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15/12/2012

Dominique VENNER / Que faire ? disent-ils…

Que faire ? disent-ils…

 

Pour respirer un peu loin des miasmes ridicules de la petite politique, je vais parler d’un message que m’adresse un lecteur de La Nouvelle Revue d’Histoire. Un lecteur mécontent, je le précise. Il a 21 ans, des études scientifiques. Il vit en grande banlieue. Il a réagi à la lecture de notre dossier récent « Les droites radicales en Europe ». Il me reproche, dans mon éditorial, de ne pas répondre à la question du « Que faire ? ». Il relève mes distances à l’égard de l’action politique, note que je parle de « solution spirituelle », me disant en substance : « c’est bien beau, mais cela ne me dit pas comment réagir face à la décadence européenne ». Je ne vais trahir aucun secret en reproduisant ma réponse qui résume en profondeur ma façon de voir. Voici :

« N’attendez pas de moi des recettes pour l’action. Attendez de moi que je dise ce qu’est la vocation de votre génération. Si vous éprouvez le désir d’une action politique, engagez-vous, mais en sachant que la politique a ses propres règles qui ne sont pas celles de l’éthique. Quelle que soit votre action et tout simplement votre existence, il est vital est de cultiver en vous, chaque jour, comme une invocation inaugurale, ce qui doit devenir, par répétition, une foi indestructible. Une foi indestructible dans le devenir européen au-delà de la période présente.

« Je songe souvent au désespoir de Symmaque, appelé « le dernier Romain », l’un de nos ancêtres spirituels. J’ai évoqué ce personnage bien connu dans Histoire et tradition des Européens (p.39-41). Symmaque, grand aristocrate romain, vivait à la fin du IVe siècle, époque sinistre entre toutes. Il est mort en témoin désespéré de la fin de l’ancienne romanité. Il ignorait que l’esprit de la romanité, héritier lui-même de l’hellénisme, renaîtrait par la suite perpétuellement sous des formes nouvelles. Il ignorait que l’âme européenne, autrement dit l’esprit de l’Iliade, est éternel à l’échelle humaine (qui n’est pas celle de la physique astrale).

« Nous qui connaissons l’histoire sur quelques milliers d’années et l’explorons avec le regard interrogateur qui pouvait être celui de Symmaque, nous savons ce qu’il ne savait pas. Nous savons qu’individuellement nous sommes mortels, mais que l’esprit de notre esprit est indestructible, comme celui de tous les grands peuples et de toutes les grandes civilisations. Pour les raisons que j’ai souvent expliquées (conséquences du Siècle de 1914), ce n’est pas seulement l’Europe de la puissance qui est en sommeil. C’est avant tout l’âme européenne qui est en dormition. Quand viendra le grand réveil ? Je l’ignore et certainement je ne le verrai pas. Mais de ce réveil je ne doute pas une seconde. L’esprit de l’Iliade est comme une rivière souterraine toujours renaissante et intarissable. Parce que cela est vrai, mais invisible, il faut se le répéter soir et matin. Et ce secret (l’éternité de l’esprit de l’Iliade), personne ne pourra jamais nous le voler. »

 

Dominique Venner.

http://www.dominiquevenner.fr/2012/12/que-faire-disent-ils/

 

>>> http://www.dominiquevenner.fr/

dominique venner,europe,européens,âme européenne,la nouvelle revue d’histoire

10/12/2012

Georges BLOND

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Georges BLOND : « Verdun »

 

Après l’irrésistible avancée d’août 1914 et la riposte française sur la Marne en septembre, le front s’est stabilisé et une guerre de tranchées fige les belligérants dans une immobilité qui n’exclut pas les combats destructeurs. C’est pour relancer l’action et du même coup briser le moral français que les Allemands décident d’attaquer Verdun le 21 février 1916. Les effectifs (73 bataillons allemands contre 36) et l’armement sont formidables. L’endroit est bien choisi, car les défenses françaises y sont faibles, les forts presque désarmés.

Un bombardement d’artillerie sans précédent pulvérise les premières lignes françaises au point qu’en certains endroits, les vagues d’assaut allemandes les franchissent sans s’en apercevoir. Des fantassins défendent leur position en tirant accoudés derrière des parapets de cadavres. Les liaisons sont détruites, l’état-major perd le contrôle de l’événement. Le fort de Douaumont tombe le 25 février. La percée allemande sur Paris est possible.

Le 26 février, le généralissime Joffre convoque le général Pétain et le charge de stopper la ruée allemande. Avec une calme autorité qui lui vaut la confiance de la troupe, avec une compétence stratégique et tactique reconnue par tous les historiens militaires, Pétain entreprend, sous la poussée ennemie qui se poursuit, de réorganiser complètement le front de Verdun.

