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07/08/2014

MH17 : Un missile air-air et un tir de canon !

Ukraine / MH17 :

Un missile air-air et un tir de canon

seraient à l’origine du crash !

 

Le Boeing malaisien, qui s’est écrasé en juillet en Ukraine, aurait été abattu par un missile air-air et un obus de 30 mm d’un avion d’attaque Su-25, rapporte mercredi le journal malaisien New Straits Times se référant à des experts.

« Plusieurs photos des lieux du crash montrent des éclats ressemblant à ceux d’une arme téléguidée et sur d’autres photos on voit des traces d’un tir plus précis, d’un tir de canon. Nous sommes en train de l’analyser », a indiqué un expert au journal malaisien.

Selon les experts, cette hypothèse explique la nature des dégâts causés au Boeing 777, notamment la présence de trous ronds qui seraient le résultat d’un tir de canon.

Les experts cités par le journal estiment qu’un missile air-air à tête chercheuse thermique doté d’une ogive de 3 kg a également frappé les moteurs de l’avion de ligne.

 

Si l’avion avait été frappé par un missile sol-air Buk, il aurait été complètement détruit et l’agresseur n’aurait pas eu besoin d’utiliser un canon de 30 mm.

Le Boeing volait à 10.600 m d’altitude alors que l’avion d’attaque Su-25 [1] a un plafond pratique de 7.600 m. Selon les experts, le pilote du Su-25 aurait dû le pousser « au maximum de ses performances, mais c’est tout à fait possible ».

Le général Andreï Kartapolov, chef du commandement opérationnel de l’Etat-major général des Forces armées russes, a antérieurement annoncé qu’un avion de combat ukrainien, probablement un Su-25, volait à une distance de 3 à 5 kilomètres du Boeing malaisien qui s’est écrasé plus tard. Il a rappelé que le Su-25 est capable de détruire des cibles aériennes à une distance de 5 km.

D’après les médias, les données des boites noires du Boeing 777 ne contredisent pas l’hypothèse selon laquelle l’avion a été endommagé par un missile air-air.

 

Un Boeing 777 de Malaysia Airlines effectuant le vol MH17 Amsterdam-Kuala-Lumpur avec 298 personnes à bord s’est écrasé le 17 juillet dans la région ukrainienne de Donetsk (est) sans laisser de survivants. L’appareil est tombé dans une zone d’affrontements entre l’armée ukrainienne et les forces d’autodéfense populaire. Les autorités de Kiev accusent les insurgés d’être à l’origine du crash, mais ces derniers déclarent ne pas disposer de systèmes capables d’abattre un avion volant à 10.050 m d’altitude.

 

Source : RIA Novosti / Via NationsPresse.info

 

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[1] Note NationsPresse Info : pour notre part, nous pensons qu’il s’agit plutôt d’un tir de Su-27, le Su-25M1 n’ayant pas les capacités de voler à plus de 10.000 m d’altitude et n’étant pas armé de missiles air-air. Deux Su-27 accompagnaient ce jour-là le Boeing de la Malaysia Airlines.

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Crise ouverte à Kiev / offensive de la dernière chance.

NationsPresse.info, le 5 août 2014…

 

Les articles de NationsPresse.info sont libres de copie et de diffusion,

sous réserve de mention de la source d'origine > http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/ukra... 

 

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Ukraine / Donbass :

Kiev prépare une offensive de la dernière chance

Quelque 730.000 Ukrainiens ont fuit la politique « proeuropéenne » de Kiev qui consiste à assassiner purement et simplement une partie de ses concitoyens des régions de Lugansk et de Donetsk. Ce chiffre est alarmant, il provient de l’agence des Nations Unies pour les réfugiés. Pour autant, l’Occident continue de soutenir un régime dont les fondements génocidaires ne sont plus à démontrer. D’ailleurs, cette idéologie insane s’affiche sans pudeur partout dans les grandes villes, et en premier lieu dans les médias kieviens aux ordres ; et cette vidéo où un journaliste bien propre sur lui n’hésite pas à affirmer qu’il est nécessaire d’exterminer pas moins d’1,5 millions de ses compatriotes pour que l’avenir de son pays devienne radieux, n’est qu’un triste exemple parmi tant d’autres d’une société qui part à la dérive et glisse doucement mais sûrement vers l’innommable, avec le soutien des européistes et de l’hyperpuissance US. Aussi, Kiev qui semble brûler une à une ses cartouches sur le terrain stratégique et tactique du Donbass, prépare désormais une attaque frontale sur Donetsk. Un assaut qui sera particulièrement meurtrier et destructeur, et dont la junte au pouvoir n’est même pas sûre de sortir vainqueur.

Porochenko est déçu : il n’aura pas de nouveaux jouets américains pour aller massacrer ses compatriotes dans le Donbass. Washington vient de lui refuser l’envoi d’armements américains « lourds » qu’il demandait d’urgence pour poursuivre sa guerre dans le Donbass. Le Pentagone a refusé d’allouer les F-16 commandés, les bombes à guidage laser et autres armes antichars de dernière génération. Officiellement, Washington prétend ne pas vouloir s’engager dans une escalade militaire en Ukraine ; dans les faits, ces armements coûtent très chers, ils nécessitent souvent de former ceux qui les utiliseront et Kiev est incapable d’avancer le moindre dollar pour payer tout cela.

Un journaliste ukrainien « proeuropéen » propose d’exterminer 1,5 millions de personnes dans le Donbass. Et RSF ne dit rien…Après on nous affirmera benoîtement que le régime en place depuis l’hiver dernier n’est pas idéologiquement génocidaire.                                  

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Après la reddition de la 72e brigade, les forces de Nouvelle Russie sont en négociation avec les éléments des 24e, 51e et 79e brigades qui restent dans le chaudron afin, qu’à leur tour, ils se rendent. Cela risque de prendre encore deux ou trois jours, d’autant que des « contractors » polonais se trouveraient dans les rangs des militaires encerclés, de même que des gardes nationaux très politiquement marqués. D’autres militaires encerclés refusent de déposer les armes car ils craignent pour leurs familles qui sont menacées par le régime de Kiev. Certains soldats ukrainiens qui, fin juillet, avaient rejoint le territoire de la Fédération de Russie, se retrouvent poursuivis en Ukraine pour désertion. Leurs proches risquent aussi la prison pour « complicité ».
Déjà, les forces de la milice qui encerclaient jusqu’alors les restes de la 72e brigade ont été redéployées sur Shakhtarsk et Snizhne.
Concernant l’équipement capturé, il s’agit pour l’essentiel d’une soixantaine de véhicules divers, dont des blindés, mais aussi quelques pièces d’artillerie et des ZU-23/2. Il y aurait une douzaine d’engins à réparer, mais cela nécessite de trouver des pièces de rechange et de les immobiliser dans des ateliers de réparation.

