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22/09/2012

Qui tisse dans la bataille...

Les Valkyries

 

Peu valorisé, le rôle des Valkyries n'en demeure pas moins essentiel dans la Mythologie Germano-Scandinave et a une place primordiale dans l'esprit du Viking. Le terme de Valkyrie vient de Valkyrja (Valkyrjur au pluriel), nom éloquent puisque le mot islandais Kjósa, déverbatif de kyrja a donné en français « kyrie », ce qui signifie « le choix » et Val « la mort », mot lui-même tiré du vieux Norrois: Valr, signifiant « les cadavres gisant sur le champ de bataille », racine que l'on retrouve également dans Valhöll qui est « la salle (höll) des guerriers morts au combat (Val) ».

Les Valkyries ou « óðins meyjar » (filles d'óðinn) sont apparentées à la famille des Dieux de la guerre nommés Æsir (Ases) et ont pour devoir de venir chercher les héros morts au combat nommés Einherjars (ceux qui combattent seuls) sur le lieu de la bataille puis les emmener dans la Valhöll ou en Allemand au « Walhalla ». C'est la demeure d'óðinn à Asgarðr. Les murs y sont couverts de lances polies, de boucliers étincelants et à chaque siège se trouve une armure rutilante. Les Einherjars y passent une existence enjouée, guerroyant avec enthousiasme quotidiennement sans jamais périr malgré les pires blessures subies et festoyant chaque nuit en dévorant le sanglier Sæhrímnir qui renaît chaque matin.

Ils y attendent valeureusement le Ragnarök (terme signifiant « le Destin final des Dieux » puis réinterprété ultérieurement avec l'influence du Christianisme comme « le Crépuscule des Puissances » puis comme « le Crépuscule des Dieux » à l'époque Wagnérienne. Le Ragnarök est l'idée de la fin du monde chez les anciens Scandinaves, l'âge où les hommes et les Dieux face à leur destin livrent ensemble un ultime combat, avant le Renouveau). Si les Valkyries, génies des morts et guerrières supraterrestres, ont le pouvoir de décider qui remportera la bataille, c'est óðinn qui choisit les guerriers qui, jugés véritablement dignes et courageux, mourront afin d'avoir l'honneur d'accroître son armée en vue du combat suprême du Ragnarök. Si elles ne se plient pas à sa volonté et n'appliquent pas ses décisions, elles seront condamnées à vivre comme de simples mortelles pouvant avoir époux et enfants.

Le nombre des Valkyrja varie selon les poèmes et les chants mais il est probable que leur nombre soit illimité. Leurs noms renvoient très souvent à une fonction guerrière et magique: Geirdríful (lanceuse de lance), Geirahöð (combat de lance), Göll (hurlement terrifiant au combat), Gunnr (bataille), Herfjöturr (lien magique de l'armée), Hladgud (qui tisse dans la bataille), Hrist (celle qui ébranle), Hlökk (vacarme des combats), Hildr (combat), Skögull (synonyme de combat), Skoggjöld (temps de la Hache), Göndul (habile au maniement du gandr / de la baguette magique), Rodgríðr (la dominatrice), Randgríðr (ravage des boucliers), Þrúðr (force), Skuld (l'avenir)… à noter que Skuld fait également partie des Nornes (équivalent des Parques dans la Mythologie Grecque). Cependant, ces noms ne sont pas très anciens et ont vraisemblablement été crées par l'imaginaire des poètes au fil du temps.

Les valkyries, apparaissent physiquement comme de magnifiques vierges blanches ayant les yeux bleus et de longs cheveux blonds coiffés en chignon. Elles sont vêtues d'amples robes de cérémonie pour servir, au Walhalla, la viande et l'hydromel aux guerriers et portent casque, bouclier ainsi qu'une lance, lorsqu'elles chevauchent, sous le tonnerre de Þhórr (Thór), de puissants étalons nacrés dans la fureur dévastatrice des combats. Dans le ciel leurs armures forment parfois d'étranges lueurs que les hommes d'aujourd'hui nomment les aurores boréales.