Le retournement de la situation demandera plusieurs mois, pendant lesquels l’armée française et l’armée allemande vont se battre sans arrêt, dans la neige et la glace, puis dans la boue du dégel, sous le soleil de l’été et les pluies de l’automne. Le chiffre des pertes françaises et allemandes à Verdun n’a jamais pu être calculé à cent mille unités près. Environ cinq cent mille morts (ou disparus) en tout, plus un million d’estropiés à vie.

Plusieurs épisodes historiquement célèbres jalonnent les heures grandioses de courage et de souffrances humaines qu’on a appelées « L’enfer de Verdun », magistralement évoqué par Georges Blond dans ce récit poignant.

 

Le livre de poche – 1974 – 315 pages – 160 grammes.

Etat = une petite trace de pliure en bas de couv’, sans quoi bon état général ! Tranche non cassée, intérieur propre et sain, tout à fait bon pour le service !   

>>> 2,20 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Georges BLOND : « L’agonie de l’Allemagne »

 

Obligée de lutter sur deux fronts, à l’est et à l’ouest, pilonnée par l’aviation alliée, l’Allemagne en juillet 1944, est au bord du désastre. Seul Hitler refuse de l’admettre.

Croyant encore possible de retourner la situation en sa faveur, il ordonne la grande contre-offensive des Ardennes, où ses meilleures troupes s’épuisent dans la terrible bataille de Bastogne sans parvenir à percer les lignes américaines.

Tandis que la marche en avant des Alliés reprend à l’ouest, les Russes déferlent à l’est. Prise entre deux feux, l’Allemagne agonise, mais talonnée par le maître implacable qu’elle s’est donné, elle doit se battre quand même.

Combat apocalyptique qui s’achève en mai 1945 par la capitulation sans condition. Fin sanglante d’un rêve de domination dont Georges Blond présente une synthèse aussi vivante que bien documentée, essentielle pour la connaissance de la deuxième guerre mondiale.

 

Le livre de poche « Historique » – 1972 – 446 pages – 230 grammes.

Etat = Tranche légèrement incurvée présentant de fines traces de cassures, sans quoi très bien ! Intérieur propre et sain, vernis toujours bien brillant, un exemplaire de 1972 qu’on peut aisément estampiller « bon+ » !

>>> 2,40 €uros. / Temporairement indisponible.  

 

georges blond,verdun,première guerre mondiale,pétain,l'agonie de l'allemagne,allemagne,troisième reich,hitler,seconde guerre mondiale,livres,histoire,histoire de france>>> http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Blond

26/11/2012

AGHONE

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AGHONE : « A tous les soldats inconnus » ( CD / 2012 / France )

Un patronyme tiré des Chants de Maldoror, un concept tout entier basé sur le combat et/pour l’identité, une discrète récupération du symbole des S.A dans le logo du groupe, 2 titres aux lyrics empruntés à la poésie grecque antique (dont un au grand Tyrtée, de surcroît !) et ce, dans la traduction de Brasillach ! Sans parler d’un premier morceau sous forme de faux instrumental, où, en fait, les vocaux sont remplacés par des samples (habilement découpés) du fameux discours de Chaillot (5 mars 1944) de Léon Degrelle… vous l'avez/l’aurez compris : AGHONE est un groupe pour qui le mot engagement (politique) va de pair avec le mot art (et en l’occurrence, ici, le mot musique).

Cette dernière n’étant même – et au final, comme l’avoue lui-même le fondateur du gang dans une très intéressante interview accordée à la Horde Noire (voir ci-dessous) – qu’un « vecteur pour le discours ».

Nonobstant quoi, le « vecteur » en question étant – pour l’occasion – fort bien maîtrisé, il serait tout de même dommage de passer sous silence l’aspect purement musical du groupe, et son Dark-Black-(R.A.C) à la fois épique et grandiloquent où se mêlent et s’entremêlent des influences, ambiances et atmosphères à même de tour à tour rappeler le grand  FORBIDDEN SITE (étonnant non, pour des Grenoblois !?! Haha!), la scène toulonnaise (BLESSED IN SIN, O.T.A.L ou encore SEIGNEUR VOLAND), voire une sorte d’improbable rencontre entre CRYSTALIUM et GODKILLER… bref… un mix de tout ce que l’hexagone a pu produire de mieux en matière de B.M à la fois racé et guerrier au cours des 20 dernières années !

Un projet à suivre et à soutenir… Surtout en ces temps troublés où il devient de plus en plus évident que (pour notre survie) nous nous devons de tous devenir ces soldats politiques chers au beau Léon et à Aghone !

Une production estampillée Asgard Hass (un jeune et très prometteur label de la suisse voisine). >>> 7 titres – 60 mns : 10 €uros. / disponible. 

 

 

Mourir pour la patrie ( version démo )

 

>>> http://fr.myspace.com/aghone

 

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Extrait de l'interview de AGHONE parue dans La Horde Noire.  

 

(…) La Horde Noire :  Il est temps de nous éclairer sur le choix du patronyme du groupe et d’une façon générale sur les textes utilisés par AGHONE.


