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10/08/2016

Bataillon Tornado - Les enfants victimes de la descente de l'Ukraine dans les abysses de la folie collective.

Ignobles parmi les ignobles ! 

Bataillon Tornado - Les enfants victimes de la descente de l'Ukraine dans les abysses de la folie collective.

Chaque jour voit de nouvelles révélations dans l'affaire du bataillon Tornado.
Rappelons que depuis le 2 août, le procès du chef de ce bataillon et de sept de ses hommes s'est ouvert à Kiev, pour crimes de guerre.

Non pas que Kiev ait réellement décidé de faire le ménage dans les rangs de ses bataillons spéciaux si utiles sur le front du Donbass, mais ceux-là commettaient des crimes tellement voyants qu'il fallait bien sauver les meubles face à la communauté internationale. On arrête donc le chef et quelques soudards, puis on redéploie les autres dans d'autres bataillons aussi criminels que le bataillon Tornado, et on lance la machine judiciaire.

Sauf que les autres soldats de ce bataillon, et d'autres aussi nauséabonds que le bataillon Tornado, ont décidé de ne pas laisser faire la justice. Manifestations violentes et menaces contre les autorités de Kiev n'ont pas manqué pour exiger la libération de ces « héros de l'Ukraine » (et au vu des crimes de ces personnes ce titre a de quoi donner envie de vomir).

Si jusqu'au procès, les crimes reprochés publiquement à ces soldats rassemblaient la cohorte classique des crimes de guerre (pillages, enlèvements, tortures, viols, meurtres), depuis le cinq août et les révélations du procureur militaire, la galerie des horreurs a vu s'ajouter les viols sur mineurs, y compris de très jeunes enfants. Confiants dans leur impunité, ces hommes se sont comporté pire que des animaux.

Les preuves de ces crimes sans nom ont été fournies par les téléphones portables des accusés, et ont été révélées afin de calmer les ardeurs des défenseurs de ce bataillon criminel. D'ailleurs au vu de l'horreur de leurs crimes, la député ukrainienne du parti Front Populaire Tatiana Chernovol a déclaré à la télé ukrainienne que « le député qui défend ces bêtes devrait lui aussi être mis en prison ».

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Lors d'une émission sur la chaîne TV "112 Ukraine", Tatiana Tchornovol, députée de la Rada du parti "Front populaire", est revenue sur l'affaire Tornado - bataillon de volontaires ukrainiens - qui défraie à nouveau la chronique kiévienne, et dont le procès en cours révèle l'horreur des crimes commis par les psychopathes de ce bataillon spécial engagé par Kiev sur le front du Donbass. / Thalie Thalie

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Mais pour huit soldats actuellement jugés, combien d'autres peuvent continuer leurs crimes en toute impunité ? D'autant plus qu'après l'appel de Nadia Savchenko à demander pardon aux gens du Donbass, Rouslan (Ruslan) Onishchenko, le chef du bataillon Tornado, a enregistré un message vidéo dans lequel il admet que lui et ses hommes ont utilisé leurs armes non seulement contre les soldats des deux Républiques Populaires, mais aussi contre leurs femmes, leurs mères, et leurs enfants.
Pour ce fou furieux et ses sbires, tous sont des séparatistes qu'il a considéré comme des traîtres et tué sans hésiter.

Il faut vraiment avoir touché le fond des abysses de la folie collective, pour considérer des enfants comme des terroristes ou des séparatistes tout juste bons à être violés et/ou éliminés. 

Combien d'enfants ont ainsi été assassinés par les membres de ce bataillon sous prétexte d'avoir été des séparatistes ? Et combien le sont encore à l'heure actuelle par les membres de ce bataillon encore libres ou ceux des autres bataillons aux principes « éthiques » comparables ? Seuls ces fous furieux le savent, et à la fin de cette guerre nous risquons fort de découvrir des charniers innombrables où les victimes de ces criminels seront retrouvées.

Il est temps pour l'ONU, les médias occidentaux et la communauté internationale de réagir (avec autre chose que de jolies paroles) devant de telles horreurs qui sont plus que prouvées, et qui ont lieu dans un pays ayant signé la charte des droits de l'homme et la convention des droits de l'enfant. Faute de quoi l'histoire, ainsi qu'un tribunal pénal international, jugeront ces pays, leurs journalistes et les institutions internationales comme complices volontaires de ces crimes, aux côtés des criminels qu'ils auront laissé faire par leur silence.

Christelle Néant, pour DONI Press.

Sources :

http://en.news-front.info/2016/08/08/tornado-militants-ad...
https://dninews.com/article/combatants-ukrainian-nazi-bat...
http://alawata-rebellion.blogspot.de/2016/08/la-psychopathie-ukrainienne-6.html

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Vidéo de leur procès, avec des éléments de leurs crimes,
sous-titrée en anglais (activer les sous-titres), âmes sensibles d'abstenir (-18) :

Novorossia, Donbass, Ukraine, armée ukrainienne, bataillon Tornado, crimes de guerre, torture, viols d'enfants, salopards, Rouslan Onishchenko, Semen Semenchenko, fils de truies, ignobles parmi les ignobles
Les fils de truies...

29/07/2016

Cachez cette Vérité que je ne saurais voir.

Cachez cette Vérité que je ne saurais voir.

Mardi 26 juillet, Europe 1, BFM TV et les chaînes de France Médias Monde (RFI, France 24 et Monte Carlo Doualiya) ont décidé de ne plus diffuser les photographies ainsi que les noms des terroristes. Le Monde et La Croix viennent de leur emboîter le pas. Les auteurs d’attentats deviendront-ils bientôt des « nonêtres » ? Ce terme de novlangue orwellien désigne, dans le roman 1984, ceux dont on effaçait l’existence jusque dans les archives des journaux : « Celui qui a le contrôle du passé, disait le slogan du Parti, a le contrôle du futur. Celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé. »

La presse utilisait déjà un vocabulaire inapproprié pour décrire les islamistes. Selon le dictionnaire, un « forcené » est un individu« qu’un accès de folie, une forte émotion rend, a rendu très violent ». Au hasard de leurs sautes d’humeur, en somme, ces barbares massacrent des centaines de Français avec un raffinement particulier.

