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27/12/2012

Carré. Ladich. Marchal. / Science & Violence

 

Album : SCIENCE & VIOLENCE
Première édition (LP) : 1979
Ré-édition (CD) : 1998
Auteurs : Olivier Carré, Mario Ladich, Jack Marchal

 

>>> http://reocities.com/capitolhill/senate/9313/jack.html 

 

Olivier Carré >>> http://grece-fr.com/?p=3813

Mario Ladich >>> http://www.italianprog.com/a_janus.htm 

Jack Marchal >>> http://www.les-identitaires.com/Devenir13/Culture_resista...

24/12/2012

De l’autre côté du péage...

De l’autre côté du péage, par André WAROCH

 

Ce mercredi (19 décembre 2012) sort sur nos écrans De l’autre côté du périph, avec Omar Sy et Laurent Lafitte : l’histoire de deux flics, l’un parisien, l’autre banlieusard, qui vont devoir collaborer sur une enquête policière.

Comme un écho aux Intouchables, l’objet de ce film est bien sûr la mise en scène du choc des cultures entre riches Français de souche de Paris et pauvres enfants d’immigrés de banlieue, ces deux catégories étant devenues, pour les élites médiatiques, définitivement et doublement pléonastiques.

Quelle étrange époque que la nôtre. Combien il est difficile d’en parler à ceux qui la vivent. Combien il paraît impossible de l’expliquer à ceux qui ne la connaîtront jamais. Peut-être est-ce le cas de toutes les époques ? Néanmoins, celle-ci présente certains signes extérieurs d’un caractère inédit, d’une exceptionnalité dans laquelle beaucoup pourraient ne voir que le simple résultat d’une conjonction de facteurs, alors que d’autres auraient tendance à considérer cette conjonction elle-même comme le signe évident d’un plan divin ou diabolique, en tout cas supra-humain.

Remontons le temps, jusqu’au début du septennat de Giscard. Ce n’est pas si vieux, quand même. Michel Drucker était déjà là. Qu’y avait-il alors à Argenteuil, à Trappes, à Noisy-le-Sec ? Des Français de souche. Quarante ans plus tard, on peut faire un film présentant un Paris peuplé de riches « Gaulois » cerné de banlieues abritant de pauvres « immigrés » sans que cela soulève de grandes objections. Alors que s’est-il passé ? Que sont devenus les Français des banlieues ?

Habitué à Paris, voire m’y cramponnant pour de simples raisons de survie économique, je n’en ai jamais été non plus un amoureux transi. Je dirais même que quitter Babylone-sur-Seine m’emplissait, ce matin-là, d’une joie naïve d’enfant partant pour une destination inconnue. Car j’avais décidé, moi aussi, de mener ma propre enquête. C’est ainsi qu’après m’être muni virtuellement de ma pipe et de ma loupe, je pris l’A15 en direction de Rouen, à bord d’une vieille et branlante voiture allemande, à la recherche des Français disparus.

Dans ce sens et à l’heure où j’avais pris la route, la circulation était très clairsemée. Je me rendis compte que j’aimais de moins en moins le jour et la lumière. Bien des civilisations avaient voué un culte au soleil, l’omnipotent, l’omniscient, le tout-puissant. De plus en plus, je me prenais à le haïr, à ne plus voir en lui que le projecteur d’un immense mirador. Je savourais à sa juste valeur ce moment de la journée que je goûte rarement, où la clarté naissante forme comme un voile vaporeux jeté sur les éléments, où le temps semble en suspension, où on pourrait presque croire, peut-être pas à Dieu, rien d’aussi grandiloquent, mais, je ne sais pas, à quelque chose de l’ordre de l’ineffable beauté, quelque chose de plus grand que l’homme, et hors d’atteinte, et l’environnant pourtant, comme une sorte de brume lointaine troublant l’horizon.

Mais l’aube, comme toute chose en ce monde, prit fin, et laissa sa place à la journée, la journée de travail, bruyante, lumineuse, sans mystère. De l’autre côté de l’autoroute, des hordes de voitures sales et cabossées se serraient jusqu’à quasiment s’immobiliser, alors que dans mon sens tout était dégagé. J’étais en train de quitter l’orbite de la capitale. Je me sentais déjà plus léger, comme sous l’effet de l’apesanteur. Après plus d’une heure de route, pourtant, je commençais à me demander si je sortirais un jour de cet étrange pays que je parcourais en ligne droite, essentiellement constitué de magasins de meubles, de Buffalo Grill et de logements sociaux, et dans lequel, depuis Franconville, j’avais l’impression de m’être exilé.

Puis, soudain, à la sortie de Cergy-Pontoise, je vis finir la France officielle. Je vis les dernières connections de la métropole mondialisée se refermer sur le vide. Je vis les dernières tours du pays légal s’écraser sur le rivage d’une mer infinie, faite de champs et de bois clairsemés. Comme ça, d’un coup, comme si je sortais d’une de ces villes du Far West de carton-pâte qu’on bâtissait autrefois en une semaine, le temps d’un tournage, dans le désert californien.