Aghone : Il s’agit pour résumer du nom d’un personnage de Lautréamont dans Les Chants de Maldoror. C’est aussi un homonyme de l’étymon grec agon qui signifie « combat ».

Les textes d’AGHONE traitent du combat sous toutes ses formes et le mini cd est plus précisément axé, comme son nom l’indique, sur la guerre. J’ai voulu sanctifier le combat martial pour la sauvegarde de l’identité. Je veux honorer les soldats qui ont su mourir pour sauver leur terre et leur sang. Je célèbre le courage des guerriers et appelle à la résistance les peuples européens.

 
La Horde Noire : AGHONE se veut un projet engagé, vous vous définissez vous-même comme metal patriotique, ce n’est donc pas en filigrane mais affiché. Pourquoi ce côté plus affiché là où beaucoup de groupes font dans la demi-teinte ou alors font dans la provocation claire et nette et sont relégués à la « clandestinité », qu’attendez-vous comme réaction ?


Aghone : En effet, j’affiche clairement le lien entre la musique et la politique là ou d’autres préfèrent s’abstenir. Cette volonté délibérée a pour but de renouer avec une vieille tradition européenne de l’art qui est intimement lié à la chose publique (la res publica) comme les grecs avec leurs tragédies ou les poètes latins, je pense que la musique est un vecteur redoutable pour les idées et il serait regrettable de s’en passer. Je pense aussi que la musique est plus intéressante lorsqu’il y a du fond : ca devient alors un art total. Néanmoins, AGHONE restera toujours dans un débat élevé qui ne peut pas souffrir la censure. Les extrémismes provocants ne servent à rien sinon à renforcer nos ennemis. Aussi, c’est bien de « patriotisme » dont il est question avec AGHONE. Pour être efficace, il faut toucher le plus grand nombre et pour cela il est indispensable de parler des choses qui unissent et non de ce qui divise.

 

La Horde Noire : Le concept de « patrie » est tombé en désuétude et est aujourd’hui clairement relégué dans le camp de l’extrême-droite, pourtant fût un temps où il était valorisé chez la plupart des citoyens malgré le clivage des partis; être patriote était valorisant, peu importait le parti et les convictions par ailleurs, on trouvait même cette notion dans les programmes scolaires de notre éducation républicaine jusque dans les années 60. Comment expliques-tu cette désaffection et ce passage du valorisant au subversif ?


Aghone : C’est en fait assez simple : la seconde guerre mondiale a frappé à jamais d’opprobre le sentiment national ! En effet, les différents régimes totalitaires qui se sont illustrés durant cette période ont mis à mal la fierté patriotique en instaurant une certaine méfiance à son égard. Enfin, les événements de mai 68 et son idéologie anti-autoritaire, son idéal internationaliste (notamment communiste) ont achevé de diaboliser et renvoyer dans les affres de l’Histoire les sentiments patriotiques ou nationaux. D’où mon sentiment exprimé à la  question précédente qu’il est urgent de savoir ne pas tomber dans un extrémisme qui ne fait que desservir la cause. Nous devons être radicaux dans notre vie mais ne pas devenir des épouvantails pour la société.

 

La Horde Noire : Mourir pour sa patrie d’un côté, de l’autre une patrie qui méprise le patriotisme : pour toi qu’est-ce que la patrie ?  Comment concilies-tu cela avec la misanthropie qui était à la source du black metal ?


Aghone : La « patrie » est précisément le sol, la terre, le territoire hérité de nos pères (pater) et non la « nation » qui étymologiquement porte en elle l’idée d’« agrégation » de populations diverses autour d’un idéal commun (en grec) : ses populations pouvant être composées d’éléments halogènes comme les enfants des colonies. Aussi, je préfère le terme de « patrie » qui est porteur d’un sens plus noble : celui d’une terre identifiée à un père dont nous sommes les enfants. C’est la patrie charnelle : nous sommes liés à notre terre par notre sang.

Je pense que la misanthropie peut se cultiver indépendamment des idées politiques. Lord Byron, bien que célèbre écrivain romantique anglais, a su aller mourir en se battant contre l’invasion de la Grèce par les turcs au XIXe siècle. Personnellement, je continue d’être extrêmement pessimiste à l’égard de l’homme mais je considère qu’il peut justement se dépasser par l’action politique et militaire, par le combat et la défense des siens. Le salut de l’homme réside dans ses actes. S’il reste inactif – comme c’est le cas aujourd’hui pour la plupart - il ne dépasse pas le simple statut d’animal évolué et « pensant ». 

 

La Horde Noire : AGHONE est sans conteste un groupe engagé mais en même temps un groupe raffiné et émotionnel, en général les deux ne vont pas de paire. Aghone doit-il séduire par sa musique ou par son concept et pourra-t-il être compris ?


Aghone : En réalité, l’important est le discours : il doit primer sur la mélodie. Cependant, le choix d’une musique pourvue d’une certaine sensibilité et d’harmonies épiques est justement justifié par la volonté de toucher le plus grand nombre et de porter les textes au sommet le plus haut possible. C’est un vecteur pour le discours.

