviansk et dans les alentours, ce qui compte, ce n’est pas votre passeport, mais vos intentions. Ici, les amis seront bien accueillis, mais les ennemis iront en prison, et leurs cartes de presse ou d’identité européenne n’y feront rien. Ces « talismans » perdent toute leur force dans les bois de Slaviansk. Sur ce territoire, ce sont d’autres objets qui sont sacrés.

 

Le ruban de Saint Georges, par exemple. Le bout de tissu qui servait jusqu’ici aux Russes à décorer leurs voitures pour le 9 mai est devenu, en Ukraine, le signe de distinction entre les prorusses et les pro-ukrainiens : quand les Berkout sont passés dans le camp du peuple du Donbass, ils les ont enfilés en guise de brassards.

Les protestataires qui occupent en ce moment même les bâtiments administratifs de la région de Donetsk portent eux aussi des rubans de Saint Georges. Le ruban irrite terriblement les Ukrainiens pro-européens : ils traitent ceux qui le portent de doryphores ; preuve de la puissance symbolique de l’objet.

 

L’hymne et le drapeau russes, ensuite. Il ne sera pas exagéré de dire que les Russes se sont « approprié » leur hymne post-soviétique lorsqu’ils l’ont entendu chanter par les foules de Lougansk. Qu’ils ont « acquis » leur drapeau lorsqu’ils l’ont vu flotter au sommet des parlements de Sébastopol, de Simferopol, de Donetsk, de Lougansk, de Slaviansk et d’autres à venir. Nulle surprise, dès lors, au fait que sur ces terres, les cosaques n’ont plus du tout l’air de guignols. En prenant les armes et en allant se battre pour les valeurs qui leur sont chères, ils nous ont montré que c’est nous qui vivions dans l’illusion, que c’était nous, les clowns. Que les beaux discours et les grandes causes ne valent rien tant que l’on n’est pas prêt à mourir pour eux. Irrévérencieux, bagarreurs, impétueux, les cosaques font irruption dans notre monde confortable. De leurs piques, ils en cassent les murs – et le monde entier réalise qu’ils étaient en papier.

 

On les croyait disparus, exterminés, anéantis depuis au moins 70 ans, ces gardiens des confins russes – et les voilà qui se réveillent et, mus par un instinct obscur, forment des troupes et partent à la défense du monde russe, cette conception des siècles passés, morte depuis longtemps, qui soudain, sous leurs pas lourds, dans leurs combats désespérés et par leurs sacrifices volontaires, ressuscite et retrouve son souffle, son sens et sa beauté. Comme le ruban de Saint Georges. Comme l’hymne et le drapeau. Comme la Russie même.

 

Inna DOULKINA

 

http://www.lecourrierderussie.com/2014/05/cosaques-maitres-terre-russe/

 

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[1] Note de Kurgan : qui n'ont - rappelons-le - de "nationalistes" que le nom...

puisqu'il est évident que lorsque l'on est prêt à s'allier à des intégristes musulmans

pour massacrer ses propres frères de race, et ce afin de servir les intérêts purement économiques d'un "gouvernement" à la solde des USA, d'Israël et des banksters

qui dirigent ces 2 "pseudo-états"... 

L'on ne mérite absolument pas/plus l'appellation "nationalistes" !  

 

22/01/2013

Ой, то не вечер / Ой, да не вечер

 

Oy, da ne vecher (Ой, да не вечер) is an old Russian folk song,

also known as "The Cossack's Parable" (Казачья Притча)

or as "Stepan Razin's Dream" (Сон Степана Разина).