Je m’arrêtais à une station-service. Après quelques minutes d’hésitation, je continuai ma route, m’enfonçant dans ce territoire oublié, dernière frontière avant les espaces périurbains. Les marins croyaient autrefois que s’ils allaient trop loin vers l’Ouest de l’Atlantique, ils tomberaient à pic dans un gouffre sans fond, dévorés par des monstres sortis tout droit de l’enfer. Quant à moi, une demi-heure plus tard, passés les derniers îlots encore amarrés économiquement à la région parisienne, comme Magny-en-Vexin ou Montallet-le-Bois, avec leurs pavillons hors de prix, je tombais à pic au fond de la vallée de l’Epte. Mais je ne mourus pas. Ma voiture se redressa en même temps que la route, et je vis au loin les feux de Saint-Clair, là où, jadis, en présence du roi de France, les Vikings avaient officiellement pris possession de la Normandie, après l’avoir conquis par les armes.

Le soleil, pourtant éclatant, ne m’apparut pas, cette fois-ci, comme le projecteur d’un mirador signalant à la ronde le premier des détenus qui tenteraient de s’évader, mais comme l’astre éternel et un rien suranné de tous les poètes à deux sous.

Je me rendis dans ce village, puis dans quelques hameaux attenants, et enfin à Gisors, la petite capitale locale, où je m’arrêtais dans quelques bars. Les anciens Français des banlieues vaquaient à leurs occupations, sans se soucier de moi une seconde, comme si nous nous étions quitté la veille. Je les avais enfin retrouvés. Chassés de Paris par l’explosion du prix de l’immobilier, puis des banlieues par la racaille, ils s’étaient retrouvés là, parqués dans ces réserves indiennes aux noms étranges, ces zones interstitielles, ni Province ni Île-de-France, hors de la vue des studios de cinéma et des salles de rédaction. Accoudés au comptoir, ou assis sur leur canapé, ils regardaient à la télévision l’image de cette France qu’on continuait à leur tendre, et dans laquelle ils ne se voyaient plus.

Je discutais un peu. Il y avait beaucoup de pudeur, chez ces gens. Beaucoup de honte, aussi. De l’humiliation rentrée. Je crois qu’ils commençaient à comprendre qu’ils avaient été les dindons de la farce. Qu’on les avait expulsés parce qu’on ne leur avait pas trouvé un rôle dans le film de la nouvelle France à venir. Qu’un Blanc, pour ceux qui nous dirigent, c’était un riche Parisien, ou alors un Ch’ti. En tout cas quelque chose de filmable. Et puis, il y avait la raison pour laquelle ils étaient partis des banlieues. Ils se faisaient agresser, ils en avaient assez que leurs filles se fassent insulter, que leurs voitures crament, qu’il n’y ait plus dans les rues que des femmes voilées et des abrutis en djellaba ?

Jamais personne n’aurait pu tourner un film là-dessus.

Alors, puisqu’ils ne pouvaient compter sur personne, ces Français avaient pris la fuite. Une véritable épuration ethnique s’était ainsi déroulée dans le plus grand silence, lors des vingt dernières années, pendant qu’on discutait de la diversité et des discriminations. Il était en passe de n’y avoir autour de Paris, de plus en plus riche, que des villes arabes et africaines. Et ces Français s’étaient retrouvés dans le troisième cercle, s’accrochant encore un peu, désespérément, à l’Île-de-France et au travail qu’ils pouvaient encore y trouver, essayant de grappiller quelques miettes, n’hésitant pas, parfois, à faire chaque jour trois ou quatre heures de route.

À quoi rêvaient-ils, les péri-urbains, sous leur ciel étoilé, se tournant et se retournant dans leur lit, barricadés dans leur petit pavillon individuel ? Quels obscurs sentiments profitaient des ténèbres pour se frayer un chemin parmi les interdits, jusqu’à l’orée de leur conscience ? En fuyant jusqu’ici, en s’enterrant dans ces trous perdus à soixante-dix kilomètres de la métropole, ils avaient anéanti toute perspective d’ascension sociale, pour eux et pour leurs enfants. Mais la simple pensée qu’ils pourraient y vivre en paix, entourés de gens normaux, leur avait paru valoir ce sacrifice. Ils se considéraient comme en sursis, attendant que l’État français réussisse à les rattraper, à étendre jusqu’à eux, comme des tentacules, ses logement sociaux dont ils guettaient l’invasion prochaine, du fond de leur tanière à Étampes ou à Villers-Cotterêts. Dès qu’on les verrait poindre à l’horizon, il serait temps de s’enfuir de nouveau, pour ceux qui le pouvaient.

Je regardai ma montre. Le jour commençait à décroître. Moi aussi, je devais repartir, j’avais des échéances. J’étais un habitant du premier cercle, je venais d’en prendre pleinement conscience, et je ne devais pas l’oublier ; car il n’en aurait pas fallu beaucoup pour que je fusse contraint, moi aussi, à cet exil au Royaume du néant.

 

André Waroch

 

http://www.europemaxima.com/?p=2771

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21/12/2012

Fferyllt : Yule / Йолль

19/12/2012

Nigel Pennick

Boutique Fiertés Européennes :

 

Nigel PENNICK : Runes et Magie

 

Histoire et pratique des anciennes traditions runiques.