 

( http://lahordenoire.free.fr/interview.php?art=422 )

 

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11/11/2012

11 novembre

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23/10/2012

23 octobre 1295 / Auld Alliance


 

>>> http://fr.wikipedia.org/wiki/Auld_Alliance

>>> http://www.auldalliance.org/

18/09/2012

Le soldat oublié...

Boutique Fiertés Européennes : Retour en stock !

 

Guy SAJER : « Le soldat oublié »

 

Guy Sajer n’a pas 17 ans quand, en juillet 1942, il endosse l’uniforme de la Wehrmacht. Il est français par son père, allemand par sa mère ; il habite alors l’Alsace. A cause de son jeune âge, il n’est pas affecté à une unité combattante, mais dans le train des équipages. Dès novembre, l’hiver s’abat sur la plaine russe ; le froid, la neige, les partisans rendent la progression des convois extrêmement difficile : jamais l’unité de Sajer n’atteindra Stalingrad qu’elle devait ravitailler ; la VIe Armée aura capitulé avant. Mais Sajer sait déjà que la guerre n’est pas une partie de plaisir, que survivre dans l’hiver russe est déjà un combat. Et pourtant, ce premier hiver, il n’a pas vraiment fait la guerre. La vraie guerre, celle du combattant de première ligne, il la découvre lorsqu’il est versé dans la division Gross Deutschland, division d’élite, avec laquelle, à partir de l’été 1943, il va se trouver engagé dans les plus grandes batailles du front d’Ukraine, quand la Wehrmacht plie sous l’offensive russe. De Koursk à Kharkov, de jour comme de nuit, dans la boue, la neige, quand le thermomètre marque –40° degrés, sous le martèlement terrifiant de l’artillerie russe, face aux vagues d’assaut d’un adversaire désormais puissamment armé et qui ne se soucie pas des pertes, les hommes de la Gross Deutschland, portés toujours aux endroits les plus exposés, toujours en première ligne, combattant à un contre vingt, connaissent l’enfer. La bataille de Bielgorod, le passage du Dniepr (la Bérésina à l’échelle de la Seconde Guerre mondiale) constituent, vécus au niveau du simple soldat, deux des plus hauts moments de ce récit d’Apocalypse. Plus tard, quand le front allemand s’est désagrégé, quand l’immense armée reflue, aux combats réguliers s’ajoutera la lutte contre les partisans, plus sauvage et plus impitoyable. Plus tard encore, c’est la retraite des derniers survivants de la division d’élite à travers la Roumanie et les Carpathes jusqu’en Pologne. Dans l’hiver 1944-1945, Sajer et ses camarades sont lancés dans les combats désespérés que les Allemands livrent en Prusse-Orientale pour interdire l’entrée du Vateriand aux Russes. C’est encore Memel, où l’horreur atteint à son comble, et Dantzig, au milieu de l’exode des populations allemandes de l’Est. Enfin, malade, épuisé, Sajer sera fait prisonnier par les Anglais dans le Hanovre… Si ce récit de la guerre en Russie ne ressemble à aucun autre, s’il surpasse en vérité, en horreur et en grandeur tout ce qui a été écrit, ce n’est pas seulement parce que l’auteur a réellement vécu tout ce qu’il rapporte, ce n’est pas seulement parce que, sous sa plume, les mots froid, faim, fièvre, sang et peur prennent l’accent et la force terrible de la réalité, c’est aussi parce que Sajer sait voir et faire voir dans le détail avec une puissance de trait vraiment extraordinaire. Alors, le lecteur ne peut douter que tout ce qui est rapporté là est vrai, vrai au détail près ; il sait de science certaine qu’il n’y a pas là de "littérature", pas de morceaux de bravoure – mais que c’était ainsi : ainsi dans le courage et ainsi dans la peur, ainsi dans la misère et ainsi dans l’horreur…

 

Le Livre de Poche / 1971 / 695 pages / 350 grammes.

Marques de lecture et d'usage + tranche incurvée (voir photo) présentant quelques fines pliures, ainsi que bords papier jaunis… mais intérieur sain et propre, tout à fait O.K pour le service ! >>> 5 €uros. / Vendu !

 

Retour en stock d'un exemplaire (photo N°2), même année / même édition.

Le Livre de Poche / 1971 / 695 pages / 350 grammes.

Marques de pliures sur plats + tranche présentant quelques fines cassure, mais mieux que le précédent… tranche quasiment pas incurvée ( ce qui est plutôt rare pour un livre de poche aussi épais ! ) intérieur tout à fait propre et sain, pas mal du tout !  

>>> 5,80 €uros. / disponible.

 

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Ailleurs = entre 3,50 et 10 €uros sur priceminister.

( Selon les états… et les vendeurs ! )SAJER-01_Poche.jpg 

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Interview de Guy Sajer, 39-45 Magazine, décembre 1993.