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Au sud de Lugansk, sur la zone aéroportuaire encerclée, des soldats ukrainiens des forces spéciales (3e régiment spetsnaz) ont été faits prisonniers par la milice ces derniers jours. Interrogés, ils témoignent des circonstances de la guerre, de la situation politique et militaire de leur pays et vont même jusqu’à lancer un cri du cœur, celui de ceux qui sont utilisés comme chair à canon. Ces soldats professionnels ont le moral à zéro après avoir passé plus de deux mois encerclés, sans presqu’aucun ravitaillement. Ils affirment aujourd’hui qu’ils savent que cette guerre ne résoudra pas les problèmes du pays, bien au contraire. « Nous sommes de chair à canon pour ceux, pour lesquels nous nous battons », affirme l’un d’eux. Et de poursuivre : «Le pouvoir a changé, mais ce n’est pas pour les gens, un gang part et le pouvoir revient à un autre gang. » Et ces hommes de promettre un nouveau Maidan à Kiev, cette fois sous la direction de l’armée…

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Durant tout le mois de juillet, le SBU a fait prisonnier (en coordination avec les forces engagées sur place) quelque 300 miliciens indépendantistes ou prétendus tels. Seulement 11 d’entre eux étaient des Russes. Voilà qui met un bémol à la légende des forces de Nouvelle Russie essentiellement composées de « mercenaires russes ».

L’offensive qui se prépare

A bout de souffle, Kiev s’entête à vouloir absolument prendre Donetsk. Aussi, le commandement ukrainien, en dépit de la crise politique qui secoue la junte, a décidé de lancer ses maigres réserves dans l’assaut de la capitale du Donbass pour très bientôt. L’attaque devrait se dérouler conjointement au nord (entre Gorlivka et Devalsteve) et à l’ouest de Donetsk.

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Les Grad de Nouvelle Russie

Le conflit est entré dans une phase décisive, les forces en présence se livrant à des combats acharnés autour de plusieurs points stratégiques qui sont les verrous de quatre secteurs bien distincts :

. A l’ouest de Donetsk, les forces ukrainiennes comptaient encore il y a quelques jours sur les « bataillons » Dnepr, Azov et Shakhtarsk, appuyés par des unités de l’armée pour prendre le contrôle des faubourgs ouest et sud-ouest de l’agglomération de plus d’1 million d’habitants, afin d’être en mesure de créer une tête de pont pour pénétrer en direction du centre-ville. Sur le secteur aéroportuaire, la situation est toujours confuse, des spetsnaz ukrainiens accompagnés de « contractors » occidentaux tiennent une partie de la zone, le reste étant sous le contrôle de la milice.

Hier, Oleg Lyachko, le député du parti radical qui aime tant interroger les opposants en les torturant, a fait son petit fanfaron sur Facebook et Twitter : selon lui le « bataillon Azov » était en train de « nettoyer » Donetsk… Rien que çà ! Ils ont été pris dans une embuscade près de Marinka à l’ouest de Donetsk (ils ne sont donc plus dans le secteur sud de Donetsk…) ; ce qui a mis hors de lui Boris Filatov, l’assistant de Kolomoisky. Bilan de l’affrontement : 1 mort, 14 blessés, dont 3 grièvement et un avec le pied arraché ! Ils sont actuellement hospitalisés à Dniepropetrovsk, à Mariupol et à Volnovakha.

Autre perte (momentanée) : le « Führer » de Praviy Sektor, recherché par Interpol, Dmytro Yaroch, a été blessé le 30 juillet lors d’un affrontement entre le « bataillon Dnepr » auquel il est rattaché et un détachement de sabotage et de reconnaissance du Bataillon Vostok, à plus de 20 km l’ouest de Donetsk dans le village de Zaporizhzhya. Au cours de ce combat, le « bataillon Dnepr » a subi d’importantes pertes, à tel point qu’il n’est plus opérationnel. Ce soir, toute la zone de Marinka (plus de 15 km à l’ouest de Donetsk) reste sous le contrôle de la milice, malgré de très sévères accrochages (...).

Destructions à Shahktarsk suite aux pilonnages d’artillerie de Kiev : les cratères sont énormes !

Source / Lire la suite : http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/ukra...

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Reddition... 

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NationsPresse.info, le 4 août 2014…

 

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Ukraine : épuisement et usure dans le Donbass...

Crise ouverte à Kiev !

 

Alors que les troupes engagées dans le Donbass s’épuisent progressivement, au moment où plus de 400 soldats ukrainiennes épuisés et démoralisés se rendent aux forces russes, le pouvoir à Kiev est en pleine crise. Dans l’après-midi, on a appris l’éviction (sous la forme d’une démission) du secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense, Andriy Parubiy, un néonazi notoire qui avait pourtant la confiance des « conseillers » américains présents sur place et de l’antenne de la CIA à Kiev.

Un homme qui en sait long sur l’affaire des faux snipers Berkut du Maidan à l’hiver dernier et dernièrement sur les circonstances du crash du Boeing de la Malaysia Airlines qui a coûté la vie à presque 300 personnes. C’est lui qui avait fait confisquer les enregistrements des vols du contrôle aérien ukrainien, et c’est aussi lui qui avait fait diffuser sur Internet, quelques heures après le crash, les enregistrements bidons de responsables indépendantistes revendiquant le tir de missile meurtrier. Parubiy évincé, la guerre ne s’arrête pas pour autant, même si la situation n’est pas au beau fixe pour le régime en place.

 

Kiev n’est pas en mesure de mener avec succès l’opération de répression lancée il y a bientôt cinq mois dans l’est du pays contre sa propre population, car le commandement opérationnel n’est pas en mesure de contrôler totalement toutes les formations engagées. A l’intérieur de l’armée ukrainienne, les principes de commandement et de coordination ont été violés à maintes reprises, quant aux paramilitaires de la garde nationale, ils obéissent soit à leurs protecteurs (Kolomoisky, Lyachko…), soit directement au ministère de l’Intérieur d’Arsen Avakov, soit encore à Andriy Parubiy. Et selon leurs engagements politiques, des rivalités entre ces irréguliers ne sont pas à exclure. Sur le terrain, la plupart des commandants d’unités perçoivent les ordres reçus comme des « recommandations » et ne tiennent pas compte de la coordination opérationnelle, pas plus qu’ils ne respectent la chaine de commandement, ni les consignes d’engagement. « L’armée refuse de mener des frappes d’artillerie sur les villes » et « ne démontre pas une activité suffisante dans le nettoyage et les purges » des localités « reconquises », lit-on dans un rapport interne du Conseil national de sécurité et de défense.