( Traduit et annoté par Anne-Laure et Arnaud d’Apremont. )

 

Quatrième de couverture : Les Traditions spirituelles de l'Europe du Nord font partie des plus mal connues au monde. Et pourtant, à travers nombre de leurs mythes et personnages (des contes de fée au Père Noël, via l'héraldisme), leur essence appartient pleinement à l'imaginaire de nos contemporains. Depuis quelques années, les runes, le langage sacré du Nord, sont revenues à la mode. Leur message commence à être déchiffré. Et l'on découvre un système complet, complexe, riche, passionnant D'immenses perspectives s'ouvrent devant le chercheur émerveillé.

Peu d'auteurs néanmoins ont su véritablement extraire le message authentique des runes et du Nord en remontant à sa source. Nigel Pennick fait partie de ceux-là. Il est aujourd'hui l'un des principaux chercheurs et auteurs en matière de runologie et de cosmologie ésotérique du Nord. Magie Runique propose une approche exhaustive, pratique et documentée des runes et de la Tradition du Nord. La présentation de ces sujets fascinants est originale, car elle approfondit notamment le domaine anglo-saxon dont la richesse magique n'est plus à démontrer.

Au Sommaire : Les Runes dans l'Histoire / Runes pratiques et Secrètes / Les significations des Runes / Principes de Magie runique / Numérologie et couleurs runiques / Magie des arbres et du bois / Magie runique pratique.

 

Une étude très complète !

Nigel Pennick a étudié et a pratiqué des traditions spirituelles européennes depuis plus de 30 ans. Il est l'auteur de beaucoup de livres sur les traditions culturelles européennes, les paysages sacrés et le symbolisme ; ses travaux incluent le Livre Païen de Jours, Harmonie de Terre, Paysages Sacrés Celtiques et Dédales et Labyrinthes. Ce livre de Nigel Pennick fait partie des ouvrages incontournables sur les traditions du Nord.

 

Editions Charles Antoni / L’Originel – 1995.

266 pages – 21x13,5 cms – 370 grammes.

Nombreuses illustrations.

Etat = petites marques/traces de manipulations et/ou stockage, ainsi qu’un premier plat aux coins cornés (2mm) et bords légèrement frottés. Mais tranche non cassée (bien qu'un peu frottée sur le haut) et intérieur nickel,  sain et propre ! Entre moyen+ et bon pour ce qui en est de l’extérieur… mais très bien pour l’intérieur et tout à fait O.K pour ce qui en est du « général ».

Bon pour le service ! >>> 12 €uros. / Vendu !

 

Prix neuf = 19,82 €uros. (Chez l’éditeur)

19,10 €uros sur Amazon.fr et priceminister

20,10 €uros chez L’Autre-Rive librairie

Pas d’exemplaires d’occasion en vente sur le net ce jour !?!!

 

>>> http://loriginelmagazine.com/spip.php?article37

 

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Nigel PENNICK : La Magie naturelle

 

Traduit par Claude Raimond

 

Quatrième de couverture : La magie naturelle est un mode de mise en oeuvre de l'énergie vitale qui nous entoure, et de celle émanant de notre conscience et de notre volonté. Grâce à des techniques spirituelles simples, issues des traditions populaires, chacun peut faire entrer un peu de magie dans sa vie de tous les jours.

Extrêmement complet, cet ouvrage contient toutes les informations dont vous avez besoin pour acquérir des connaissances approfondies sur la magie naturelle, et notamment sur :

- la magie des minéraux et des plantes

- les animaux magiques et leur influence

- le pouvoir qui est en vous-mêmes

- la magie de la terre et de ses nourritures

- la magie des porte-bonheur et des talismans 

 

Les Chemins de la Sagesse – First Editions / 2003.

192 pages – 21x13 cms – 300 grammes.

Etat = Nickel, quasiment comme neuf !!! 

>>> 10 €uros. / Vendu !

 

Neuf = 13,90 €uros prix éditeur / 13,21 €uros sur decitre.fr

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« Ceux qui pratiquent la magie naturelle ne souhaitent du mal ni à rien ni a personne. La magie naturelle n’est pas une fin en soi. C’est un moyen de conserver notre libre arbitre et de l’orienter vers l’amélioration personnelle. C’est un chemin que nous pouvons suivre pour vivre en conformité avec des valeurs spirituelles qui sont éternelles. » ( Nigel Pennick )

 

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16/12/2012

Saint-Loup

Saint-Loup+Moto.jpg

Saint-Loup

 

Marc Augier (19 mars 1908 – 16 décembre 1990)

 

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L’Homme du Grand Midi

 

J’ai découvert Saint-Loup en décembre 1961. J’avais dix-huit ans et me trouvais en résidence non souhaitée, aux frais de la Ve République, pour incompatibilité d’humeur avec la politique qui était alors menée dans une Algérie qui n’avait plus que quelques mois à être française. On était à quelques jours du solstice d’hiver – mais je ne savais pas encore, à l’époque, ce qu’était un solstice d’hiver, et ce que cela pouvait signifier. Depuis j’ai appris à lire certains signes.