Au cours des époques la personnalité ainsi que la charge de la Valkyrie s'éloigne du concept originel de la mythologie Nordique et des croyances populaires pour ainsi laisser place à un portrait plus romantique et magnanime. On alla jusqu'à leur attribuer, par ineptie, une connotation sexuelle. Les Scaldes (poètes) firent avant tout éloge de leur caractère Héroïque et à travers la saga des Völsungar et en particulier du Niebelungenlied (poème autrichien écrit en 1200 relatant la vie du héros Siegfried) renchérirent leur nature humaine qu'elles n'ont pourtant pas. De fait, les personnages et les aventures relatées dans le Niebe-lungenlied sont, à tort, souvent mélangés à ceux de la tradition proprement Nordique (Edda / Völsung). Si des fondements communs existent dans ces deux Sagas on ne peut les assimiler totalement. Le caractère de la version Norroise (Völsung) est très proche du monde céleste tandis que la version Allemande (Niebelungenlied) est beaucoup plus proche du monde humain. Cette erreur fut pourtant exaltée et universalisée au XIXème siècle principalement par Richard Wagner qui, dans son oeuvre, ôta aux Valkyries leurs cruautés ancestrales ainsi que leurs aspects ténébreux.

Car si dans la société scandinave mourir courageusement au combat fut un honneur et que les Valkyries, expertes en bravoure, offrent gloire et victoire sur le champ de bataille, il ne faut pas oublier qu'elles n'en restent pas moins, à l'origine, des créatures mortuaires démoniaque redoutables, se délectant de corps démembrés, appréciant les tueries sanguinaires, les carnages de la guerre et le triomphe de la mort, n'hésitant nullement à massacrer elle-même les guerriers dont le destin est de périr, afin d'avoir le plaisir de les choyer dans la Valhöll.

L'identité de la Valkyrie véhicule indéniablement une notion de mort au combat, une mort violente réclamé par le destin. La Valkyrie est le lien fondamental entre le guerrier et sa mort. A la fois obscurité et lumière, belle et sinistre, ces majestueuses vierges funestes furent craintes et respectées de tous Vikings.

 

( http://noreg.canalblog.com/archives/2005/10/12/779638.html )

 

valkyries,valhöll,einherjars,ragnarök 

Note des blogueurs de F.E : Si vous étiez en train de chercher un prénom original pour une fille, n'hésitez pas à chaleureusement nous remercier ( bonnes bouteilles, blocs de foie gras, etc. ), vu que pour le coup, cette note vous offre gratuitement une superbe liste de first names pour le moins hors des sentiers battus ! Héhé!     

19/09/2012

Ruiner les cons...

Ruiner les intégristes…

Un bon plan…

 

A Paris, des clients déchirent "Charlie Hebdo"

devant les kiosques à journaux.

 

Des clients se sont précipités dans des kiosques à Paris mercredi matin, dans le but d'acheter et de détruire les exemplaires de Charlie Hebdo contenant les caricatures de Mahomet, selon des kiosquiers de Belleville, dans l'est de la capitale. "Quand j'ai ouvert à 6 heures ce matin, un homme attendait déjà là, une liasse de billets à la main. Il m'a demandé tous les exemplaires de Charlie Hebdo, avant de me dire qu'il comptait les détruire, ainsi que tous ceux qu'il trouverait chez les vendeurs de journaux du coin", a déclaré un kiosquier qui avait vendu tout son stock à 8 heures. Un autre kiosquier du quartier a vu ses clients chiffonner sous ses yeux les exemplaires du journal satirique qu'ils venaient de lui acheter, lui reprochant de vendre un journal qui "allait créer des problèmes en France".