 

Le régime est dans une impasse : au lieu de rassembler ses forces et de les préparer à une offensive décisive, bien coordonnée et disposant suffisamment de réserves, Kiev est continuellement obligé de jeter dans la bataille des unités nouvellement créées, de chercher à boucher les trous et de perdre du temps et des moyens dans des offensives insensées. Cette fuite en avant ne peut être arrêtée dans les conditions actuelles, puisque les forces de Nouvelle Russie en profiteraient immédiatement pour mener à bien une contre offensive et mettre à mal les restes des unités ukrainiennes engagées, ce qui aurait des conséquences désastreuses pour la survie du régime. Mais en envoyant en première ligne un nombre croissant de troupes de plus en plus inférieures en nombre et en qualité, Kiev ne fait que prolonger une lente agonie de ce que fut autrefois l’Ukraine, car la junte n’a plus la capacité de mener la moindre offensive décisive.

 

La milice du Donbass, par manque cruel de moyens et d’effectifs, est confrontée à une situation militaire où elle ne peut pas contrôler entièrement un territoire encore relativement vaste et est obligée à la fois d’organiser des systèmes locaux défensifs focalisés sur des positions clés (villes, villages, hauteurs…), tout en étant constamment obligée de faire manœuvrer, avec de très faibles réserves, des unités tactiques d’intervention très mobiles pour repousser les attaques là où elles se présentent. C’est ainsi que l’on a pu voir, dans de petites vidéos, des allers et retours de groupes motorisés composés de quelques blindés d’infanterie, de quelques chars et de quelques pièces d’artillerie se déplacer çà et là dans la poche du Donbass ces dernières semaines, au fur et à mesure des tentatives de percée des forces de Kiev. Cette tactique, certes épuisante pour ces groupes de combat mobiles, est assez efficace : elle permet à la fois de frapper en jouant sur l’effet de surprise (ce qui explique en partie les revers de situation en faveur de la milice) et d’éviter les puissants tirs d’artillerie de l’adversaire et ses raids aériens.

 

 

 

Patrouille de paras de la 95e aéromobile près de Stakhanov,

dans la verte campagne du Donbass. Tout se passe bien, tout roule, quand tout à coup…

 

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Reddition dans le chaudron

 

438 soldats ukrainiens, dont 164 gardes frontières, ont demandé asile à la Fédération de Russie qui leur a ouvert un corridor humanitaire. Kiev a confirmé que ce sont les derniers débris de la 72e brigade d’infanterie motorisée qui se sont rendus. Compte tenu des pertes importantes de l’aviation militaire de transport de l’Ukraine, la livraison par parachutages de conteneurs de ravitaillement divers a été pratiquement réduite à zéro, et les rares avions qui ont pu réussir à percer les défenses antiaériennes de la milice ont été contraints de larguer leurs cargaisons d’une hauteur telle qu’une grande partie est tombée sur le territoire contrôlé par les forces de Nouvelle Russie. Cependant, même si 100% du ravitaillement avait pu être livré, il n’aurait toujours pas été suffisant pour les 4 ou 5 brigades qui étaient encerclées dans le chaudron, soumises à des tirs d’artillerie constants des forces du Donbass et à des assauts réguliers. Seule une offensive d’envergure sur la partie sud-est du chaudron, vers Saur-Mogila, mobilisant les moyens employés fin juillet sur Torez – Shahtarsk au sud de la poche du Donbass et sur Devaltseve au nord, auraient peut-être été en mesure de libérer ainsi les troupes prises au piège. Cette opération n’a pas eu lieu parce que les « conseillers » américains des forces de Kiev n’en voulaient pas, préférant se concentrer sur un savant plan d’encerclement de Donetsk par l’est qui finalement a été un échec cuisant.
La lenteur de la reddition tient au fait que des mercenaires polonais seraient présents parmi ces soldats encerclés, et Kiev, Washington, et encore plus Varsovie, craignent que cela entraîne un possible scandale international.

 

Exit Parubiy !

 

Alors que la junte « proeuropéenne » a été incapable de soutenir ses troupes encerclées et de leur fournir les moyens nécessaires pour sortir du piège dans lequel elle les avait envoyées, les services de répression du régime (SBU, Conseil national de défense et de sécurité…) font pression sur ces soldats en menaçant leurs familles. Une campagne de presse a même été lancée par le néonazi pro-américain (N.de K. :"néonazi pro-américain" !?!?!???! Ne devions-nous pas plutôt parler de de de "pseudo-faux-nationalistes aux ordres de la CIA" ? Voire, carrément "d'agents infiltrés" !?!) Andriy Parubiy (avant sa « démission »), afin de dénigrer ces soldats qui se rendent et pour dénoncer les manifestations d’opposition à la conscription forcée qui exclut de fait d’envoyer dans le Donbass les responsables de la junte et leurs proches. Mais la situation est à ce point alarmante à Kiev que même Parubiy, qui avait largement la confiance des « conseillers » américains et autres fonctionnaires d’une certaine « agence » de Langley, a été démissionné. Dans l’après midi, on apprenait en effet qu’il avait présenté sa démission « en raison de son désaccord avec la politique du Président Peter Porochenko », Un autre serviteur docile de la même « agence », Valentyn Nalyvaychenko, le patron de la police politique l’a aussitôt remplacé par son adjoint Yuriy Stets.

 

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Les régions de l’Ukraine touchées par les manifestations contre la conscription forcée

 

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Ce qui n’empêche pas l’Etat répressif de Kiev d’agir contre sa propre population, même celle qui lui est idéologiquement acquise : les peines de prison pleuvent contre ceux qui refusent d’être enrôlés de force pour aller se faire tuer pour le compte des oligarques et des européistes. A Ivano-Frankivsk, un homme vient prendre 5 mois de prison pour avoir refusé de participer aux massacres dans l’est du pays. D’autres condamnations vont suivre. Les prisons ont été vidées dernièrement des racailles qui garnissent désormais les rangs des unités paramilitaires (« Azov », « Donbass », « Kiiv », « Aydar », « Shaktarsk », « Dnepr »…), il y a donc de la place pour tous ceux qui refusent la politique « pro-européenne ». Et si cela ne suffit pas, on finira par envoyer les nervis de Praviy Sektor et d’ « Azov » tirer dans le tas, y compris en Galicie et dans le centre du pays (…)…

 

Une unité de Praviy Sektor éliminée à l’ouest de Donetsk

 