>>> http://deuxiemeguerremondia.forumactif.com/t2404-intervie... 

 

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Mes parents sont nés sur la terre, à quelque mille kilomètres de distance. D'une distance encombrée de difficultés, de complexes étranges, de frontières entremêlées, de sentiments équivalents et intraduisibles. Moi, j'ai abouti de cette alliance, à cheval sur cet ensemble délicat avec une seule vie pour débattre tant de problèmes.

J'ai été enfant, mais cela est sans importance. Les problèmes existaient avant moi, et je les ai découverts. Puis il y a eu la guerre. Je l'ai alors épousée, parce qu'il n'y avait guère qu'elle a l'âge que j'ai eu, moi aussi, lorsque l'on est amoureux.

Je fus brutalement comblé. J'avais soudain deux drapeaux à honorer, deux lignes de défense, l'une Siegfried, l'autre Maginot, et puis aussi de grands ennemis à l'extérieur. J'ai servi, j'ai rêvé, j'ai espéré. J'ai eu également froid et peur sous le portail où jamais n'est apparue Lilli Marlène.

J'ai dû mourir aussi un jour, et depuis, rien n'a eu tellement d'importance.

Alors, je demeure ainsi, sans regret, désolidarisé de toute condition humaine.

( Guy Sajer )  

 

17/07/2012

Scottish Frankenstein(s)…

Le mystère des momies de Cladh Hallan ne cesse de se densifier au fur et à mesure que les chercheurs tentent de le résoudre. Cladh Hallan est un site de l'âge du Bronze de South Uist, une des îles de l'archipel des Hébrides extérieures, au nord-ouest de l'Ecosse. Des fouilles y ont été entreprises entre 1995 et 2002. Une série de trois constructions rondes datant du XIe siècle avant notre ère y a déjà été dégagée quand, en 2001, les archéologues décident d'explorer ce qui se trouve en-dessous. Le projet tourne au macabre car ces trois "rotondes", comme les nomment les chercheurs, s'avèrent avoir été bâties sur des restes animaux et humains. On retrouve en particulier les squelettes d'un homme, d'une femme, d'une adolescente et celui d'un enfant de trois ans. Les deux premiers attirent l'attention car ils ont manifestement fait l'objet d'un traitement spécial. Une série d'analyses effectuées sur les os montrent que les corps ne sont pas passés par une phase de décomposition mais qu'ils ont été momifiés, très probablement en étant plongés dans une tourbière.

 

A la différence de ce qui se pratiquera fréquemment par la suite, à l'âge du Fer dans le nord de l'Europe, où des centaines de personnes, souvent exécutées, trouveront leur dernière demeure dans des marais tourbeux et n'en sortiront pas, il ne s'est agi ici que d'un traitement... provisoire. C'est un peu comme si on avait voulu "embaumer" ces morts de manière naturelle. En effet, les conditions physico-chimiques de la tourbière (milieu froid, acide, sans oxygène) permettent de conserver les tissus mous : la peau est comme tannée et les organes internes sont bien préservés. En revanche, les os sont soumis à plus rude épreuve car la tourbe acide les ronge. Les analyses des squelettes de Cladh Hallan ont montré que les corps ne sont restés engloutis que quelques mois, les os n'étant que superficiellement attaqués. Les momies ont ensuite été retirées de la tourbière, mises à sécher et gardées à l'air libre (comme reliques ?), pendant une très longue période qui s'est peut-être comptée en siècles. Il est ainsi très probable qu'au moment où elles ont finalement été inhumées, un certain nombre de tissus (tendons, peau) y étaient encore attachés.

 

Ce traitement était en lui-même déjà assez spécial pour que l'on s'intéresse à ces restes humains. Mais cela n'était finalement pas grand chose à côté de ce qu'ont découvert les archéologues : les deux corps d'adultes sont des composites de plusieurs cadavres ! D'où le surnom de "momies-Frankenstein" dont les squelettes de Cladh Hallan ont été affublés. On se souvient en effet que dans le roman de Mary Shelley, même si le chercheur Victor Frankenstein reste vague sur la manière dont il a fabriqué sa créature, on devine bien comment il a rassemblé le "matériel" nécessaire : "Je réunissais les os dans les charniers, confesse-t-il, et mes doigts immondes violaient les extraordinaires secrets du corps humains. () La salle de dissection et l'abattoir me fournissaient la plupart de mes matériaux". Les films tirés du livre insisteront d'ailleurs sur le côté fait de bric et de broc du monstre de Frankenstein.