 

(aliceadsl.lemonde.fr / Mercredi 19 nov.2012)

 

Quel dommage que nous ayons tous oublié jusqu’au sens même des mots COURAGE, intelligence, combat et solidaritéSans quoi, la « solidarité de la presse » pourrait rendre un grand service à l’humanité tout entière…

Puisqu’au final, il suffirait que l’ENSEMBLE de ladite « presse » publie quotidiennement des caricatures de Mahomet (quelques semaines durant) pour ruiner l’ensemble des intégristes… obligés d’acheter des millions de journaux et magazines chaque matin ! ( Héhé! )…   

 

Kurgan.    

intégristes,caricatures mahomet

18/09/2012

Graveland - Biale Bestie Swaroga

15/09/2012

Il fallait bien le dire à la fin.

louis-ferdinand cÉline,l’école des cadavresIls promettent, ils rient, tout est dit.

César : les Celtes.

 

Parlons un peu sérieusement.  Parlons un peu de notre avenir. Elle va durer combien d’années la prochaine "dernière" ? La reder des ders ?… Dix ans ça semble un minimum.

Les spécialistes nous rencardent qu’ils ont fait des progrès splendides en armes défensives, mais qu’ils sont beaucoup moins fiers des engins d’attaque. En comparaison c’est loupé. Les offensives caneront pour sûr,  figeront, cafouilleront dans les  barrages. C’est écrit. Voyez l’Espagne… Les mitrailleuses nouveau régime, sont invincibles, infranchissables. Donc des hostilités très longues, très coûteuses, très meurtrières, très pâteuses, anéantissantes pour tout dire. La prochaine nous coûtera au moins dans les vingt-cinq millions de morts, tant civils que militaires. C’est moins qu’on peut estimer, par mitrailles, bombes, insurrections, épidémies, etc…

C’est le minimum optimiste pour la France vaillante, cocue et pas éternelle. Nous aurons trois, quatre et cinq fronts pour déployer nos héroïsmes, de la vraie gâterie. Que nous sortions vainqueurs ou vaincus de ces fariboles, le résultat sera le même pour nous. Strictement réduits à zéro, France anéantie par disparition des Français ! Ils ont beaucoup trop saigné, les Français, depuis 89. Ils perdent cent mille soldats par an, par malthusianisme. Ils ne font plus d’enfants. Une guerre par-dessus le marché ?

Ça sera pas la vraie "lutte finale", ça sera la boucherie terminale, la folle saignée torrentielle, démentielle, exhaustive. L’hémorragie à blanc. Moi je peux bien donner mon pronostic, je suis médecin, j’ai le droit.

L’issue de la prochaine on s’en fout, puisque de toutes les  façons, nous serons portés disparus, repassés en cours de route. Ça peut pas nous intéresser, ni la victoire, ni la défaite, puisque de toutes les manières, nous ne verrons ni l’une ni l’autre, nous serons décédés bien avant, emboutis, broyés, émiettés dans les  fracasseries enthousiastes, les croisaderies libératrices fantastiquement fulminantes. On retrouvera même pas nos cendres tellement on sera partis violents. Nous disparaîtrons corps et âme de ce territoire, bien avant la dernière bataille la Patrie elle existera plus, fumée ! ça sera des souvenirs de boudins, des fictions épongées au sang. À la fin de la prochaine guerre, on aura vu tellement de choses, il s’en sera passé des si drôles, qu’on se souviendra même plus de ceux qui l’auront commencée, ni pourquoi ils l’ont commencée…

Ils existeront plus les Français, ce sera pas une très grande perte, des hurluberlus si futiles, si dégueulassement inflammables pour n’importe quelle connerie.

Nous disparaîtrons corps et âme de ce territoire comme les Gaulois, ces fols héros, nos grands dubonnards aïeux en futilité, les pires cocus du christianisme. Ils nous ont pas laissé vingt mots de leur propre langue. De nous, si le mot "merde" subsiste ça sera bien joli.

 

Avec notre natalité déjà si piteuse, d’aztèques, de décadents risibles, notre biologie  chancelante, nos métissages dégradants, notre rabougrisme spirituel, notre alcoolisme épanoui,  nous ne pouvons nous payer à aucun prix le luxe d’une autre guerre. C’est classé.