Lorsqu’on se retrouve en prison, pour avoir servi une cause déjà presque perdue, le désespoir guette. Saint-Loup m’en a préservé, en me faisant découvrir une autre dimension, proprement cosmique, à l’aventure dans laquelle je m’étais lancé. à corps et à cœur perdus, avec mes camarades du mouvement Jeune Nation. Brave petit militant nationaliste, croisé de la croix celtique, j’ai découvert avec Saint-Loup, et grâce à lui, que le combat, le vrai et éternel combat avait d’autres enjeux, et une toute autre ampleur, que l’avenir de quelques malheureux départements français au sud de la Méditerranée. En poète – car il était d’abord et avant tout un poète, c’est-à-dire un éveilleur – Saint-­Loup m’a entraîné sur la longue route qui mène au Grand Midi de Zarathoustra. Bref, il a fait de moi un païen, c’est-à-dire quelqu’un qui sait que le seul véritable enjeu, depuis deux mille ans, est de savoir si l’on appartient, mentalement, aux peuples de la forêt ou à cette tribu de gardiens de chèvres qui, dans son désert, s’est autoproclamée élue d’un dieu bizarre – « un méchant dieu », comme disait l’ami Gripari.

J’ai donc à l’égard de Saint-Loup la plus belle et la plus lourde des dettes – celle que l’on doit à qui nous a amené à dépouiller le vieil homme, à bénéficier de cette seconde naissance qu’est toute authentique initiation, au vrai et profond sens du terme. Oui, je fais partie de ceux qui ont découvert le signe éternel de toute vie, la roue, toujours tournante, du Soleil Invaincu.

Chaque livre de Saint-Loup est, à sa façon, un guide spirituel. Mais certains de ses ouvrages ont éveillé en moi un écho particulier. Je voudrais en évoquer plus particulièrement deux – sachant que bien d’autres seront célébrés par mes camarades.

 

Au temps où il s’appelait Marc Augier, Saint-Loup publia un petit livre, aujourd’hui très recherché, Les Skieurs de la Nuit. Le sous-titre précisait : Un raid de ski-camping en Laponie finlandaise. C’est le récit d’une aventure, vécue au solstice d’hiver 1938, qui entraîna deux Français au-delà du Cercle polaire. Le but ? « Il fallait, se souvient Marc Augier, dégager le sens de l’amour que je dois porter à telle ou telle conception de vie, déterminer le lieu où se situent les véritables richesses. »

Le titre du premier chapitre est, en soi, un manifeste : « Conseil aux campeurs pour la conquête du Graal. » Tout Saint-Loup est déjà là. En fondant en 1935, avec ses amis de la SFIO et du Syndicat national des instituteurs, les Auberges laïques de la Jeunesse, il avait en effet en tête bien autre chose que ce que nous appelons aujourd’hui « les loisirs » – terme dérisoire et même nauséabond, depuis qu’il a été pollué par Trigano.

Marc Augier s’en explique, en interpellant la bêtise bourgeoise : « Vous qui avez souri, souvent avec bienveillance, au spectacle de ces jeunes cohortes s’éloignant de la ville, sac au dos, solidement chaussées, sommairement vêtues et qui donnaient à partir de 1930 un visage absolument inédit aux routes françaises, pensiez-vous que ce spectacle était non pas le produit d’une fantaisie passagère, mais bel et bien un de ces faits en apparence tout à fait secondaires qui vont modifier toute une civilisation ? La chose est vraiment indiscutable. Ce départ spontané vers les grands espaces, plaines, mers, montagnes, ce recours au moyen de transport élémentaire comme la marche à pied, cet exode de la cité, c’est la grande réaction du XXe siècle contre les formes d’habitat et de vie perfectionnées devenues à la longue intolérables parce que privées de joies, d’émotions, de richesses naturelles. J’en puise la certitude en moi-même. À la veille de la guerre, dans les rues de New York ou de Paris, il m’arrivait soudain d’étouffer, d’avoir en l’espace d’une seconde la conscience aiguë de ma pauvreté sensorielle entre ces murs uniformément laids de la construction moderne, et particulièrement lorsqu’au volant de ma voiture j’étais prisonnier, immobilisé pendant de longues minutes, enserré par d’autres machines inhumaines qui distillaient dans l’air leurs poisons silencieux. Il m’arrivait de penser et de dire tout haut :  Il faut que ça change… cette vie ne peut pas durer ».

Conquérir le Graal, donc. En partant à ski, sac au dos, pour mettre ses pas dans des traces millénaires. Car, rappelle Marc Augier, « au cours des migrations des peuples indo-européens vers les terres arctiques, le ski fut avant tout un instrument de voyage ». Et il ajoute : « En chaussant les skis de fond au nom d’un idéal nettement réactionnaire, j’ai cherché à laisser derrière moi, dans la neige, des traces nettes menant vers les hauts lieux où toute joie est solidement gagnée par ceux qui s’y aventurent ». En choisissant de monter, loin, vers le Nord, au temps béni du solstice d’hiver, Marc Augier fait un choix initiatique.