La bataille fait rage à l’ouest de Donetsk, bien au-delà de l’aéroport où une unité de mercenaires albanais est bloquée dans une dépendance. Krasnohorivka, à l’ouest de Donetsk est passé sous le contrôle des troupes ukrainiennes, mais la nuit dernière, une contre attaque de la milice a fait fuir les forces de Kiev.
Près du village de Zaporizhzhya, juste au nord d’Andriivka à environ 15 km à l’ouest de Donetsk, une compagnie de la garde nationale (« bataillon Dnepr ») aurait subi des pertes importantes. Elle a été attaquée de nuit par un commando de sabotage des forces du Donbass. Cette unité qui relève directement de Dmytro Yaroch, le « Führer » de Praviy Sektor et qui est financée par l’oligarque véreux Ihor Kolomoisky, n’est donc plus opérationnelle, d’autant que, selon nos sources, tous ceux qui ont été identifiés comme étant des « officiers » ont été promptement éliminés sans autre forme de procès. Si la milice respecte globalement les conventions internationales en matière de prisonniers de guerre, quand il s’agit de soldats des forces armées régulières, en revanche il en est tout autrement pour les paramilitaires (…)…

 

Le régime kievien est dans une situation si inconfortable qu’il en vient à commanditer des assassinats d’opposants politiques. Alexandre Prosselkov vient d’être assassiné de quatre balles tirées à bout portant près du bourg de Krasnodon, alors qu’il accompagnait un convoi civil d’aide humanitaire. La voiture avec le tireur a pris fuite. Le tueur a agi de manière précise et professionnelle, avec une couverture et une diversion. Prosselkov était un des resposnables du mouvement eurasiste opposé à la clique au pouvoir en Ukraine et à l’atlanto-mondialisation du continent européen.
 
Source / lire l'article en entier > http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/ukra...  

06/08/2014

Le gaz de schiste de Slaviansk et Kramatorsk...

Les USA veulent-ils mettre la main

sur le gaz de schiste à Slaviansk et Kramatorsk ?

  

Par La Voix de la Russie | La presse ukrainienne et les experts basés à Kiev accusent Moscou de soutenir des soi-disant séparatistes au Sud-est du pays, en motivant ce soutien par la présence des réserves de gaz de schiste que la Russie aurait l’intention de « mettre en valeur ». En même temps, la société Burisma Holdings, dont le fils du vice-président américain Joe Biden ainsi que plusieurs autres citoyens américains sont entrés au Conseil d’administration, a reçu l’autorisation de développer les gisements, qui se trouvent dans les environs de Slaviansk et Kramatorsk.

 

La propagande américaine et les personnalités politiques ukrainiennes mises sous sa tutelle ont opté pour une tactique bonne, mais plutôt banale, argumentant que l’attaque constitue la meilleure défense. Moscou apparaît ainsi non seulement comme un agresseur aux manières impériales, mais aussi comme un agresseur âpre au gain. Selon les Américains, pour Moscou, il ne s’agit pas d’un pays, mais d’un territoire duquel peuvent être extraites des matières premières. Dans les meilleures traditions de l’époque soviétique, les tabloïds de Kiev réalisent la commande américaine en publiant sur leurs pages des récits de l’intervention directe russe dans les affaires d'un pays indépendant. Et cette intervention n’a même pas pour but de sauver les habitants russophones, mais d’avoir uniquement le contrôle des réserves naturelles. Ce qui est d’autant plus curieux, c’est que les experts les plus radicaux ont pris la liberté de dire que le gaz de schiste en Ukraine va changer la carte énergétique du monde entier et permettra non seulement à ce pays, mais aussi à toute l'Europe, de réduire la dépendance des livraisons du gaz naturel venant de Russie. Les experts pro-américains ont tendance à oublier que la Russie possède d’énormes réserves d’hydrocarbures bon marché rien qu’en Sibérie et en Extrême-Orient. Quel pourrait-être son intérêt dans ce projet illusoire d’extraction de gaz de schiste ? Toutefois, si l’on prend en compte le projet de Washington visant à forcer le Vieux Monde à renoncer au partenariat énergétique avec la Russie, toutes les choses se mettent à leur place. C’est une équation avec que des connues, et tous les arguments sont bons pour y parvenir.

 

La proposition des Américains d’inonder l’Europe avec leurs ressources gazières s’est avérée encore plus illusoire et a lamentablement échoué. Ayant réfléchi rationnellement, les Européens n’y ont tout simplement pas cru. Maintenant, un nouveau projet dont le nom de code est « La grande révolution de schiste » a lieu en Ukraine. Selon certaines informations, les régions de Slaviansk et de Kramatorsk seraient vraiment riches en gaz de schiste, et c’est dans ces régions que se produisent les combats les plus violents dans le cadre de l’opération punitive des forces ukrainiennes. Est-ce une coïncidence ? Peu probable. N’est-ce pas pour cette raison que le conseil de direction de Burisma est composé presque uniquement de citoyens américains ? Ils envisagent sérieusement de mettre la main sur ces réserves d’hydrocarbures, et n’est-ce pas la raison pour laquelle ils blâment Moscou ?

 

Le président du conseil d'administration de cette société est l'Américain Alan Apter, et un autre membre de l'équipe de direction est un ami de la famille du secrétaire d'Etat américain John Kerry, Devon Archer. Biden Junior s’est donc retrouvé en bonne compagnie avec ses concitoyens et des partisans qui partagent ses idées. Il faut rappeler que sous le couvert de la lutte pour la sainteté de la démocratie, les Américains faisaient de bonnes affaires après les interventions militaires en ex-Yougoslavie et en Irak.

 

L’Ukraine n’a pas eu besoin d’une telle intervention, car Kiev réalise tous les ordres des Américains à la lettre. Les discours sur l’agression russe vont coïncider avec des nominations dans d’autres sociétés énergétiques ukrainiennes. L’appareil administratif de Washington est très important... et chacun de ses membres a de la famille.

N.

 

Source : http://french.ruvr.ru/2014_05_20/L-operation-a-Slaviansk-...

 

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Nous sommes le Donbass

Nous somme le Donbass

 

Un article originellement paru sur : http://democratie-directe.blogspot.fr/

Le 01er août 2014.

(N. de Kurgan pour F.E : ... pour une approche très "républicaine" de la crise ukrainienne qui, au final, croise et rejoint néanmoins la nôtre sur de très nombreux points !)

 

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En cette heure sombre de l'Histoire, alors que l'impérialisme avance ses forces, tous les territoires semblent occupés et mis sous coupe réglée par les agents de l'Atlantisme.

Tous ? Non ! Quelques peuples résistent encore et toujours à l'envahisseur.