La guerre pour nous, n’importe quelle guerre, malheureuse ou victorieuse, c’est tout pareil, c’est du suicide. La prochaine mobilisation, une de trop, on pourra bien l’encadrer, ça sera notre "Faire-Part" ! "Faire-Part-National" ! dans l’Union  nationale, pour la Conscience universelle. Notre population  autochtone, déjà si dangereusement abâtardie par les croisements négroïdes, afro-asiatiques, les  apports de juifs tordus, le confusionnisme maçonnique, la trahison raciale, la dégénérescence érigée en religion sublimement humanitaire ne résistera pas à deux années de systématiques tueries.

Les Français, dès le premier jour, dès la gare de l’Est, s’en iront littéralement fondre dans la catastrophe, on n’en retrouvera plus la trace. Encore une autre épuration comme celle de 14 et c’est la fin du cheptel. La Gaule "chevelue" ! comme ils l’appelaient, et puis la "Gaule chauve", elle deviendra la "Gaule des cimetières". Tout simplement. Feu l’indigène sera départi sans le moindre espoir de retour.

Il fallait bien le dire à la fin. Ça peut pas servir à grand’chose, mais c’est agréable.

 

Au point où nous en sommes, dans l’extrême péril racial, biologique, en pleine anarchie, cancérisation fumière, où nous enfonçons à vue  d’œil, stagnants, ce qui demeure, ce qui subsiste de la population française devrait être pour tout réel patriote infiniment précieux, intangible, sacré. À préserver, à maintenir au prix de n’importe quelles bassesses, compromis, ruses, machinations, bluffs, tractations, crimes. Le résultat seul importe. On se fout du reste ! Raison d’État ! la plus sournoise, la plus astucieuse, la moins glorieuse, la moins flatteuse, mais qui nous évite une autre guerre. Rien  ne coûte du moment qu’il s’agit de durer, de maintenir. Éviter la guerre par-dessus tout. La guerre pour nous, tels que nous sommes, c’est la fin de la musique, c’est la bascule définitive au charnier juif.

Le même entêtement à résister à la guerre que déploient les Juifs à nous y précipiter. Ils sont animés, les Juifs, d’une ténacité atroce, talmudique, unanime, d’un esprit de suite infernal et nous ne leur opposons que des mugissements épars.

Nous irons à la guerre des Juifs. Nous ne sommes plus bons qu’à mourir. Nous voici parvenus à ce degré d’hébétude, de décrépitude abjecte, où même l’instinct de conservation nous abandonne, nous l’avons dégoûté. Plus un  seul patriote en France. Tous vendus, trouillards, pourris, éperdus d’honneur soi-disant, transis de pétoche maçonnique, de toutes les trouilles, trouille des Juifs, trouille de louper un nougat, trouille de perdre l’appétit, le sommeil, la transpiration, la petite amie, la concierge, le facteur, la jaquette, le petit ami, le demi-tarif, mes civilités empressées, la queue pluvieuse au cinéma, leur petite tête, une plus énorme légion d’honneur.

Comme patriotes nous n’avons plus, patentés, que ce terrible ramassis de Vénérables en rupture, maréchaux ou pas, Commissaires priseurs en toutes Urnes, Comiteux académiciens, perclus à prébendes, fantoches infiniment repoussants, ventriloques pour toutes trahisons, encaisseurs en tous bicornes, absolument plus regardables de la calvitie aux éperons. Mais ça cause, ça n’arrête pas, ça chevrote, ça beugle, ça redonde d’un vent dans un autre. Ça obstrue tout. Ça obstrue tout.

C’est l’infini d’allées, venues, de la Tribune aux Cimetières. Procureurs assermentés pour toutes boucheries historiques.  Comme ces moutons à la Villette spécialement dressés, les "doubleurs", qui mènent leurs copains au tranchet indéfiniment, à la ribambelle, par tous les couloirs, bêlants…

 

Louis-Ferdinand CÉLINE : L’école des cadavres (1938).

13/09/2012

I'm the Horned God

Damh the Bard - Noon of the Solstice

 

In times long past 
lived a Man of green,
And his footsteps brought life wherever he'd been.
In the deepest wildwood 
was the place he was seen,
And the people did love 
and protect him.
And they saw his face change, 
with the turn of the Wheel
of the Seasons,
They heard his voice sing. 