« L’homme retrouve à ces latitudes, à cette époque de l’année, des conditions de vie aussi voisines que possible des époques primitives. Comme nous sommes quelques-uns à savoir que l’homme occidental a tout perdu en se mettant de plus en plus à l’abri du combat élémentaire, seule garantie certaine pour la survivance de l’espèce, nous avons retiré une joie profonde de cette confrontation [...]. Les inspirés ont raison. La lumière vient du Nord… [...] Quand je me tourne vers le Nord, je sens, comme l’aiguille aimantée qui se fixe sur tel point et non tel autre point de l’espace, se rassembler les meilleures et les plus nobles forces qui sont en moi ».

Dans le grand Nord, Marc Augier rencontre des hommes qui n’ont pas encore été pollués par la civilisation des marchands, des banquiers et des professeurs de morale.

Les Lapons nomades baignent dans le chant du monde, vivent sans état d’âme un panthéisme tranquille, car ils sont : « en contact étroit avec tout un complexe de forces naturelles qui nous échappent complètement, soit que nos sens aient perdu leur acuité soit que notre esprit se soit engagé dans le domaine des valeurs fallacieuses. Toute la gamme des croyances lapones (nous disons aujourd’hui « superstitions »avec un orgueil que le spectacle de notre propre civilisation ne paraît pas justifier) révèle une richesse de sentiments, une sûreté dans le choix des valeurs du bien et du mal et, en définitive, une connaissance de Dieu et de l’homme qui me paraissent admirables. Ces valeurs religieuses sont infiniment plus vivantes et, partant, plus efficaces que les nôtres, parce qu’incluses dans la nature, tout à fait à portée des sens, s’exprimant au moyen d’un jeu de dangers, de châtiments et de récompenses fort précis, et riches de tout ce paganisme poétique et populaire auquel le christianisme n’a que trop faiblement emprunté, avant de se réfugier dans les pures abstractions de l’âme ».

Le Lapon manifeste une attitude respectueuse à l’égard des génies bienfaisants, les Uldra, qui vivent sous terre, et des génies malfaisants, les Stalo, qui vivent au fond des lacs. Il s’agit d’être en accord avec l’harmonie du monde : « passant du monde invisible à l’univers matériel, le Lapon porte un respect et un amour tout particuliers aux bêtes. Il sait parfaitement qu’autrefois toutes les bêtes étaient douées de la parole et aussi les fleurs, les arbres de la taïga et les blocs erratiques… C’est pourquoi l’homme doit être bon pour les animaux, soigneux pour les arbres, respectueux des pierres sur lesquelles il pose le pied. »

C’est par les longues marches et les nuits sous la tente, le contact avec l’air, l’eau, la terre, le feu que Marc Augier a découvert cette grande santé qui a pour nom paganisme. On comprend quelle cohérence a marqué sa trajectoire, des Auberges de Jeunesse à l’armée européenne levée, au nom de Sparte, contre les apôtres du cosmopolitisme.

 

Après avoir traversé, en 1945,  le crépuscule des dieux. Marc Augier a choisi de vivre pour témoigner. Ainsi est né Saint-Loup, auteur prolifique, dont les livres ont joué, pour la génération à laquelle j’appartiens, un rôle décisif. Car en lisant Saint-Loup, bien des jeunes, dans les années 60, ont entendu un appel. Appel des cimes. Appel des sentiers sinuant au cœur des forêts. Appel des sources. Appel de ce Soleil Invaincu qui, malgré tous les inquisiteurs, a été, est et sera le signe de ralliement des garçons et des filles de notre peuple en lutte pour le seul droit qu’ils reconnaissent – celui du sol et du sang.

 

Cet enseignement, infiniment plus précieux, plus enrichissant, plus tonique que tous ceux dispensés dans les tristes et grises universités, Saint-Loup l’a placé au cœur de la plupart de ses livres. Mais avec une force toute particulière dans La Peau de l’Aurochs.

Ce livre est un roman initiatique, dans la grande tradition arthurienne : Saint-Loup est membre de ce compagnonnage qui, depuis des siècles, veille sur le Graal. Il conte l’histoire d’une communauté montagnarde, enracinée au pays d’Aoste, qui entre en résistance lorsque les prétoriens de César – un César dont les armées sont mécanisées – veulent lui imposer leur loi, la Loi unique dont rêvent tous les totalitarismes, de Moïse à George Bush. Les Valdotains, murés dans leur réduit montagnard, sont contraints, pour survivre, de retrouver les vieux principes élémentaires : se battre, se procurer de la nourriture, procréer. Face au froid, à la faim, à la nuit, à la solitude, réfugiés dans une grotte, protégés par le feu qu’il ne faut jamais laisser mourir, revenus à l’âge de pierre, ils retrouvent la grande santé : leur curé fait faire à sa religion le chemin inverse de celui qu’elle a effectué en deux millénaires et, revenant aux sources païennes, il redécouvre, du coup, les secrets de l’harmonie entre l’homme et la terre, entre le sang et le sol. En célébrant, sur un dolmen, le sacrifice rituel du bouquetin – animal sacré car sa chair a permis la survie de la communauté, il est symbole des forces de la terre maternelle et du ciel père, unis par et dans la montagne –, le curé retrouve spontanément les gestes et les mots qui calment le cœur des hommes, en paix avec eux-mêmes car unis au cosmos, intégrés – réintégrés – dans la grande roue de l’Éternel Retour.