Les sénateurs de Washington DC accompagnés des chacals de la CIA et autres commanditaires de multinationales ont fort à faire aujourd'hui avec la résistance slave dans le Donbass. En organisant un coup d’État néo-fasciste à Kiev (N. de K : désolé, mais ce coup d'état n'a rien de "néo-fasciste", même si des mouvements nationalistes ou "fascistes" manipulés y ont - malheureusement - pris part ! Le gouvernement de Kiev n'est pas un gouvernement fasciste, mais un gouvernement d'oligarques ultra-libéraux à la botte de l'U.E, des USA et des banksters qui gouvernent ces 2 "entités" !), ils ont provoqué un soulèvement populaire armé dans l'Est du pays. Mais contrairement à leurs habitudes subversives, il ne s'agit plus de prendre pour cible un pays isolé, ou désinformé par une patiente propagande sur les bienfaits hypothétiques du "monde libre". L'audace ici ne connaît plus de limites ; il s'agit de déstabiliser dans la cour d'une super-puissance - la Russie - ; il s'agit de substituer subitement aux valeurs de fraternité et de solidarité du monde slave, une culture anglo-saxonne basée sur la haine du faible et le pillage des ressources communes. Erreur fatale.

Cette témérité n'a pas seulement scandalisé le peuple ukrainien sur lequel s'acharne désormais une féroce répression policière et militaire, réveillé l'ours russe qu'il s'agirait d'urgence de garrotter par un nœud de sanctions diplomatiques et commerciales, elle provoque aussi partout l'indignation ! Il est indigne pour une puissance qui se prétendait - avec quelque insolence - "gendarme du Monde" de fouler tant de principes fondamentaux et de valeurs humanistes qui ont fait sa force et établit un consensus provisoire.

Principes fondamentaux du consensus international.

Parmi ces principes inscrits soit dans la déclaration d'indépendance des États-Unis d'Amérique, dans la charte des Nations-Unies, ou dans le précieux Accord d'Helsinki sur la paix et la coopération en Europe nous soulignons :

   - La résistance à l'oppression ;

   - Le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ;

   - La coopération loyale et l'amitié entre les peuples ;

   - Le non-usage de la menace ou de la force ;

   - La punition des crimes de guerre et des crimes contre l'Humanité.

Le principe de résistance à l'oppression est connu depuis l'Antiquité. Platon et Aristote y font référence dans leurs ouvrages. Les révolutionnaires américains et français l'ont inscrit dans leurs textes fondateurs. Lorsqu'un gouvernement légitime est renversé, qu'il y a abus de souveraineté, le pacte social est rompu. Le peuple n'est plus tenu d'obéir mais de résister à l'usurpation et à la tyrannie. Le peuple du Donbass est légitimé ici dans sa volonté de désobéissance civile et de former de nouvelles institutions préservant ses droits et intérêts. Il ne s'agit pas là de rébellion ni de terrorisme comme le prétendent les autorités de Kiev. Si elles tiennent à retrouver une quelconque autorité sur ces territoires, elle ne peut le faire que par la négociation et l'accord des populations concernées. En outre celles-ci sont autorisées à requérir aide et assistance de la Russie comme les colonies américaines l'ont fait avec la France. De même et dès lors la Russie est pleinement autorisée à répondre à cette requête et intervenir dans ce litige sans encourir aucune menace ni sanction légitime de la communauté internationale ni de l'O.N.U.

Le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes "ou droit à l’autodétermination, est le principe issu du droit international selon lequel chaque peuple dispose d'un choix libre et souverain de déterminer la forme de son régime politique, indépendamment de toute influence étrangère." Ce principe est introduit dans le droit international par les signataires de la Charte des Nations-Unies en 1945. Ce droit s'oppose à l'idée contraire "d'une « mission sacrée de colonisation »" qui a fait l'incohérence logique et l'échec pratique de la "Société des Nations". Il s'applique autant à l'Ukraine en général par le refus d'une mise sous tutelle par l'Union européenne, qu'aux Républiques du Donbass qui disposent dès leur proclamation d'un droit légitime à l'auto-détermination. Or, il s'agit d'un principe fondateur de la liberté politique que l'on ne trouve nulle part ni dans les traités européens, ni dans les déclarations diplomatiques, ni dans les pratiques de ces institutions. Ces manquements graves contreviennent aux principes du droit international, à l'esprit et la lettre de la charte de 1945. Ils sont lourds de différents portant atteinte à la paix et la coexistence pacifiques des peuples. En Ukraine le mépris de ce principe est une cause de guerre.

La déformation ou le mépris du droit international par l'Union européenne et les États-Unis prend des formes diverses. Helsinki par exemple insiste sur le principe d'égalité souveraine des nations comme condition préalable permettant coopération loyale et l'amitié entre les peuples. Or ni ce moyen, ni ces buts ne sont à l'ordre du jour de ces puissances. Au contraire leur prose et leurs actes sont offensants et inquiétants. Aujourd'hui 31 juillet 2014 à l'encontre de la Russie, considérée comme "puissance moyenne" - par on ne sait qui -, des sanctions financières et économiques sont mises en œuvre par l'Union européenne : c'est à dire "personne" puisque rappelons-le cette organisation n'a aucune existence juridique au regard du droit international. Et pour cause ! Il s'agit d'une fiction juridique agitée comme un épouvantail par les États-Unis. Cette marionnette est bien utile pour ceux qui la manipule puisque aucune responsabilité, ni aucun droit de recours n'est possible devant le Conseil de Sécurité contre une entité sans existence légale. Ce qui est nouveau c'est que les sanctions étaient réservées jusque-là aux décisions du Conseil de sécurité seul habilité à prendre de telles mesures.

On objectera que des sanctions auraient été impossibles à prendre dans la mesure ou la Russie membre permanent du Conseil s'y fut opposée. Argument spécieux puisqu'il aurait fallu d'abord motiver la décision en droit, mais sur quelle base ? Sur la base du soutien de la Fédération de Russie au Donbass exercé conformément au droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ? Sur la base de l'ingérence dans les affaires intérieures de l'Ukraine alors qu'il est manifeste que cette ingérence a d'abord été celle des U.S.A. et des pays de U.E dans la déstabilisation du gouvernement de Kiev lors des événements survenus pendant les Jeux Olympiques d'Hiver de Sotchi ? On voit bien que toute l'affaire est bancale et ne repose que sur du vent. Tout comme le recours à la force armée, les sanctions contre un État ou ses intérêts relèvent du Conseil de sécurité selon le Chapitre VII de la Charte relatif à "l’action en cas de menace contre la paix, de rupture de la paix et d’acte d’agression". L’application de ces mesures coercitives n'ont d'intérêt qu'en vue de contribuer au maintien de la paix et de la sécurité internationales. Hors de ce cadre strict on voit que ces dispositions ne peuvent avoir qu'un effet pervers, provocateur et contraire.