De même manière que le parti de fiction, l’ANGSOC, a fini par déclarer que « deux et deux font cinq », nos bien-pensants nous assureront qu’il n’y a plus d’attentats, que « ça va mieux ». Quelle sensation de malaise donne cette impression d’évoluer dans une dimension parallèle ! Quelle dépossession de notre propre pays, dont les élus ne veulent pas assurer la sécurité !

La gauche, déjà connue pour ses dénis pathologiques de réalité, a-t-elle fait pire ? Face à la nouvelle, le lectorat du Monde se réjouit et pousse des soupirs de soulagement. Cachez cette vérité que je ne saurais voir : cette indécente célébrité posthume pourrait inspirer d’autres « forcenés » à chercher leur part de gloire ; il est « fatiguant » de trouver ces noms et ces visages synonymes d’horreur à répétition, oublions-les un peu…

D’ailleurs, le dernier article publié sur Adel Kermiche, se targuant d’expliquer « pourquoi l’un des auteurs de l’attentat avait été remis en liberté », prend des allures de plaidoirie : l’auteur insiste sur le« parcours chaotique » d’un « jeune homme » qui rêvait de devenir« aide médico-psychologique » et se décrivait comme « un musulman basé sur les valeurs de miséricorde, de bienveillance ». Assigné à résidence chez ses parents avec un bracelet électronique, il bénéficiait d’une permission de sortie le mardi matin pour sa « prise en charge psychologique »

La suite de l’histoire, nous la connaissons. Une phrase que les Français sont condamnés à conjuguer à tous les temps, si ce gouvernement se maintient encore au pouvoir.

Trump déclarait, mercredi, que « la France n’est plus la France ». Il a bien raison : la République des Lumières précipite notre pays dans le chaos.

Dernière bouffée d’oxygène dans cette société suffocante : les réseaux sociaux et les médias indépendants tels que Boulevard Voltaire et Fdesouche, qui résistent en diffusant envers et contre tous la vérité. Notre soutien leur est plus que jamais nécessaire !

, pour Boulevard Voltaire.

http://www.bvoltaire.fr/virginievota/la-presse-censure...

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28/11/2015

Un deal Merkel-Erdogan : arrêt de mort pour l'Europe ?

Un deal Merkel-Erdogan :
arrêt de mort pour l'Europe ?

Les chefs européens se rendront, ce dimanche, en Turquie pour discuter affaires: des milliards d'euros en échange du règlement de la crise migratoire. Une UE impuissante convoite un règlement rapide et voit en Recep Erdogan un sauveteur. Pourtant, c'est une grande illusion, selon Deutsche Wirtschafts Nachrichten.

Or il semble que les faits concernant la coopération turque avec Daech suffisent largement pour rendre la rencontre des chefs des pays-membres de l'UE avec le président turc Recep Tayyip Erdogan impossible, fait remarquer le journal allemand Deutsche Wirtschafts Nachrichten. Pourtant, la chancelière allemande Angela Merkel montre de plus en plus sa bienveillance à l'égard d'Ankara, bien que cette affaire soit déjà profitable pour M. Erdogan. Outre l'argent du contribuable européen, il aura un énorme bonus: le silence de la chancelière allemande sur tous les thèmes embarrassants. 
 
Plus de questions embarrassantes.
 
Ainsi, le président pourra éviter les questions sur les raisons des frappes sur l'avion russe, ce qui a exacerbé la colère dans le monde. Il ne sera pas non plus obligé de s'expliquer sur les liens qu'entretient sa famille avec Daech et son financement, ni sur ce qui est arrivé aux journalistes qui avaient découvert la coopération d'Ankara avec Daech. Personne ne se posera plus la question de savoir sur quels fondements la Turquie demande de l'accueillir au sein de l'UE. Et, ce qui est le plus important, personne ne se souciera de savoir si les milliards de l'UE seront bien destinés aux besoins des refugiés, explique l'auteur de l'article. 
 
Mme Merkel ne peut pas garantir que son deal avec M. Erdogan, compte tenu de toutes ses relations opaques avec les djihadistes, ne transformera pas les citoyens européens l'ignorant en sponsors indirectes de Daech. L'accord avec Ankara, s'il a lieu, signera l'arrêt de mort de toutes ces personnes qui pourraient souffrir d'une nouvelle résurgence du terrorisme, déplore Deutsche Wirtschafts Nachrichten. Voilà pourquoi Angela Merkel doit éviter cette faute avant qu'il ne soit trop tard, conclut l'auteur.
 
Le 18 octobre, Mme Merkel s'était déjà rendue à Istanbul, où elle s'est entretenue sur la crise migratoire avec Recep Tayyip Erdogan et le premier ministre Ahmet Davutoglu. Selon le plan rendu public après le sommet, la Turquie devrait jouer un des rôles principaux dans la résolution de la crise migratoire.
 
Sputnik
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Dessin en provenance de : the real SyrianFreePress Network

15/11/2015

Démission...

Ce président et ses gouvernements ont contribué à faire naitre DAESH en Syrie, en les armant, les finançant et en les formant pour faire tomber El Assad. Aidés en cela par les USA, les Israéliens, la Turquie, le Qatar et l'Arabie...

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Ce gouvernement a ensuite été l'un des plus actifs pour faire rentrer 800.000 pseudo migrants en Europe, dont on sait qu'ils sont à 80 % des hommes seuls. Ce ne sont pas des migrants, ce sont des envahisseurs et pour environs 4000 d'entre eux des djihadistes !