 

A Cladh Hallan, c'est d'abord le squelette d'homme qui a intrigué les chercheurs. De toute évidence, la mandibule (cet os en forme de fer à cheval qui constitue la mâchoire inférieure) ne collait pas avec le reste du crâne. De plus, des analyses isotopiques ont montré que la part d'azote 15 contenue dans le tibia était différente de celle contenue dans les os du crâne ainsi que dans la mandibule. Au minimum, trois corps avaient donc servi à "confectionner" cette momie. La question s'est donc rapidement posée pour savoir s'il en allait de même pour le squelette momifié de femme. Les archéologues avaient quelques soupçons : le bassin était sans conteste celui d'une femme adulte mais le crâne était pourvu de certaines caractéristiques ostéologiques masculines. Les analyses isotopiques n'ayant rien donné de significatif, il a donc été décidé d'explorer la voie de l'ADN qui pouvait être encore contenu dans les restes et c'est le résultat de cette étude qui vient d'être publié dans le numéro daté d'août du Journal of Archaeological Science.

 

Quand on parle d'ADN ancien, c'est bien plus souvent à l'ADN contenu dans les mitochondries qu'à celui du noyau que l'on fait référence parce qu'il en existe beaucoup plus de copies par cellule : on a donc nettement plus de chances d'en retrouver intact sur un spécimen vieux de plusieurs millénaires. Après avoir pris d'infinies précautions car le risque de contamination est très important dans ce genre d'analyses, les chercheurs britanniques sont parvenus à isoler de l'ADN mitochondrial dans plusieurs parties du squelette. Et ils se sont aperçus que, là aussi, trois individus différents (au moins) avaient contribué à la fabrication de la momie puisque les ADN mitochondriaux isolés dans la mandibule, un fémur et un humérus étaient différents. Par ailleurs, les analyses au carbone 14 ont montré que les deux momies avaient probablement été réalisées à des époques différentes, celle de l'homme étant comprise dans une fourchette allant de 1440 à 1260 av. J.-C. tandis que celle de la femme est un peu plus récente (1300-1130 av. J.-C.).

 

Reste évidemment à comprendre pourquoi les habitants de Cladh Hallan, à l'âge du Bronze, ont réalisé ces momies-Frankenstein. Une hypothèse très pragmatique, avancée quand le caractère composite du premier squelette avait été avéré, disait qu'il s'agissait simplement de rafistolage, histoire de compléter une momie ayant perdu des morceaux. Mais, pour les chercheurs, il semble désormais un peu improbable d'avoir égaré deux têtes... Dans la conclusion de leur récente étude, les archéologues se demandent donc si ce "remarquable bricolage ostéologique" n'était pas intentionnel et réalisé dans le but d'amalgamer différentes lignées de la tribu en un seul corps. Comme si tous les personnages importants du village se résumaient en un seul homme et une seule femme.

 

( Pierre Barthélémy ) 

 

http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2012/07/16/de-bien-curieuses-momies-frankenstein-en-ecosse/ 

 

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15/06/2012

Léon Degrelle

Léon Degrelle : « j'attends beaucoup du peuple russe ».

 

Histoire Magazine : Vous ne pouvez contester que le résultat de l'aventure hitlérienne a été catastrophique pour l'Europe qui vous est si chère. Le bilan apparaît bien lourd et on imagine mal comment le programme que vous présentez aurait pu se réaliser.

 

Léon Degrelle : On ne peut évidemment refaire l'histoire, mais je crois que le bilan des vainqueurs n'est guère plus brillant. L'empire soviétique s'est doté de la première puissance militaire du monde et continue à écraser les aspirations à la liberté des peuples d'Europe de l'Est et, plus récemment, du peuple afghan. Ne parlons pas des holocaustes engendrés en Asie par la victoire des communistes. A l'Ouest, la civilisation du seul profit matériel dégoûte de plus en plus une jeunesse qui ne peut se résoudre à accepter la réduction au niveau de tubes digestifs que lui propose la société de consommation. La délinquance ou la drogue sont la rançon de cette situation. A l'heure où nous assistons au réveil de l'Islam, alors que l'American Way of Life laisse les peuples insatisfaits, aucune espérance n'est offerte à la jeunesse d'Europe, laissée à elle-même et à sa misère spirituelle. Où se trouve la solution ? Et bien, je vais vous surprendre, au risque de déchaîner contre moi la colère de nouveaux ennemis : j'attends beaucoup du peuple russe. Il représente une force encore saine et il ne supportera pas éternellement son régime de bureaucrates gâteux dont l'échec est total dans tous les domaines.

J'espère qu'un jour un jeune Bonaparte sortira de l'Armée rouge comme aurait pu le faire Toukhatchevski en 1938, et qu'il rompra avec le fatras idéologique débile qui étouffe la plus grande nation blanche qui soit encore décidée à agir sur l'histoire. Là où Napoléon et Hitler ont échoué, c'est peut-être le fils de l'un de nos adversaires du Caucase et de Tcherkassy qui réussira en rassemblant autour de la Russie, guérie du virus communiste, tous les peuples européens pour entraîner le monde dans une nouvelle marche en avant.