De son côté, l’instituteur apprend aux enfants de nouvelles et drues générations qui ils sont, car la conscience de son identité est le plus précieux des biens : « Nos ancêtres les Salasses qui étaient de race celtique habitaient déjà les vallées du pays d’Aoste. » et le médecin retrouve la vertu des simples, les vieux secrets des femmes sages, des sourcières : la tisane des violettes contre les refroidissements, la graisse de marmotte fondue contre la pneumonie, la graisse de vipère pour faciliter la délivrance des femmes… Quant au paysan, il va s’agenouiller chaque soir sur ses terres ensemencées, aux approches du solstice d’hiver, et prie pour le retour de la la lumière.

Ainsi, fidèle à ses racines, la communauté montagnarde survit dans un isolement total, pendant plusieurs générations, en ne comptant que sur ses propres forces – et sur l’aide des anciens dieux. Jusqu’au jour où, César vaincu, la société marchande impose partout son « nouvel ordre mondial ». Et détruit, au nom de la morale et des Droits de l’homme, l’identité, maintenue jusqu’alors à grands périls, du Pays d’Aoste. Seul, un groupe de montagnards, fidèle à sa terre, choisit de gagner les hautes altitudes, pour retrouver le droit de vivre debout, dans un dépouillement spartiate, loin d’une « civilisation » frelatée qui pourrit tout ce qu’elle touche car y règne la loi du fric.

Avec La Peau de l’Aurochs, qui annonce son cycle romanesque des patries charnelles, Saint-Loup a fait œuvre de grand inspiré. Aux garçons et filles qui, fascinés par l’appel du paganisme, s’interrogent sur le meilleur guide pour découvrir l’éternelle âme païenne, il faut remettre comme un viatique, ce testament spirituel.

Aujourd’hui, Saint-Loup est parti vers le soleil.

Au revoir camarade. Du paradis des guerriers, où tu festoies aux côtés des porteurs d’épée de nos combats millénaires, adresse-nous, de tes bras dressés vers l’astre de vie, un fraternel salut. Nous en avons besoin pour continuer encore un peu la route. Avant de te rejoindre. Quand les dieux voudront.

 

Pierre Vial

L’Homme du Grand Midi, paru dans Rencontres avec Saint-Loup,

Un ouvrage publié par l’association des Amis de Saint-Loup.

 

( Source : Club Acacia ).

Hanna Ruuskanen

 

14:46 Publié dans Blog, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hanna ruuskanen

15/12/2012

Dominique VENNER / Que faire ? disent-ils…

Que faire ? disent-ils…

 

Pour respirer un peu loin des miasmes ridicules de la petite politique, je vais parler d’un message que m’adresse un lecteur de La Nouvelle Revue d’Histoire. Un lecteur mécontent, je le précise. Il a 21 ans, des études scientifiques. Il vit en grande banlieue. Il a réagi à la lecture de notre dossier récent « Les droites radicales en Europe ». Il me reproche, dans mon éditorial, de ne pas répondre à la question du « Que faire ? ». Il relève mes distances à l’égard de l’action politique, note que je parle de « solution spirituelle », me disant en substance : « c’est bien beau, mais cela ne me dit pas comment réagir face à la décadence européenne ». Je ne vais trahir aucun secret en reproduisant ma réponse qui résume en profondeur ma façon de voir. Voici :

« N’attendez pas de moi des recettes pour l’action. Attendez de moi que je dise ce qu’est la vocation de votre génération. Si vous éprouvez le désir d’une action politique, engagez-vous, mais en sachant que la politique a ses propres règles qui ne sont pas celles de l’éthique. Quelle que soit votre action et tout simplement votre existence, il est vital est de cultiver en vous, chaque jour, comme une invocation inaugurale, ce qui doit devenir, par répétition, une foi indestructible. Une foi indestructible dans le devenir européen au-delà de la période présente.

« Je songe souvent au désespoir de Symmaque, appelé « le dernier Romain », l’un de nos ancêtres spirituels. J’ai évoqué ce personnage bien connu dans Histoire et tradition des Européens (p.39-41). Symmaque, grand aristocrate romain, vivait à la fin du IVe siècle, époque sinistre entre toutes. Il est mort en témoin désespéré de la fin de l’ancienne romanité. Il ignorait que l’esprit de la romanité, héritier lui-même de l’hellénisme, renaîtrait par la suite perpétuellement sous des formes nouvelles. Il ignorait que l’âme européenne, autrement dit l’esprit de l’Iliade, est éternel à l’échelle humaine (qui n’est pas celle de la physique astrale).