D'autant plus que sur le terrain la situation s'aggrave chaque jour d'avantage. La prétention de Kiev - qui ne dispose plus de gouvernement depuis quelques jours - de mener une simple opération de police "antiterroriste" ne trompe pas. Les moyens déployés sont ceux de l'armée, on mobilise des dizaine de milliers de jeunes gens et l'usage intensif de missiles non guidés contre des concentrations urbaines est avérée. Dans cette guerre totale qui ne veut pas dire son nom, ce bombardements massifs des villes, cette destruction de l’infrastructure économique, ces déplacements massifs de civils avec arrestation et l'exécution arbitraire de citoyens ou étrangers offre largement motif à une décision de l'O.N.U. pour faire cesser le feu et les hostilités, d'ouvrir une enquête sur les crimes contre l'humanité. Qui donc s'y oppose ? Si ce n'est la Russie qui manifeste depuis le début sa volonté d'un règlement pacifique du différent ?

Les ennemis du Donbass sont aussi les ennemis de la France.

Nous mettons ici en évidence que les fins et les moyens usés pour réduire la résistance du Donbass ont déjà été utilisé contre le peuple français. Ne nous trompons pas. L’agression du Donbass c'est aussi l’agression de la nation française. La France s'est signalée depuis longtemps dans un rôle naturel d'arbitrage des litiges en Europe. Il s'agit d'un héritage de Louis IX dont les avis et la justice selon le droit & équité étaient recherchés pour rétablir la concorde et la paix.

Frappée par l'impérialisme germanique de nombreuses fois, elle su y résister de toutes ses forces, par l'assistance de ses alliés et de la Providence s'est toujours rétablie telle qu'au premier jour. Dans toutes les conférences la voix de la France fut respectée. Elle imposa le principe de liberté nationale, de tolérance religieuse, le triomphe de la raison et du respect d'autrui sur l'esprit d'intrigue, de pillage, de haine et de fanatisme.

La France qui jadis par son alliance avec l'Espagne, sa flotte et ses troupes a su préserver la fragile volonté d’indépendance des petites colonies américaines, se trouve bien mal récompensée par la jeune et fière nation. Depuis le traité de l'Atlantique Nord sans cesse sa souveraineté et ses droits sont menacés. Oui menacés - sous le prétexte fallacieux de défense du "monde libre" - par l'hubris d'une caste privilégiée de sénateurs et de magnats qui se rêvent à Washington maîtres de la terre et des cieux. Des hommes qui se sont imaginés une mission divine de domination universelle, un système d'accaparement général des ressources par la corruption, la trahison et la guerre. C'est ce que nous désignons comme l'impérialisme U.S. ou la stratégie atlantiste.

Il a été imaginé un vaste dispositif d'institutions régionales qui sous l'aspect formel de traités internationaux permet l'ingérence dans les affaires nationales. Ces traités, tels celui de Rome de 1957 ou le TCE de 2005 rejeté par référendum en France mais repris en 2007 sous une autre forme, n'ont strictement aucune valeur sur le plan du droit. Ils sont cependant accompagnés d'une telle propagande qu'ils passent pour légaux dans l'esprit d'une vaste partie de la population. Ce que l'on appelle "l'Union européenne" est en réalité un monstre juridique au regard du droit international, de la charte des Nations-unies et une calamité politique, économique et sociale. Il existe une telle opposition juridique entre l'O.N.U. et l'Union européenne que cette organisation peut-être désormais qualifiée d'ennemie des Nations.

Ce nouveau "droit d'ingérence" est celui de la subversion et du désordre, celui de l'impérialisme made in U.S.A. On nous dit qu'il s'agit d'un mal pour un bien, d'un mensonge pour un petit bonheur. Puisque la souveraineté des nations européennes a été à l'origine des conflits du 20eme siècle, en déposséder les nations les moins vigilantes permettrait de réduire les casi belli, les cas de guerre. C'est mal connaître l'Histoire ou n'en avoir rien retenu de ses leçons. C'est croire qu'un Empire puisse asservir une petite nation sans aucune conséquence, ni idéologique, ni pratique. C'est dire qu'il existe une inégalité naturelle entre les nations et entre les peuples et que le fort puisse détruire le faible sans troubler le cœur des justes. C'est tromper le monde et déranger les astres que d'établir une telle injustice comme système de gouvernement. La vérité - qui triomphe toujours on le sait - c'est que les puissances impériales sont nuisibles et que leurs fantaisies sont ruines, crimes et souffrances. C'est à ces traces sanglantes que l'on reconnaît la cruauté de l'oppression et la nécessité d'y résister pour rétablir paix et prospérité pour tous les peuples sans considération ethnique, culturelle ou discrimination de l'organisation politique et économique nationale. C'est ce que nous appelons la Liberté.

C'est de cette liberté dont nous sommes privés. L'ingérence d'un "droit européen" soit-disant supérieur est une aberration condamnée dans tous les textes de référence selon lesquels aucun traité ne doit imposer d'ingérence intérieure sous peine de nullité. Elle prive chaque peuple du droit démocratique de déterminer ses propres lois, de choisir sa propre politique économique et sociale. Ceci par l'injonction impérieuse d'appliquer des "directives" émanantes de commissions obscures, de tractations entre corrupteurs et corrompus en petits comités, de collusions d'intérêts.

Qui donc en France, en Grande-Bretagne, en Espagne ou ailleurs peut cautionner encore une telle bassesse, une telle ignominie ? Qui donc juge acceptable de soustraire aux nations le droit de s'administrer elles-mêmes, de faire leurs propres lois, de battre monnaie selon leurs besoins, de régler - dans le cadre du droit international - leurs affaires diplomatiques en toute indépendance ?

La France comme nation historique est la première à souffrir de cet état de tyrannie. Les organisateurs de ce nouveau système politique, financier et commercial de type impérial ont longtemps tenu à « mettre au pas" cette nation souveraine, menaçant trop d'intérêts et déjouant trop de plans douteux par des décisions exemplaires. Rappelons-le elle fut première à coopérer avec l'Union soviétique, à reconnaître la Chine de Mao en 1964, elle va même en 2008 s'imposer comme négociatrice du conflit entre la Russie et la Georgie, faisant taire les armes, épargnant les vies, provoquant la désescalade subite d'une crise inquiétante. On ne le dit pas assez mais un régime strict de sanctions lui est appliquée par les U.S.A. depuis son opposition à l’infâme agression de l'Irak en 2003. Pour les autorités U.S. il s'agit de "punir la France". De là ces difficultés à trouver des partenaires commerciaux, à conclure des contrats d'exportations avec la plupart des pays sous leur influence.