 

Interview de Léon Degrelle ( 15 juin 1906 – 31 mars 1994 )…

Recueillie par Jean Kapel pour la revue « Histoire magazine », N° 19 septembre 1981.

léon degrelle

24/05/2012

Le code secret de l’Odyssée

Boutique Fiertés Européennes :

 

Gilbert PILLOT : « Le code secret de l’Odyssée » 

 

Les Grecs dans l’Atlantique

 

C'est sans doute parce qu'il vit à Carthage, devant la Méditerranée des Grecs. que Gilbert Pillot a été poussé à interroger, après beaucoup d'autres. l'Odyssée. Penché sur le texte homérique. suivant d'île en île la route d'Ulysse, relevant soigneusement la direction des vents, le nombre de jours de navigation et la position des constellations, il en est venu à tracer un itinéraire qui mène le héros bien au delà des limites jusqu'ici admises…

Ulysse franchit les colonnes d'Hercule, touche la côte marocaine, les Canaries et Madère, puis, cap au Nord, atteint l'Irlande, l'Ecosse et l'Islande. Il en est venu surtout à se demander si l'Odyssée, sous les apparences d'un merveilleux poème, ne recelait pas les clefs de l'itinéraire secret qui conduisait à ces terres riches en or et en étain… Récit d'une quête et d'une enquête, cet ouvrage se lit avec passion : pour la première fois, l'astucieux Ulysse livre son secret.

 

Robert LAFFONT / Collec. « Les énigmes de l'univers » / 1969.

248 pages / 21,5 x 13,5 cms / 350 grammes. 

Broché, photographies, cartes et illustrations hors et in texte.

Nombreuses petites traces d’usage/stockage sur plat (inhérentes à 90% des ouvrages de cette collection aux reliures noires très fragiles et – surtout – très vite « patinées ») mais rien de bien sérieux, hormis une assez nette cassure sur tranche. Tranches papier légèrement jaunies mais intérieur nickel, propre et sain. Tout à fait bon pour le service !

>>> 4,50 €uros. / Vendu ! - Temporairement indisponible.

 

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17/05/2012

Guerriers / Part.1

Boutique Fiertés Européennes :

 

Guerriers !

 

Mikhaïl CHOLOKHOV : « Ils ont combattu pour la patrie »

Quatrième de couv’ : II semble que Cholokhov, enfant du Don, ait retrouvé pour parler de la guerre moderne à la fois le souffle épique et la bouleversante tendresse humaine qui caractérisaient le Tolstoi de GUERRE ET PAIX. Dans ce roman, il évoque avec une grande force de témoignage la terrible retraite de 1942, l'armée russe vaincue, traquée, se repliant vers le Don, mais il l'évoque aussi bien à l'échelle de l'Europe face à l'avenir qu'au niveau du simple troupier avec ses terreurs, ses pauvres expédients pour survivre, sa faim constante, son humour tragique et involontaire, ses préoccupations tantôt héroïques, tantôt sordides. C'est cette dualité qui donne à « ILS ONT COMBATTU POUR LA PATRIE » une dimension universelle, et qui valut à l'écrivain, pour son talent et sa sincérité, le Prix Nobel de littérature 1965.

Presses pocket – 1969 – 315 pages – 200 grammes

Etat = quelques petits chocs en haut de couv ( visibles sur la photo ) sans quoi il n’est même pas « cassé »… et de fait, très certainement jamais lu !?!! Comme neuf !

>>>  5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Pierre SERGENT : « 2ème R.E.P » 

( Algérie – Tchad – Djibouti – Kolwezi – Beyrouth )

Quatrième de couv : Né du 2e B.E.P. d'Indochine, le 2e R.E.P. devient, en 1956, en Algérie, le fer de lance de la zone Est algérien. Il se taille une solide réputation et accumule les plus importants bilans. En 1962, replié à Bou Sfer, en protection de la base de Mers el-Kébir, le 2e R.E.P. s'enlise dans la boue et le marasme. Alors, son colonel décide de spécialiser son régiment, de le rendre capable de remplir n'importe quelle mission, dans n'importe quel contexte, sous n'importe quelle latitude. Cadres et légionnaires deviennent chuteurs opérationnels, tireurs d'élite à toutes les armes, nageurs de combat, alpinistes.

Le 2e R.E.P. a trouvé sa voie : il sera l'unité des missions impossibles.
Il fait campagne au Tchad. Il saute sur Kolwezi. Il délivre les otages à Djibouti. Il débarque en tête à Beyrouth en 1983. Il repart au Tchad en janvier 1984.

Ce livre raconte la passionnante aventure d'un groupe d'hommes appartenant à une prestigieuse unité de choc supérieurement entraînée, au service de la Patrie que ces étrangers se sont choisie.

L’auteur : Il commençe sa carrière militaire dans le maquis à l'âge de 17 ans, puis suit une carrière d'officier dans la Légion Etrangère après un passage à Saint-Cyr-Coëtquidan. A sa sortie de l'ESM en 1949, il est affecté au 1er Regiment Etranger, à Saïda (Algérie). Lieutenant, il combat au 1er Bataillon Etranger de Parachutistes durant la guerre d'Indochine (1951-1953), où il est grièvement blessé, puis comme capitaine pendant la guerre d'Algérie au sein du 1er Régiment Etranger de Parachutistes (1958-1961), après avoir été affecté au 1er Régiment Etranger d'Infanterie en 1956.