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La presse Anglaise ne s'y trompe pas et titre ce que la presse Française,
sous contrôle, n'osera pas :
"Les djihadistes sont entrés en Europe comme faux réfugiés"

France, Paris, Terrorisme, responsables, Démission

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Ce président et son gouvernement veulent faire croire aux Français qu'ils ont fermé les frontières, voilà comment était celle de Strasbourg hier 14/11/15 à 00 h 40, alors que l'Allemagne est celle qui a le plus de réfugiés sur son sol : aucun contrôle !!!
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Ce président et son gouvernement sont ceux qui ont rendu possibles les attentats du 13 novembre, (et ceux qui viendront) et doivent démissionner sur le champ !
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Un communiqué Terre & Peuple

http://www.terreetpeuple.com/282-reflexion/actualite/1336...

http://www.terreetpeuple.com/lignes-de-front-reflexion-23...

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Paris : deux "migrants", parmi les trois kamikazes identifiés ?

Attentats à Paris : deux "migrants",
parmi les trois kamikazes identifiés ? 

3 terroristes identifiés, un Syrien, un Egyptien et un Français.

L'un, qui a participé à la prise d'otages sanglante dans la salle de spectacle du Bataclan, Omar Ismaïl Mostefaï, est un Français de 29 ans. Né à Courcouronnes, en banlieue parisienne, il était fiché pour sa radicalisation islamiste depuis 2010. En outre, les enquêteurs tentent de confirmer que le kamikaze a bien séjourné en Syrie en 2014.
Condamné à plusieurs reprises pour des délits de droit commun, il n'avait jamais fait de séjour en prison. Il a été identifié par ses empreintes, grâce à un doigt sectionné retrouvé dans la salle de spectacle parisienne où se tenait un concert de rock lors de l'irruption des djihadistes.
Son père et son frère ont été placés en garde à vue. Leurs domiciles, situés respectivement à Romilly-sur-Seine et Bondoufle, ont été perquisitionnés samedi soir, rapporte l'AFP.

Le journal serbe Blic a fourni le nom d'un deuxième suspect. Il s'agirait d'Ahmad Almuhammad, dont le passeport syrien, qui avait été enregistré par les autorités serbes en octobre, a été retrouvé sur l'un des terroristes.
L'homme a été enregistré en Grèce le 3 octobre et a ensuite pris la route de la Macédoine et de la Serbie, où il a déposé une demande d'asile. Puis il s'est rendu en Croatie, où il a transité par le centre d'asile d'Opatovac le 8 octobre.

Le nom du troisième suspect des attentats a été dévoilé par le quotidien français le Figaro. Selon le journal, le passeport syrien retrouvé par la police française près du corps d'un des auteurs des attaques au Stade de France appartenait à un migrant enregistré lors de son arrivée sur une île grecque en octobre.
Le procureur de Paris a confirmé qu'il s'agissait du passeport d'un Syrien né en 1990 et inconnu des services de renseignements français. Mais les enquêteurs français n'ont pas déterminé à ce stade si ce passeport était bien celui de l'assaillant. Selon la chaîne M6, le nom figurant sur le passeport serait Abbdulakbak.B.

(…)

Sputnik, 15 novembre 2015 / Articles source : ici et ici

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Photo : Vladimir Pesnya / Sputnik

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Lire également : 

Attentats islamo-terroristes à Paris : la traque

14/11/2015

Fabius : le Front al-Nusra « fait du bon boulot sur le terrain ».

Un commentaire aperçu sur le site Boulevard Voltaire
Tout (y) est dit !

* * * * *

Le 29 mai 2012, Fabius a déclaré que la France interviendrait contre le régime syrien.
Le 17 août 2012, Fabius a déclaré que le président syrien Bachar al-Assad « ne mérite pas de continuer à vivre sur la terre ».
Le 14 décembre 2012, s’élevant contre la décision de l’administration Obama de désigner le Front al-Nusra comme un groupe terroriste, Fabius a objecté que le Front al-Nusra « fait du bon boulot sur le terrain ».
Le 13 mars 2013, Fabius a annoncé que la France et la Grande-Bretagne allaient livrer des armes aux rebelles.
Apparemment, al Nosra fait aussi "du bon boulot" en France.

Marie-José Virchaux, Neuchâtel.

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Lire également : 

Carnage en plein Paris : au moins 127 morts et près de 200 blessés

Massacre en plein Paris : ce n’est qu’un tout début

Vague d’attentats islamistes à Paris...

Vague d’attentats islamistes à Paris et Saint-Denis :
au moins 126 morts, plus de 200 blessés
dont des dizaines graves.

Ce sont six à sept lieux différents qui ont été ciblés hier soir dans la capitale et au Stade de France par plusieurs équipes de jihadistes bien coordonnées, surarmés et décidés à faire un carnage. Le premier bilan de cette soirée meurtrière se chiffre à 126 tués, dont 4 policiers, des dizaines de blessés sont hospitalisés dans un état grave dans les différents centres de l’APHP, notre pays est sidéré.
Dans la foulée, François Hollande a décrété l’Etat d’urgence sur l’ensemble du territoire (une première depuis la guerre d’Algérie) et la fermeture des frontières, avant de se raviser bien vite : on se limitera à un contrôle « renforcé » aux frontières…
L’ensemble des terroristes n’a toujours pas été neutralisé ce matin, une traque est en cours. Il s’agirait de « Français » de retour d’Irak et de Syrie qui ont combattu dans les rangs de Daech.

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Carte des attentats dans Paris

* * * * *

Les Parisiens ont vécu une soirée d’horreur et de folie pure, ponctuée par les sirènes des secours, celles des forces de l’ordre, le bruit assourdissant des hélicoptères qui tournaient au dessus des toits et, dans certains quartiers de la capitale, des barrages de police, des bruits d’explosions, des tirs, la panique. Ambiance surréaliste mais terriblement réelle d’un pays en guerre qui doit faire face à une menace islamiste de très haut niveau avec des dirigeants totalement en dessous de tout.