Mais cette stratégie sournoise d'étouffement, de subversion intérieure n'a que trop duré. Nous sommes désormais arrivés à un point critique. Par l'accession au pouvoir du président F. Hollande, membre Young Leader du réseau de la French American Fondation, proche de l'oligarchie U.S, des Rockfeller et de la CIA : il est douteux que la France tienne toujours ce rôle d'arbitrage diplomatique et de résolution pacifique des conflits qui est naturellement le sien. On voit bien que même sur le plan intérieur à aucun problème n'est apporté de solution et que seule une politique d'exacerbation communautariste et de déstabilisation politique est privilégiée par le couple exécutif Hollande-Valls.

Aux mêmes effets les mêmes causes. Lorsqu'on veut faire main basse sur les richesses industrielles, minières et agricoles de l'Ukraine : on prétend vouloir son entrée dans l'Union européenne. Lorsqu'on veut poursuivre à ruiner la France, laisser l'évasion fiscale ou le déficit commercial, conclure des traités de dupes avec les U.S.A., ralentir son économie, augmenter le chômage, provoquer la rupture du contrat social... on prétend que l'Europe est la seule solution d'avenir. Ici et là-bas la même stratégie du chaos, de la terre brûlée, de la terreur pour imposer l'agenda néo-conservateur du profit sans partage.

Attaquer le Donbass ce n'est pas seulement piétiner la France mais c'est déclarer la guerre à tous les peuples.

Non seulement la nécessité s'impose établir un système viable qui puisse se substituer à un libéralisme occidental totalement discrédité. Mais en même temps que le discrédit se dévoile un nouveau visage des U.S.A. : c'est celui de Méduse, celui de la terreur et de la folie.

Nous demandons au peuple russe patience et retenue dans ce cas de légitime défense car désormais il s'agit d'une lutte à mort que nous devons prendre à notre compte, si aucun de nos gouvernements n'est capable d'intervenir pour trouver une solution diplomatique conforme au droit ce sera la guerre en Europe. Non cette guerre prévue de longue date contre un ennemi imaginaire et fabriqué par la propagande atlantiste, mais la guerre de chaque peuple contre son gouvernement fantoche, contre les imposteurs qui entendent les asservir pour des causes inutiles et injustes.

Rétablir les règles saines du droit international c'est contrecarrer la culture impérialiste, détruire les moyens d'influence et dispositifs institutionnels en particulier la dénonciation d'un traité Atlantique-Nord abusif et inutile, porter un coup d’arrêt aux intérêts corporatistes et féodaux de l'impérialisme U.S., rechercher et mettre hors d'état de nuire les agents atlantistes infiltrés dans les milieux politiques, économiques, les mass-médias et la société (...).

Source : http://democratie-directe.blogspot.fr/2014/07/nous-sommes...

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Ukraine, France, USA, impérialisme

"Nous sommes désormais arrivés à un point critique. Par l'accession au pouvoir du président F. Hollande, membre Young Leader du réseau de la French American Fondation, proche de l'oligarchie U.S, des Rockfeller et de la CIA..." 

Ukraine, France, USA, impérialisme

Bataille pour le Donbass, bataille pour l’Europe

Bataille pour le Donbass, bataille pour l’Europe

  

05-août_bataille pour l'Europe.jpg© Collage : La Voix de la Russie/Burov Vladimir

 

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Les USA ont joliment buté sur le dossier ukrainien. Habitués à multiplier les copier/coller, au Moyen-Orient, par le biais des mal nommés « Printemps arabes », dans les républiques de l’ex-URSS, par le biais des « Révolutions de couleur », ils n’ont cette fois pas eu gain de cause.

La Russie n’a pas introduit ses troupes dans les zones d’épuration ethniques, les Insurgés dont on pensait pouvoir venir à bout en l’espace d’à peine quelques semaines ont déployé une tactique leur permettant de tenir pour le moins jusqu’à l’automne, période butoir au-delà de laquelle les largesses du FMI ne sont plus acquises et voici que maintenant, comble de malheur, quelques 438 militaires ukrainiens ont demandé asile en Russie rejoignant par conséquent les dizaines de milliers de réfugiés installés sur le territoire russe. C’est sans compter la très mauvaise histoire du vol MH370 dont on voulait instrumentaliser le crash pour compromettre les rebelles dits pro-russes. Or, l’attitude de Kiev qui au lieu de collaborer avec les experts envoyés sur place a fait tout ce qui était en son pouvoir pour faire obstacle à l’enquête suscite bien des questions. Si bien que l’ONU a déjà mis en doute l’implication réelle de la Russie dans les évènements de ces derniers mois. Si bien que la désinformation prégnante dont étaient objectivement forts les médias occidentaux se décrédibilise de jour en jour, que ce soit au niveau des termes dont elle use ou des interprétations arbitraires, voire aléatoires qu’elle arbore. Il n’y a guère d’Insurgés « pro-russes » mais des Insurgés tout court qui ne partagent pas les idées du gouvernement putschiste de Kiev. Il n’y a pas de soutien systématisé de la Russie de ces mêmes Insurgés, sans quoi la junte, peu nombreuse pour une armée et piètrement préparée, aurait été décimée depuis très belle lurette.

 

Ce qui se joue aujourd’hui à Donetsk et Lougansk est d’une extrême gravité puisque le Sud-Est ukrainien est cette ligne ultime qui sépare le continent eurasiatique des zones entièrement acquises à l’OTAN. Or, l’OTAN étant aux commandes des USA et l’Eurasie étant le dernier bastion de la résistance européenne, la bataille qu’on dira « pour le Donbass » est une bataille qui oppose l’Europe souveraine à un nouvel ordre mondial imposé par l’Outre-Atlantique.

 

Mr. John Laughland a plus d’une corde à son arc. Politologue, spécialiste des relations entre Occident et Europe de l’Est, directeur d’études à l’Institut de la Démocratie et de la Coopération à Paris, il nous a livré son analyse de la situation.

 

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LVdlR : Ma première question va porter traditionnellement sur les sanctions, parce qu’on ne parle que de ça, ça devient presque obsessionnel. On constate que les sanctions contre la Russie se multiplient à une vitesse pour le moins prodigieuse. Selon vous les Etats-Unis croient vraiment que celles-ci feront fléchir les positions de la Russie vis-à-vis du sud-est ukrainien ? Ou alors, n’est-ce pas au fond par sentiment d’impuissance que l’Amérique sanctionne bêtement en entrainant en plus la vieille Europe à sa suite ?