« Nous qui connaissons l’histoire sur quelques milliers d’années et l’explorons avec le regard interrogateur qui pouvait être celui de Symmaque, nous savons ce qu’il ne savait pas. Nous savons qu’individuellement nous sommes mortels, mais que l’esprit de notre esprit est indestructible, comme celui de tous les grands peuples et de toutes les grandes civilisations. Pour les raisons que j’ai souvent expliquées (conséquences du Siècle de 1914), ce n’est pas seulement l’Europe de la puissance qui est en sommeil. C’est avant tout l’âme européenne qui est en dormition. Quand viendra le grand réveil ? Je l’ignore et certainement je ne le verrai pas. Mais de ce réveil je ne doute pas une seconde. L’esprit de l’Iliade est comme une rivière souterraine toujours renaissante et intarissable. Parce que cela est vrai, mais invisible, il faut se le répéter soir et matin. Et ce secret (l’éternité de l’esprit de l’Iliade), personne ne pourra jamais nous le voler. »

 

Dominique Venner.

http://www.dominiquevenner.fr/2012/12/que-faire-disent-ils/

 

>>> http://www.dominiquevenner.fr/

dominique venner,europe,européens,âme européenne,la nouvelle revue d’histoire

11/12/2012

Von Thronstahl / The Saints Are Coming

10/12/2012

Georges BLOND

Boutique Fiertés Européennes :

 

Georges BLOND : « Verdun »

 

Après l’irrésistible avancée d’août 1914 et la riposte française sur la Marne en septembre, le front s’est stabilisé et une guerre de tranchées fige les belligérants dans une immobilité qui n’exclut pas les combats destructeurs. C’est pour relancer l’action et du même coup briser le moral français que les Allemands décident d’attaquer Verdun le 21 février 1916. Les effectifs (73 bataillons allemands contre 36) et l’armement sont formidables. L’endroit est bien choisi, car les défenses françaises y sont faibles, les forts presque désarmés.

Un bombardement d’artillerie sans précédent pulvérise les premières lignes françaises au point qu’en certains endroits, les vagues d’assaut allemandes les franchissent sans s’en apercevoir. Des fantassins défendent leur position en tirant accoudés derrière des parapets de cadavres. Les liaisons sont détruites, l’état-major perd le contrôle de l’événement. Le fort de Douaumont tombe le 25 février. La percée allemande sur Paris est possible.

Le 26 février, le généralissime Joffre convoque le général Pétain et le charge de stopper la ruée allemande. Avec une calme autorité qui lui vaut la confiance de la troupe, avec une compétence stratégique et tactique reconnue par tous les historiens militaires, Pétain entreprend, sous la poussée ennemie qui se poursuit, de réorganiser complètement le front de Verdun.

Le retournement de la situation demandera plusieurs mois, pendant lesquels l’armée française et l’armée allemande vont se battre sans arrêt, dans la neige et la glace, puis dans la boue du dégel, sous le soleil de l’été et les pluies de l’automne. Le chiffre des pertes françaises et allemandes à Verdun n’a jamais pu être calculé à cent mille unités près. Environ cinq cent mille morts (ou disparus) en tout, plus un million d’estropiés à vie.

Plusieurs épisodes historiquement célèbres jalonnent les heures grandioses de courage et de souffrances humaines qu’on a appelées « L’enfer de Verdun », magistralement évoqué par Georges Blond dans ce récit poignant.

 

Le livre de poche – 1974 – 315 pages – 160 grammes.

Etat = une petite trace de pliure en bas de couv’, sans quoi bon état général ! Tranche non cassée, intérieur propre et sain, tout à fait bon pour le service !   

>>> 2,20 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Georges BLOND : « L’agonie de l’Allemagne »

 

Obligée de lutter sur deux fronts, à l’est et à l’ouest, pilonnée par l’aviation alliée, l’Allemagne en juillet 1944, est au bord du désastre. Seul Hitler refuse de l’admettre.

Croyant encore possible de retourner la situation en sa faveur, il ordonne la grande contre-offensive des Ardennes, où ses meilleures troupes s’épuisent dans la terrible bataille de Bastogne sans parvenir à percer les lignes américaines.

Tandis que la marche en avant des Alliés reprend à l’ouest, les Russes déferlent à l’est. Prise entre deux feux, l’Allemagne agonise, mais talonnée par le maître implacable qu’elle s’est donné, elle doit se battre quand même.

Combat apocalyptique qui s’achève en mai 1945 par la capitulation sans condition. Fin sanglante d’un rêve de domination dont Georges Blond présente une synthèse aussi vivante que bien documentée, essentielle pour la connaissance de la deuxième guerre mondiale.

 

Le livre de poche « Historique » – 1972 – 446 pages – 230 grammes.

Etat = Tranche légèrement incurvée présentant de fines traces de cassures, sans quoi très bien ! Intérieur propre et sain, vernis toujours bien brillant, un exemplaire de 1972 qu’on peut aisément estampiller « bon+ » !

>>> 2,40 €uros. / Temporairement indisponible.  

 

georges blond,verdun,première guerre mondiale,pétain,l'agonie de l'allemagne,allemagne,troisième reich,hitler,seconde guerre mondiale,livres,histoire,histoire de france>>> http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Blond

09/12/2012

CDs d’occasion / Part.2

Boutique Fiertés Européennes :

 

CDs d’occasion / Part.2

 

CDs d’occasion et/ou neufs (en fait) mais légèrement « marqués » (rondelle ou layout) pendant le voyage ! (Pas très bien emballés, par des labels bôôôôôcoup moins consciencieux que nous, si vous préférez !). Juste un ou deux exemplaires en stock pour chaque référence par contre… ne traînez pas ! (Boîtiers neufs, changés par nos soins !) 