François Hollande avec quelques-uns de ses ministres et le chef de file des socialistes pour les régionales en Ile-de-France sont apparus au Bataclan en cravates noires, l’air grave, la mine déconfite : le temps de la com’ à défaut de l’action et de la volonté politique…

Sept lieux différents ont été ciblés, dont 6 sur Paris intra muros : Charonne, rue Bichat, rue de la Folie Méricourt, le Bataclan, la rue de la Fontaine au Roi, le Stade de France où se déroulait le match France-Allemagne et où le président de la République a été évacué d’urgence après qu’au moins deux jihadistes se soient fait sauter avec des ceintures d’explosifs. Une fusillade aurait même été entendue aux abords du Stade de France.

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L’horreur au Bataclan

Dans la salle de concerts du Bataclan, en plein Paris, le groupe de Metal « Eagles of Death Metal » avait réuni quelque 1500 fans à l’intérieur de la salle. L’équipe jihadiste est arrivée armée jusqu’aux dents, ceinturée d’explosifs. Très vite, ce fut un véritable carnage, le commando islamiste rafalant à la kalachnikov dans la foule ; la BRI (ex-anti-gang) est intervenue dans l’urgence, en pleine panique des otages. La plupart des terroristes ont été éliminés, deux se seraient fait exploser, un dernier aurait été interpellé. L’individu se revendiquerait de Daech.
Selon le journaliste Guillaume Auda, la BRI déplorerait la perte de quatre de ses hommes, des policiers d’élite qui n’ont fait que leur devoir avec courage et honneur. Une information non confirmée.

Dans la salle de spectacle, ils ont tiré en plein dans la foule en criant « Allah Akbar », l’un d’eux reprochant l’intervention française en Syrie, oubliant un peu vite que le ministre socialiste des Affaires étrangères, Laurent Fabius, considérait que les islamo-terroristes font du « bon boulot » dans ce pays meurtri par la guerre.

Des exécutions sommaires auraient été perpétrées par ces terroristes.
« Des cadavres entassés par dizaines, des morceaux de corps, de visages, de cervelle partout », témoigne une personne présente sur le lieu du drame. Certains survivants ont été sauvés grâce à leur présence d’esprit de se protéger derrière les corps de victimes sans vie.

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Dans Paris, alors que les terroristes agissaient encore, après avoir tiré à l’arme lourde contre plusieurs restaurants et terrasses de cafés bondés, une solidarité de fait s’est mise en place, comme au Café Grisette, Boulevard Richard Lenoir, qui a fourni eau, café, soutien moral et abri aux badauds quand ça tirait encore.

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Jihadistes « français » de retour de Syrie et d’Irak

Au total 8 terroristes sont morts : 4 au Bataclan (dont deux se sont fait sauter à l’explosif), 3 au Stade de France (avec leurs ceintures d’explosifs), 1 boulevard Voltaire. Toutes les autres équipes ont réussi à s’échapper, l’ensemble des forces de l’ordre et une partie de l’armée les traquent. D’ailleurs, dès hier soir, 1.500 militaires étaient appelés en renforts sur Paris.

Hier soir, tard, ordre a été donné aux forces de l’ordre de tirer à vue. Paris est désormais quasi bouclé, sous très haute surveillance. Il était temps, mais l’ennemi est déjà dans la place.

Selon l’analyste Jean-Paul Ney, les équipes d’assaut de l’Etat islamique seraient composées de jihadistes « français » de retour de Syrie et d’Irak. Tous fichés S, tous identifiés, la plupart dans la nature. Le numéro vert et les stages de « déradicalisation », mis en place par un gouvernement Valls-Hollande totalement irresponsable et déconnecté des réalités, n’auront donc servi à rien.

NationsPresse.info, 14 novembre 2015.

Article source

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En continu, sur RT en français > Cliquez ici  

france,paris,terrorisme

13/11/2015

« Nous avons une bonne relation avec Azov », explique Muslim...

« Nous avons une bonne relation avec Azov »...

Rencontre avec Muslim, le commandant tchétchène
qui se bat en Ukraine contre les séparatistes pro-Russes

Note de K. : Un article signé Jack Losh, et publié sur Vice « poubelle » News en date du 12 août dernier. M’avait échappé jusqu’à présent, vu que je ne suis pas vraiment client de ce site de merde… mais j’en viens presque à le regretter !?! C'est du petit lait !
Muslim et ses « copains de goûter » de chez Azov et Secteur Droit
Copains comme cochons… les porcs.

* * * * * *

Le fait de savoir que le gâteau au caramel saupoudré de graines de pavot, a été confectionné par un groupe de volontaires locaux, a rassuré le commandant de la milice tchétchène — il ne sera pas empoisonné pendant son goûter. « Pour tout le reste, » dit-il en tendant une petite boîte en carton contenant un compteur Geiger, « Je vérifie le niveau de radioactivité. »

Habillé en tenue de combat, portant fièrement une impressionnante barbe noire et blanche, l'exilé tchétchène est connu sous le nom de guerre de « Muslim ». Nombre de ses anciens partenaires ont été empoisonnés par les services secrets russes, explique-t-il, et il n'est pas près de les rejoindre. Il a survécu jusqu'ici pour atteindre la quarantaine, malgré deux guerres dévastatrices entre la Tchétchénie et la Russie dans les années 1990, une décennie à vivre dans les montagnes du Nord Caucase, et maintenant 12 mois à combattre dans l'Est ukrainien, contre les séparatistes soutenus par le Kremlin.

Muslim est à la tête du bataillon « Sheikh Mansur » — du nom d'un résistant tchétchène du 18e siècle. Il s'agit d'un des trois bataillons islamiques combattant aux côtés des forces de Kiev dans l'est de l'Ukraine. Si des Tchétchènes combattent aux côtés des Ukrainiens, ils se retrouvent face à d'autres Tchétchènes, qui sont eux dans les rangs des séparatistes pro-Russes. 

Les Tchétchènes qui se battent pour l'Ukraine seraient une centaine. De l'autre côté, des centaines de Tchétchènes, fidèles au leader du pays Ramzan Kadyrov, soutiennent les séparatistes pro-Russes. En 2004, le président russe Vladimir Poutine avait fait confiance au jeune chef de guerre Kadyrov pour éteindre l'insurrection locale en Tchétchénie et lui a permis de diriger ce pays détruit par plusieurs conflits.