Après l'échec du putsch d'Alger en avril 1961, il passe à l'OAS dont il devint le chef pour la métropole (OAS-métro). Pendant sept ans, il échappe aux recherches policières tandis qu'il est condamné à mort par contumace deux fois. Il est finalement amnistié après les évènements de mai 1968. Proche des milieux solidaristes, en particulier du Mouvement jeune révolution et de Jean-Pierre Stirbois, il fut élu en 1986 député des Pyrénées-Orientales sous l'étiquette du Front national, après un passage au Centre national des indépendants et paysans. Pierre Sergent est l'auteur de nombreux livres sur la Légion étrangère et sur la guerre d'Algérie.

Presses Pocket / Collection « Troupes de Choc »

Nombreuses photos hors-texte / 1986 – 377 pages – 195 grammes. 

Etat = quelques petites marques de stockage / manipulation… ainsi qu’une cassure sur tranche, mais rien de grave, tout à fait O.K !

>>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Capitaine BARRIL : « Missions très spéciales »

Quatrième de couv : Paul Barril, l'État ne connaît pas. Nous sommes le 5 octobre 1983, Max Gallo, porte-parole du gouvernement à cette époque, vient de nier l'existence de l'un des officiers de gendarmerie les plus prestigieux de ces dernières années. Un an s'est écoulé depuis la création par l'Élysée d'une cellule de lutte contre le terrorisme, confiée au commandant Christian Prouteau et à son adjoint le capitaine Paul Barril. A 38 ans, après des dizaines d'actions prestigieuses au service de la France, Paul Barril connaît la disgrâce.

Lâché par sa hiérarchie, livré aux soupçons de la presse, aux coups bas de certains policiers, harcelé par les convocations des juges d'instruction, il devient en quelques semaines la cible privilégiée des critiques adressées à l'organisation des services secrets français, la première victime importante de la guerre des polices. On lui reproche indistinctement ses initiatives personnelles, son non-respect des règles de la procédure pénale dans quelques opérations secrètes exécutées à la demande de sa hiérarchie. On oublie aussitôt que « l'inconnu de la Présidence » a arrêté 113 personnes, participé à la reddition de 61 forcenés, neutralisé à mains nues 16 individus armés, libéré 500 otages, de l'Ambassade de France au Salvador, à la Somalie en passant par La Mecque dont il ne sera pas parlé ici.

Aujourd'hui Paul Barril livre ses réflexions sur une carrière interrompue contre son gré. Sans amertume, il règle quelques comptes. Il retrace son incroyable parcours au service de l'État, il décrit ses méthodes de combat, il évoque ses rencontres avec ceux qui ont fait l'actualité du terrorisme, d'Action Directe aux mouvements d'Extrême Droite, de Klaus Croissant à Charly Ching, des mouvements autonomistes corses à l'affaire de l'Ambassade d'Irak, à l'occasion de laquelle quatorze impacts de balles sont relevés sur la voiture qui lui a servi de bouclier. Il retrace ses missions contre le grand banditisme, de « Pierrot » Conti à Mesrine. Il propose aussi des solutions.

Presses de la cité – 1984 – 400 pages – 210 gr – Nombreuses photos hors-texte –

Quelques marques de lecture et de stockage sur plats + une cassure sur tranche, mais intérieur tout à fait O.K, bon pour le service : 2 €uros. / Vendu !

 

Jean MABIRE : « Les panzers de la garde noire »

Quatrième de couv : Forte d'une simple compagnie en 1933, la garde personnelle d'Adolf Hitler, la « Leibstandarte », est devenue une dizaine d'années plus tard une Panzerdivision qui fut parmi les plus redoutables de la Waffen SS. Cette troupe d'élite, formée de jeunes soldats sélectionnés pour leur stature, leur fanatisme et leur courage, a combattu sur tous les fronts de la Seconde Guerre mondiale. 

Commandée par le légendaire lansquenet bavarois « Sepp » Dietrich, elle a participé aux offensives les plus hardies comme aux combats les plus désespérés. En Pologne en Hollande, en Macédoine, en Grèce, en Ukraine, en Normandie, dans les Ardennes ou en Hongrie, les hommes de la Garde Noire ont toujours été à la pointe de l'armée allemande. A l'approche de la défaite, ses Panzers tentèrent vainement de forcer la décision, et le sacrifice des régiments de la « Leibstandarte » acheva l'aventure militaire du IIIème Reich.

Presses Pocket / Collection « Troupes de Choc »

Nombreuses photos hors-texte / 1980 – 350 pages – 180 grammes. 

Etat = quelques infimes petites marques de stockage / manipulation… mais vraiment infimes, exemplaire en très très bon état… nickel !

>>> 4 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

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