     
(Chorus)
    I'm the Horned God,
    I'm the face in the trees,
    I'm the breath of the wind that rustles the leaves,
    I'm the Green Man 
    in the wildwood I roam,
    Cernunnos, I'm Pan and I'm Herne.

I shall be as the Dark Holly King,
Darkness and cold 
in my cloak I will bring,
And on Winter's nights 
to me you will sing,
Till the air around me starts changing,
And on the noon of the solstice 
I'll give up my crown,
To the Light 
and the Mighty Oak King.

All Summer long 
I shall rule just and fair,
Bring your crops to fruit 
with the light that I share,
With fire and water, 
from earth into air,
But the Wheel it keeps 
steadily turning.
And on the noon of the Solstice 
I'll give up my crown,
To the cold and the Dark Holly King.

T 'is now modern times 
and the Summer is here,
The Winter has gone 
and the air it is clear,
On a fine day I walked 
through a woods I live near,
When a battle I spied 
through a clearing,
Two giants of leaves, 
one light and one dark,
Even now the Wheel it is turning !

 

05/09/2012

Un exercice runique

Un exercice runique

 

Sortez dans la nature et placez-vous dans une disposition d’esprit réceptive. Puis cherchez des runes partout où elles pourront apparaître. Vous pouvez les voir dans les branches des arbres, les fissures de la terre, les figures en vol des nuées d’oiseaux, les ombres ou les rayons de la lumière solaire. Les runes sont partout, mais nous ne les voyons que lorsque notre esprit est réceptif. Vous devez arriver à voir toutes les runes dans l’ordre, en commençant par Fehu et en finissant par Dagaz (N.d.K : ou Othala, selon votre « école »…).

Marchez à travers votre environnement et cherchez les runes. Il est préférable de faire cela dans la campagne, mais ce n’est pas impossible au sein d’un environnement urbain.

Une fois qu’une rune s’est faite connaître à vous, continuez avec la suivante. Il n’est pas forcément facile de « trouver » toutes les runes dans le bon ordre / l’ordre correct. La rune suivante peut n’apparaître qu’après un important laps de temps ; et cela peut être très frustrant.

Mais quoiqu’il en soit, même si vous n’arrivez vraiment pas à vous « connecter » à la rune suivante de la séquence, ne trichez pas ! Ne pas voir une rune est tout aussi important qu’en voir une ; puisque cet « échec » vous apprendra quelque chose sur vous-même ; que la rune que vous ne pouvez trouver « représente » quelque chose de refoulé ou de bloqué en vous.

Cet exercice est une manière très efficace de déterminer la source d’un blocage… et la rune apparaîtra (quasi-miraculeusement) dès que vous aurez compris le message…

 

Trad. et arr. par Kurgan, d’après Nigel Pennick.

(« Runes et magie : histoire et pratique des anciennes traditions runiques »)

 

Runes-naturelles_2.jpg

Runes-naturelles_3.jpg

Traces laissées par des oiseaux dans la neige = rune ALGIZ ! 

LIFE-RUNE-02.jpg

N'oubliez pas de prendre vos appareils photo'

…et envoyez-nous vos plus beaux clichés !

16:18 Publié dans Blog, Yggdrasil | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : runes, nigel pennick

XVII° Table Ronde de Terre et Peuple

XVII° Table Ronde de Terre et Peuple.jpg

 

"Nos Fidélités sont des citadelles"

 

Terre et Peuple

 

Résistance Identitaire Européenne

 

http://www.terreetpeuple.com/

01/09/2012

03 septembre...

Bien bien bien…

Réouverture « à plein temps » : lundi 03 septembre !!!

( Entre 6 heures du mat’ et minuit le soir… au gré de l’humeur du jour ! Héhé ! )

Mais bon…

D’ici là…

Et pour patienter :

 

16:14 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

25/08/2012

De retour...

25 Août…

Jour où Odin perça enfin le mystère des Runes…

 

Quel meilleur jour pour redonner vie à ces lieux !?!