En plus de combattre des Tchétchènes et pour l'Ukraine, l'unité de Muslim a une autre particularité. Si en Europe occidentale, on associe souvent des groupes d'extrême droite avec l'islamophobie, le bataillon Sheikh Mansur se retrouve allié avec Secteur Droit, un mouvement paramilitaire ukrainien d'extrême-droite. Partout ailleurs, ces deux groupes seraient des ennemis naturels — mais ici, cette alliance est née d'une haine commune d'un ennemi : la Russie. 

(…)

Le groupe du Sheikh Mansur combat aussi aux côtés du Bataillon Azov, un mouvement pro-Kiev, dont les supposées tendances néonazies ont obligé les États-Unis à interdire aux soldats américains d'entraîner et d'armer ses membres (Note de K : mais oui mais oui... et c'est la marmotte qui met le chocolat dans le papier alu') . Le groupe nie tout projet extrémiste, tout en adoptant le symbole du Wolfsangel (crochet de loup) que l'on a associé avec la période de l'Allemagne nazie (plusieurs unités SS arboraient le symbole). Muslim assure que les milices disparates qui combattent pour l'Ukraine sont totalement unies.

« Nous avons une bonne relation avec les bataillons volontaires, dont Azov », explique Muslim à VICE News. « Nous combattons ensemble sur le front, partageons de nombreuses amitiés, et la religion ou l'appartenance ethnique ne sont jamais des sujets de tension. »
« Il n'y a rien de surprenant dans notre alliance — nous avons un ennemi commun qui se fiche de nous ou de nos territoires. Les hommes de mon unité sont juste des musulmans et n'ont aucun intérêt à convertir qui que ce soit. »

De tous les bataillons volontaires qui combattent avec les Ukrainiens, Muslim est sans doute celui qui parle le plus affectueusement de Secteur Droit. « Ils existent en dehors du système et combattent seulement pour leur territoire, pas pour l'argent, » ajoute Muslim. « Nous partageons cette vision. Ceux qui sont dans le système sont un peu différents de nous. En ce qui nous concerne, les combattants de Secteur Droit peuvent faire ce qu'ils veulent — nous sommes seulement ici pour nous battre contre la Russie. »

Dans le baraquement que Sheikh Mansur et Secteur Droit partagent, qui se trouve à une heure de route de la ligne de front, un combattant torse nu de Secteur Droit se prélasse au soleil derrière un voile couleur camouflage. Il partage la vision de Muslim quant à l'étonnante alliance, mais est un peu moins loquace sur la question. « Tchétchènes, Secteur Droit, » a commencé Vyjak en frappant son poing droit dans la paume de la main gauche, « Poutinekaput. »

Sergiy Vasilovich, le chef de la branche politique de Secteur Droit au Donbass, a développé un argumentaire identique, interrogé sur la relation de son groupe avec Sheikh Mansur. « Les bataillons volontaires sont comme un poing serré, totalement uni dans le patriotisme », nous dit-il. 

(…)

Après sept années en exil, apparemment entre la France et l'Ukraine, Muslim a rencontré en 2014 un autre rebelle tchétchène, le Général Isa Munayev — un personnage de premier plan chez les Tchétchènes qui combattent en Ukraine. Munayev a été blessé en 2006 lors d'une attaque contre-insurrectionnelle en Tchétchénie. II avait été emmené en Europe illégalement pour être soigné. Le Danemark lui avait alors accordé l'asile politique, où il a dirigé un groupe militant pour l'indépendance de la Tchétchénie — jusqu'à ce que les événements en Ukraine se présentent comme l'opportunité parfaite pour continuer son combat contre la Russie.

Il s'est rendu en Ukraine au printemps dernier, où il a été reçu par des officiers militaires de Kiev, qui cherchaient absolument des combattants expérimentés. Armé et équipé, Munayev a formé le bataillon Dzhokhar Dudayev — du nom d'un ancien président tchétchène et ancien leader de l'indépendance. Nombre de ses compatriotes faisaient partie du groupe armé — dont Muslim, qui restera à ses côtés quelques mois avant d'aller former le Sheikh Mansur — ainsi que des Azéris, des Géorgiens, des Ingouches et des Tatars.

En février, Munayev a été tué alors qu'il combattait aux côtés des forces ukrainiennes lors de la terrible bataille pour la ville de Debaltseve (Note de K : Debaltsevo en fait... vu qu'on parle Russe, dans cette ville, et non l'espèce de patois Ukrainien qui se veut une langue ! Mais bon, le journaliste est de chez Vice News...). Adam Osmayev, un Tchétchène anglophone (Note de K. : "anglophone" !?! Sans déconner... quelle surprise ! Etudes à Langley ?), l'a depuis remplacé, et Muslim a continué à opérer avec son propre bataillon. 

(…)

Dans ses rangs, le bataillon Sheikh Mansur compte des hommes qui ont combattu avec les forces anti-gouvernementales en Syrie. « Ils sont partis pour venir ici, parce que c'était devenu compliqué là-bas, » précise Muslim. 

(...) 

Jack Losh / Article source

meet-muslim-the-chechen-commander-battling-russia-with-some-unlikely-allies-body-image-1439296924.jpgGoûter et thé avec « Muslim » (Photo par Jack Crosbie)
Note de K : Ohlala, dis donc… le "p’tit goûter" avec Muslim…
C’est vraiment trop mignon ! Trooooop mignon !  

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Vice News est une chaîne d'information mondiale qui diffuse des documentaires sur des sujets d'actualité. Elle a été fondée en décembre 2013 en tant que filiale de la société Vice Media. Vice News diffuse des reportages sur différents sujets, y compris des événements non couverts par d'autres sources d'information. Vice News et sa société mère sont basés à New York, bien qu'elle ait beaucoup de bureaux dans le monde entier. (Wikipedia)

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A lire également !
(Cliquez sur le titre en bleu ci-dessous) 

Chechens and other islamists fight for kiev

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In the mosque ; the main Chechen leaders in Ukraine,
Adam Osmaev, second from left, and beside « Muslim » Cheberloevky.