 

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BHS CREW ( CD / 2007 / Hongrie )

Compilation CD éditée/produite à l’occasion du dixième anniversaire de label Hongrois BHS Service. Including many styles (Oi!/RAC, Hatecore, NSBM, Grindcore, Ambient) and many good bands !!! Avec : Ars Militaria, Csontfej, Tar-Had, Pushing Onwards, Fehér Törvény, ANV, Agresszív Fellépés, Bombs not Food, Heldentod & Full Metal Jacket.

21 titres – 52 mns et/ou l’occasion rêvée de découvrir de multiples facettes de l’excellente et très éclectique scène magyare !!!

Quasiment comme neuf, luxueux layout : 7,50 €uros. / Vendu !  

Ars Militaria >>> http://www.youtube.com/watch?v=s2XCfj2Ah0A

Csontfej >>> http://www.youtube.com/watch?v=SzMwNbx5Ie4

Tar Had - Odin es Thor >>> http://www.youtube.com/watch?v=IQyylXZarMk

Feher Torveny >>> http://www.youtube.com/watch?v=j1JcCLfDMOw

Agressziv Fellepes >>> http://www.youtube.com/watch?v=ACdCG7P8G_8

Etc…

 

ENDOVELICO : « Censura » ( CD / 2002 / Portugal )

RAC-Oï-Metal-Core de Lusitanie… bien rentre-dedans comme on l’aime !   

11 titres – 38 mns : 5,50 €uros. / Vendu !  

>>> http://www.youtube.com/watch?v=Dz-rK5YTQdY

>>> http://www.youtube.com/watch?v=_--F1NTdd-o

 

FIST OF STEEL : « Sons of Brazil » ( CD / 2006 / Brésil ) 

Melodic RAC from Brazil ! Ballades, titres bien rentre-dedans (à la BOUND FOR GLORY), épiques (à la RAHOWA) ou plus old-school (ne pouvant que faire penser à un certain SKREW’), un disque pour puristes et amateurs de RAC d’Outre atlantique (Sud, pour une fois !)… mais d’un RAC « outre-atlantiquien » qui ne cracherait pas sur les claviers et un p’tit côté (festif) bien européen qui ne pourra que vous rappeler un certain ULTIMA THULE, dont le gang reprend d’ailleurs l’excellent « Ravens ».

Odin Productions / 14 titres – 54 mns : 6 €uros. / Vendu !

>>> http://www.youtube.com/watch?v=JhAE8YqNn3g

>>> http://www.youtube.com/watch?v=W5j2xhtPYR8

 

FINAL WAR : « We speak the Truth » ( CD / 2008 / USA ) 

Ré-édition (remastérisée) de l’album de 2004… pour 18 titres (50 mns) d’un Punk Rock politiquement très incorrect, d’inspiration très anglaise et très « fin des seventies »… qui ne pourra que vous électriser la tronche de jouissive façon, pour peux que vous ne soyez pas insensible au charme des U.K SUBS, de SHAM 69… ou d’un certain ROSE TATTOO (pour sortir un peu des sentiers battus !)…

Really GRRRRRREAT !!! : 6 €uros. / Vendu !

>>> http://www.youtube.com/watch?v=hBoIUVx-Fvk

>>> http://www.youtube.com/watch?v=0wHBiAx9HCs

>>> http://www.youtube.com/watch?v=OR0IeLauZFY

 

HAIS ET FIERS / CHOC FRONTAL : « S/t » ( CD / 2007 / France )

Purement, simplement et totalement INCONTOURNABLE !!!!!!!!

RAC’N’Oi! Prods / 12 titres – 45 mns / Comme neuf !!!: 8 €uros. / Vendu !

H&F >>> http://www.youtube.com/watch?v=zVfNp0qikH8

H&F >>> http://www.youtube.com/watch?v=yUGpEQfqOio

C.F >>> http://www.youtube.com/watch?v=_WhnjGZNFXo

 

HONOUR GUARD : « The Reckoning of the Blood » ( CD / 200? / Australie )

Heavy Metal guerrier, jouissivement old-school et sévèrement burné… qui ne pourra que faire frétiller du chauve à col roulé les aficionados des prods estampillées Black Dragon et autres accros aux débuts d’OMEN !!!… 

CD limité à 1000 copies (#897) / 11 titres – 35 mns : 6 €uros. / Vendu !  

>>> http://www.youtube.com/watch?v=rj2vK_bnCeQ

>>> http://www.youtube.com/watch?v=PcsnTURn4HY

 

TERROR IS A MAN : « S/t » ( CD / 2003 / USA )

Hatecore à la fois tranchant, râpeux et pachydermique… terrrrrrriblement efficace !!!

La rencontre du Hatecore, du NS Death et de MORTICIAN !!!!!!!…   

H8store – NorthX Records / 12 titres – 45 mns : 6 €uros. / Vendu ! 

>>> http://youtu.be/m_JIuPM5Oew

 

Occasions - CDs - RAC-03.jpgPour découvrir d’autres CDs (encore) disponibles…

Cliquez sur >>> http://fierteseuropeennes.hautetfort.com/archive/2012/11/...