Après être revenu – moi-même – à la vie.

 

Kurgan

Runes_Sleipnir.jpg

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Dieu de la guerre, Odin reste aussi - et surtout - un dieu de la magie.

Il va inventer l'écriture, imaginant les caractères sacrés qui permettent de fixer la pensée, de la réaliser, de la transmettre.

Mais tous ne doivent pas comprendre les signes inventés par le dieu borgne et que ses fidèles vont graver, en traits anguleux, sur l'os, la pierre ou le bois. Aussi ces lettres portent-elles le nom de « Rune », c'est-à-dire de Secret.

L'écriture doit rester mystère. Les étrangers, les infidèles et les impies n'ont pas le droit de connaître le message du dieu aux corbeaux. Ils ignorent au prix de quelle souffrance le père des dieux a créé ces caractères, qui vont désormais permettre aux croyants de se reconnaître et de s'accorder.

Pour inventer les runes, Odin a résolu de se sacrifier. Il s'est suspendu dans l'arbre sacré, l'if Yggdrasil, dont les racines plongent dans les trois mondes de Niflheim, de Jotunheim et de Asaheim. L'arbre se dresse sur un rocher, exposé à tous les vents. Et sur l'arbre, comme crucifié – non pas pour le salut de tous les hommes, mais pour la garde de ses seuls fidèles – souffre le dieu Odin. Il s'est percé le flanc de sa propre lance. S'offrant en sacrifice au Père-de-Tout.

 

Je me suis offert à Odin,

Moi-même à moi-même.

 

Il n'y pas d'autre dieu que lui, pour recevoir et comprendre ce sacrifice. Et de même chaque homme n'a, pour le connaître et le justifier, par d'autre homme que lui-même. Le dieu est seul comme l'homme est seul. Mais sa grandeur vient de sa solitude. Que serait le sacrifice s'il était offert à un autre dieu ? Que serait la fidélité si elle était donnée à un autre homme ? Chacun ne doit répondre que devant lui-même.

Et le coup de lance d'Odin est d'autant plus cruel et plus juste que c'est à Odin qu'il est offert.

Neuf nuits entières, le dieu borgne, qui a déjà offert un œil à la fontaine de Mimir, va rester suspendu à l'if Yggdrasil. Neuf nuits de tourment. Car rien n'est donné sans la sueur et sans le sang, sans le courage et sans la fatigue, sans la volonté et sans le mépris. Neuf nuits sur cet arbre solitaire. Neuf nuits, comme il faut neuf mois pour faire un homme.

Odin est seul. Nul ne lui donne un morceau de pain. Nul ne lui apporte une corne à boire. La faim et la soif le torturent. Et sa blessure lui ronge le flanc, comme un animal sauvage dévorant sa chair avec ses crocs. Mais il veut dépasser cette douleur. De toute sa force, il s'applique à créer les runes. Il les découvre et il les retient dans une indicible souffrance.

Dans les hautes branches de l'if Yggdrasil, le vent souffle en tempête et les racines gémissent sous la morsure des serpents. Odin, pendu sur le tronc qu'il a teint de son sang, tremble du tremblement même de l'arbre sacré. Ses corbeaux, Hugin et Munin croassent au-dessus de sa tête et ses loups, Freki et Geri hurlent à ses pieds. Toute la nature gronde dans le grand bruissement des feuilles et l'immense gémissement du vent. Le monde entier souffre avec le dieu blessé. L'énigme s'affirme douleur. Le mystère s'exalte dans le tragique. Au bout de neuf nuits, les ténèbres vont-elles se dissiper ? Tout l'esprit d'Odin se concentre sur les runes. De leur secret jaillira la lumière.

 

Jean Mabire : « Légendes de la Mythologie Nordique »

 

02/08/2012

Vacances forcées...

Comme vous avez pu le constater, le blog est muet depuis plusieurs jours...

La raison en est simple...

Kurgan a été hospitalisé en urgence... 

Du coup, ce blog restera en stand by un certain temps...

Merci de votre compréhension...

Luna

09:29 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2)