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« Muslim » Cheberloevky and
Dmytro Yarosh
 
finished eating in any area in the front of Shirokino

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Dmytro Yarosh ( Note de K : chef du Secteur Droit / Pravy Sektor) 
and « Muslim » Cheberloevky 
posing with Sheikh Mansour Battalion members...

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Les copains de chambrée du bataillon Azov.
Mislamthropiques...

23/10/2015

"Migrants" : la grande reculade d’Angela Merkel

"Migrants" : la grande reculade d’Angela Merkel.

 

 

Angela Merkel doit désormais affronter à la fois la fronde de ses alliés droitiers du CDU dont l’ADN n’est pas spécialement multiculturel, prendre garde à ce PEGIDA qui n’en finit plus de grimper dans les sondages et ronronner devant un président turc dont on ne sait plus trop quoi bien à quel jeu il joue.

 

Angela Merkel, c’est un peu une Martine Aubry à l’allemande, avec la même tête d’infirmière qui battrait ses malades ; la même bondieuserie aussi : un père pasteur pour la première et un autre quotidiennement assidu à la messe pour la seconde. Sauf qu’Angela, elle, a un peu mieux réussi son parcours politique que Martine. Jusqu’à aujourd’hui, nonobstant.

 

Ainsi, le grand show des réfugiés, traité par nos médias comme une resucée d’Holiday on Ice version barcasses. À ce qu’il nous fut prétendu, c’était le grand transport amoureux. Bras grands ouverts aux… aux on ne sait plus trop quoi, « migrants », « réfugiés », « clandestins », « fouteurs de bousin » en puissance ?

 

Pour madame le chancelier, l’urgence était de lutter contre l’extrême droite, un peu comme madame le maire de Lille. D’où cette déclaration foutrement virile, pour une dame à la beauté si fragile : « Les citoyens ne devraient pas suivre ceux qui descendent dans la rue remplis de haine et d’hostilité envers les autres… ». Fort bien, mais à ce détail près que 30 % du gros million de « migrants » en question ne parlent pas un traître mot d’arabe ; ce qui signifie qu’ils viennent de partout, sauf de cet Orient mis à feu et à sang, par Daesh certes, mais également par les guerres aussi idiotes que criminelles menées par l’Occident.

 

Dans les 70 % restants, plus de la moitié sont de forts gaillards, célibataires et parfaitement en âge de se battre contre la « barbarie islamiste ». Du coup, l’opinion publique allemande paraît se retourner, tant les nouveaux arrivants ne leur semblent pas précisément être enfants de Woodstock. Du coup aussi, et ce, de manière des plus logiques, un mouvement tel que PEGIDA (acronyme de patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident) recommence à avoir le vent en poupe.

 

Lire aussi : Merkel devant les ruines de sa politique migratoire

 

Ce qui oblige la même Angela Merkel à aller mendier une médiation turque à Ankara, capitale d’un pays dans lequel il vrai que déjà plus de deux millions de « réfugiés migrants » aimeraient bien aller se refaire la cerise en Allemagne, pays du presque plein-emploi.

 

« Presque », la nuance est de taille, sachant que l’Allemagne est forte d’une fécondité à peu près aussi vaillante que celle des derniers Pygmées et que la dondon en question demeure à ce jour sans enfants. Il faut donc de nouveaux travailleurs afin de faire tourner la puissante machine industrielle d’outre-Rhin, qu’ils soient plus ou moins qualifiés ou pas. L’immigration, armée de réserve du grand patronat, l’affaire n’est pas neuve depuis Karl Marx.

 

De manière plus symbolique, mais médiatiquement fort efficace – au moins durant les premiers jours – de la grande feria berlinoise : solder une bonne fois pour toutes la sulfureuse réputation allemande, eu égard aux zeures-les-plus-sombres-de notre-histoire…

 

Sur le papier, le bidule était programmé pour fonctionner. Dans la réalité, c’est une tout autre histoire. Car Angela Merkel doit désormais affronter à la fois la fronde de ses alliés droitiers du CDU dont l’ADN n’est pas spécialement multiculturel, prendre garde à ce PEGIDA qui n’en finit plus de grimper dans les sondages et ronronner devant un président turc dont on ne sait plus trop quoi bien à quel jeu il joue, si ce n’est à un jeu de c… !

 

Nicolas Gauthier pour Boulevard Voltaire.

http://www.bvoltaire.fr/

 

Un article découvert sur :

http://euro-synergies.hautetfort.com/

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13/10/2015

The real UAF : From a decrepit military to psychotic thugs

The agony of the Banderist punitive army

 

October 10, 2015.

 

Maksim Stepantsov, Novorossiya

Translated for Fort Russ by J. Arnoldski.

 

http://fortruss.blogspot.ca/2015/10/the-real-uaf-from-decrepit-military-to.html

 

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The basic and red line in the howling of Ukrainian nationalists is one, primitive thought: unhappy Ukraine suffered under the yoke of the communist regime, which represented nothing more than than the Russian people. Therefore, “Moskali out” and “Bandera will come and bring order.”

 

Actually, it’s possible to say that Bandera came and precisely such an order was established which could have been if Ukraine nationalism somehow won in the past, in the Civil War or Second World War. Already then, the country would have been ruined, partitioned into a number of banana states having a colonial status with a primitive economy, sham armed forces, and led by puppet governments managed from the American Embassy. 

 

Even after the collapse of the USSR, Ukraine inherited one of the largest industrial bases in Europe, advanced scientific and cultural potential, a developed agriculture and an army armed with nuclear weapons which was ranked number three in the world ranking.

 

However, instead of developing a new government, for 24 years they have busied themselves with searching for internal enemies, which has in the end led to a bloody fratricidal war. 

 

Since the very beginning of the war in Donbass, the command of the armed forces of Ukraine was faced with such a problem as a lack of equipment and weapons. But when the Soviet Union collapsed in 1991, 21 divisions, including 4 tank divisions from the Kiev, Odessa, and Carpathian military districts came under the jurisdiction of Ukraine. Plus 8 artillery brigades, 4 special forces brigades, 2 airborne brigades, 9 air-defense brigades, 7 attack helicopter regiments, 3 aircraft armies, and a separate air-defense army. 

 

A staff of 700,000 people! And that’s not counting the 176 intercontinental ballistic missiles and around 2,600 tactical nuclear weapons. 

 

Ukraine eventually, willingly lost its nuclear weapons, but almost all of the above-mentioned Soviet material remained on the “Independent” territory. How, then, in 2014, did soldiers of the Ukrainian army, which had declined to 150,000 (from which, according to some sources, only 60,000 were “active”) happen to be without weapons?

 

It’s very simple. Since its inception in 1993 as an independent state, Ukraine literally started to “eat” its Soviet heritage, including the military heritage. Thus, the economic condition of the country came ever-closer to the bottom every year. 

 

However, those at fault for this process of unprecedented degradation somehow turned out to be the Russian-speaking citizens who only had to be “hanged from trees,” and everything would turn out ok. The people of the East and South of Ukraine, from the first years of “independence” were forced to glorify Petlyura, Bandera, Shukhevich, and abandon their heroes, whether they be Ivan Kozhedub, father Sidor Kovpak, or Petr Vershigora. Unsurprisingly, as a never culturally and ethnically homogenous country began to collapse, they couldn’t think of anything better for pacifying the rebellious than carrying out punitive operations and “organizing a “friendship train” formed by death squads of untethered nationalists. This turned out to be the “people’s army” formed according to the precepts of Bandera, Shukhevich, Dontsov, which was not so much capable of fighting as carrying out terror against the peaceful population.

 

This is precisely why all the mobilizations of the UAF failed, and the self-defense units of Donbass, recruited on a voluntary basis from yesterday’s miners and tractor drivers, put up a heroic resistance. 

 

The southern cauldron, Saur-Mogila, Ilovaysk, and the Debaltsevo cauldron were featured on television screens necessarily with backgrounds of wrecked T-64 tanks, destroyed BM-21 volley fire systems, burned army vehicles, and abandoned artillery positions from which nothing was taken. 

 

Simultaneously, Ukraine carried out several waves of mobilization and formed new military units, detachments of the National Guard, etc., which at times added more “worthless” units to the not so simple situation with troop equipment. 

 

In one year, almost all combat aircraft and air-defense systems were destroyed, naval forces were in ruins, command was seriously disrupted, unprepared “mobilization waves” decreased the quality of land forces sharply, and the number of combat-ready equipment was sharply reduced due to large losses. 

 

And this is all true despite the boastful statements by representatives of the Kiev regime. In their report, “Global Firepower” experts cite such data. Under the previous administration, the UAF had a total of 4,112 tanks, and because of losses only 2,809 remain. If earlier the air force had 400 combat aircraft, today experts count only 222. As a note for experts and readers, the main losses occurred among the 200 sections which in 2011-2013 had undergone capital repairs and modernization. In terms of “air forces,” over the last year Ukraine has dropped from the 20th to the 45th position in rankings. 

 

And on February 24, 2015, “Military Informant” reported that the UAF has begun commissioning D-48 85-mm anti-tank guns from long-term storage bases which were designed in 1948 and which entered into service in the Soviet army a little later in 1953. 

 

At the beginning of June, 2015, photos appeared on the internet depicting Ukrainian soldiers loading onto railway platforms 203-mm howitzers of the B-4 model from 1931.

 

And on August 27, 2015, a correspondent for the television company TSN, Andrey Tsaplienko, wrote on his Facebook page with indignation that he found the 1944 issue of the Maxim machine gun among the weaponry available to soldiers of the UAF’s 53rd mechanized brigade stationed in the Roven region. 

 

Finally, on September 11, 2015, two significant events occurred. First, photos were leaked on the internet which showed the UAF firing 76-mm ZIS-3 model guns from 1942 somewhere in fields. Second, the Ministry of Defense of Ukraine reported that a decision had been made to restore and return the Soviet ZIL-151 and ZIL-157 trucks. Let’s recall that the first was released in 1957, and the second in 1958. 

 

If an APC or car sits for 30 years under the open sky, then it is just a pile of useless metal and is not viable. And after huge restoration work, it will travel only 200-300km and then die. The reasons: quality of the engine, lack of spare parts, lack of technology and expertise. This is all equipment from the ’60’s and ’70’s. Old and dead.

 

However, in the conditions of the collapse of the economy and armed forces, the operational decisions were taken to further the fight against the “Soviet heritage.” The Ukrainian Institute for National Remembrance (UINR) compiled a list of 105 monuments and memorials of the Soviet era which are still on the streets of Kiev and which are to be “dismantled.” 

 

On the list of “to be demolished” are 21 monuments and busts and more than 80 plaques of Bolshevik figures. This includes 12 statues of Lenin, a bust of Nikolay Ostrovsky, busts of Vasiliy Bozhenko, Nadezhda Krupskaya, Ivan Lepse, Vitaly Primakov, and Nikolay Vatutin. Local authorities plan to gather all of the dismantled monuments of the city on one place,which will be called “Park of the Soviet Period” or “Park of the Colonizers,) as the co-chairman of the commission on changing place names of the city council, Vadim Shebanov, reported. 

 

Official ideological bodies are not far behind. In Ukrainian publications, there are allegations that the modern borders do not coincide with the ethnic boundaries of the distribution of the Ukrainian people (Voronezh, Belgorod, Kursk, Kuban, and even the Far East) are specified), and Ukraine itself is often positioned as the outskirts of the Western (European) world bordering the Asian world to which Russia belongs. 

 

Russia is hostile to Ukraine in practically all the Ukrainian myths which are forming a negative attitude to Russian statehood and Russians as a people among Ukrainian society. It’s not difficult to imagine the methods by which Banderites will “return” the Belgorod region to Ukraine. 

 

There is already a regional Nazi leader hopping on the bandwagon of Right Sector: the former resident and native of Belgorod, Roman Strigunkov. For two years he has already tried to create his own territorial battalion in the form of the Russian Legion. Fortunately, the number of idiots wanting to join this formation as cannon fodder can be counted on a single hand. 

 

Meanwhile, since April, around 300 paratroopers of the 173rd brigade of the US are engaged in training Ukrainian soldiers. 

 

The American superheroes have already began carrying out testing of Ukrainian soldiers’ combat training, and so far it’s known that they’ve been very disappointed. Such training has simply been absent. Trainers from the armed forces of the USA are surprised and upset at the same time. They report that Ukrainian fighters don’t know the simplest of things, for example, that weapons should on safety when carried, as well as other most primitive things.

 

Some of the students, as noted by American trainer Veranda, forgot their helmets for the first days of classes. And when he asked his Ukrainian students what actions should be taken upon the detection of unexploded grenades, responses plunged the trainer into shock. “They told me: ‘We either just put them in our pocket or throw them away.’”

 

And these people are entrusted with weapons? But do you know what’s the saddest? They are not to blame. The leadership is to blame, which carried out five waves of mobilization and threw untrained soldiers into the thick of it. Why was there the Ilovaysk cauldron? Or remember the Debaltsevo cauldron, in which 8 thousand Ukrainian soldiers were “boiled?”

 

Fighting among punitive forces is a huge moral and psychological burden. It’s no accident that up to 80% of ATO participants from the UAF need psychological rehabilitation. Almost every day Ukrainian soldiers leave their positions and defect to the  side of the DPR, or they just go to fraternize, as was the case not long ago on the borders of Crimea and Kursk province. 

 

Now a rotation of UAF divisions is taking place, and this is all an angry, mentally unstable, demoralized lot, spread across Ukraine, often with weapons. Few are waiting for them at home, and many of them are feared and even hated. Grenades are starting to explode and gunfire is starting to be heard in cities. 

 

As an example, a fighter of the UAF couldn’t think of anything better than to transfer a couple of grenade launchers to a “visual exhibit” at a school museum in Sumy region. They exploded, and as a result, there were killed and wounded...

 

Ten guys, apparently “ATO participants” “fighting for Ukraine” in one of the residential areas of Lvov-Sykhov beat a bartender and waitress in a cafe. The group of “defenders”, in response to a comment of the bartender to behave quietly, severely beat him and the waitress and other customers of the cafe who rose to defend him. 

 

In Kirovograd, a cafe was set of fire, the owner of which was gathering money to help Ukrainian punitive forces operating in Novorossiya. The camera recoding shows two young guys in hoods pouring flammable liquid on the summer room of the cafe, setting it on fire, and running away. The owner of the cafe, Viktor Dushak, does not exclude that the arson was connected with his support for the punitive forces of the so-called “ATO”...

 

Drunk men detonated a grenade in a bar in Odessa. As was reported by the ministry of internal affairs in the Odessa province, two unidentified men in camouflage uniforms with the Right Sector logo went to a bar, drank 150 grams of vodka, and then pulled out a grenade and threw it under one of the tables where it exploded. As a result of the incident, two customers suffered. The grenade even wounded the one who threw it. 

 

Such reports are already coming everyday in waves. There are tens of thousands of mentally unstable people accustomed to killing. And it doesn’t matter who. They are prepared to kill without hesitation for the sake of slogans “Ukraine above all,” “knife the Moskal”, “one nation, one leader, one language,” and “glory to the nation, death to enemies.” And an enemy can be anyone. Even a comrade in arms.

 

Numerous examples of skirmishes between Right Sector, national guardsmen, and units of the armed forces in the area of the ATO have already been repeatedly cited. It is no secret that there are old fighters in the national guard and officers who hate Nazis in any form more than the officers of the UAF. In fact, in connection with economic problems, the level of salaries of officers of the UAF have decreased 2 times, and indexing is not yet in sight. 

 

The Kiev regime is constantly forced to oscillate between the need to keep the most ardent of Nazis in check while at the same time relying on them and their ideas in the fight against “separatist-terrorists.” It is this which determines the defeat of Kiev’s troops at the front - they have no other supporters.

 

The most dangerous thing is that the masses of demobilized, mentally inadequate participations of the ATO, having no means of subsistence, can move to Russia to earn money. And we should think now about what to expect.

 

There is the memory of the case when at the beginning of the year, an unstable Ukrainian citizen was successfully arrested for trying to set fire to a clothing store in Belgorod with spontaneously igniting fireworks. Such unstable people are poisoned with nationalism, and we should expect them in the future. 

 

Now it is time for our border guards, FSB, and police to increase their vigilance and take strict control of all of our neighbors who are trying to infiltrate our territory with questionable intentions, especially those who already have passed through the ATO. they will probably start to redirect “surplus” weapons, ammunition, and explosives. A few days ago, not far from the Ukrainian border, law enforcement officers detained a car going to the Russian Federation with military navigation equipment. Ordinary citizens should pay more attention, especially in congested public places such as shops, markets, public transport, and entertainment venues. 

 

These are the sad realities of the civil war in Ukraine. Today, we can be comforted by the fact that we are witnessing the agony of the Banderist “Project Ukraine” imposed from the outside and which has for almost a quarter of a century poisoned the lives of tens of millions of people. And the new state of Novorossiya, and maybe even a few states, should finally stamp out the self-discrediting Banderist project. 

 

 

Maksim Stepantsov, Novorossiya / October 10, 2015. 

 

Translated for Fort Russ by J. Arnoldski.

http://fortruss.blogspot.ca/2015/10/the-real-uaf-from-decrepit-military-to.html

 

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