 

John Laughland : Il est très difficile de savoir ce que veulent les Etats-Unis. Car effectivement, d’un côté, les sanctions sont appliquées, les attaques sur le plan de la rhétorique deviennent de plus en plus véhémentes contre la Russie, mais, d’autre part, on constate qu’en réalité les sanctions ne représentent pas grand-chose. C'est-à-dire que les deux premières sanctions, les premières étapes de sanctions ne concernaient que des individus, ensuite on est passé à des sanctions contre les sociétés russes. Mais les dernières sanctions annoncées par l’UE ne vont durer que pendant trois mois. On a du mal à savoir exactement ce que veulent les Etats-Unis et les Européens, parce que tout le monde sait quelle est la solution à la crise ukrainienne et où celle-ci se trouve, c’est-à-dire, bien évidemment, à Kiev. Elle se trouve notamment dans une acceptation qui serait souhaitable pour Kiev d’une fédéralisation au moins, ou d’une confédération de l’Ukraine. Je pense pour ma part que les Américains veulent une chose, et que les sanctions sont une étape vers l’objectif final qui est celui de sceller une union transatlantique entre l’Europe Occidentale et les Etats-Unis. Nous verrons bien quels autres instruments les Américains vont déployer pour sceller cette union, mais l’idée c’est de creuser un fossé entre l’UE, l’Europe occidentale et la Russie. Et je crois que c’est la seule façon de rendre lisible cette politique euro-américaine qui effectivement est très difficile à décortiquer.

 

 

LVdlR : Vous avez évoqué une éventuelle solution au conflit tout à fait fratricide que l’on voit dans les sud-est de l’Ukraine, dans la région de Lougansk et de Donetsk. Vous dites que Kiev pourrait effectivement accepter la fédéralisation de ses régions alors que depuis un certain nombre de temps ces régions ne parlent même plus de fédéralisation, elles parlent d’indépendance totale. J’ai interrogé il y a peu un journaliste d’Odessa qui m’a dit que le terme de fédéralisation était toujours à la mode en Russie mais déjà dépassé dans les régions concernées. Est-ce que donc vous croyez qu’après tout ce qui s’est passé, j’entends ces meurtres en masse, ces incessants bombardements, les régions du sud-est vont vouloir quand même en rester à la solution de la fédéralisation ? Ne voudront-elles pas devenir indépendantes ? Si c’est le cas, est-ce que Kiev les laissera faire lui qui semble déjà avoir franchi la ligne de non-retour ?

 

John Laughland : Je veux bien croire que les esprits se soient durcis et que la ligne de non-retour a été franchie. Cependant, au moins pour la forme, Kiev pourrait tenter de récupérer ses régions en leur proposant une fédéralisation ou une confédéralisation. Je ne suis pas sûr d’ailleurs que les Rebelles dans ces régions soient contents d’une simple indépendance. Je pense que la solution qu’ils visent c’est sûrement un rattachement à la Russie. Parce qu’ « indépendance » ça ne veut rien dire pour des villes comme Donetsk et Lougansk, elles sont grandes mais ce qu’elles veulent, c’est un rattachement à la Russie. Alors cela semble très compliqué sur le plan diplomatique, international et autre, je ne pense pas que la Russie elle-même soit très chaude à cette idée-là, même si bien sûr elle le prend sans doute dans son planning, du moins je l’espère. Mais si Kiev essayait au moins d’apaiser la situation en proposant une solution qui bien évidement ne serait pas optimale pour les régions, mais qui serait au moins un pas vers la pacification du conflit, peut-être que cela pourrait apaiser les esprits. Ce qui est sûr c’est que la solution militaire qui est cherchée pas Kiev depuis plusieurs semaines ne va jamais réussir à faire rentrer les populations russophones de l’est de l’Ukraine et du sud-est de l’Ukraine dans le giron de Kiev.

 

 

LVdlR : On s’aperçoit que la tragédie du Boeing 777 malaisien a déjà engendré des tas d’hypothèses, pour certaines tout à fait cohérentes et pour d’autres tout à fait fantastiques. L’Occident pointe du doigt Poutine ou en tout cas les « pro-russes » comme on les appelle, Obama est même allé jusqu’à désigner le coupable quelques heures seulement après la catastrophe, alors que les corps n’avaient pas encore refroidi et que les boites noires n’avaient pas encore été récupérées. Est-ce que vous avez l’impression que les Français et les Britanniques que vous côtoyez régulièrement croient à ce que disent les médias sur l’implication inconditionnelle des Insurgés, voire de la Russie dans cette affaire ? Ou alors il y a une rupture entre l’opinion publique et l’information qui est véhiculée par les médias ?

 

John Laughland :  Je pense qu’il y a une rupture entre l’information qui est véhiculée par les médias et ce que croient les lecteurs. On le voit de manière absolument flagrante, par exemple sur le site du journal britannique « The Guardian », et même d’ailleurs sur les sites des journaux français. On voit des reportages qui vont complètement dans le sens de la politique occidentale, qui culpabilisent par exemple dans cette affaire les Rebelles qui auraient abattu l’avion. Mais quand vous descendez et lisez les commentaires, vous voyez que personne ou presque personne ne prend cela au sérieux. D’ailleurs, même les gouvernements eux-mêmes n’ont pas du tout une ligne claire sur cette question. Il est vrai qu’on a montré du doigt directement les Rebelles et derrière eux la Russie, et derrière eux, à la tête de la Russie, le président Poutine lui-même. Mais la CIA voici une semaine a dit très clairement qu’elle ne disposait pas de preuves qui pouvaient prouver de manière incontestable que les Rebelles auraient tiré le missile qui a abattu l’avion. Il y a donc une politisation évidente de cette affaire et cette politisation, notamment quand le manque de preuves est tellement flagrant, ne va que renforcer la rupture entre ce que racontent les médias et derrière eux les gouvernements, et ce que croient les lecteurs ».

 

Source : http://french.ruvr.ru/radio_broadcast/217362642/275487168/ 

 

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John Laughland

 

Lire / voir également :

> http://www.agoravox.tv/actualites/international/article/j...

> http://www.voltairenet.org/auteur6254.html?lang=fr

04/08/2014

Ukraine : chronologie à partir du 1er août

Ukraine, chronologie à partir du 1er août (Cliquez sur l’image ci-dessous)

Réalisée par le site : Tradition !

Chronologie 1er août.jpg

Chronologie 12ème partie / A partir du 1er août. 

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2 et 3 août : La révolte sociale de Transcarpathie (oblast "Ruthène" de l'Ouest de l'Ukraine) vient de se transformer (à son tour) en sécession, et menace (elle aussi) de se transformer en insurrection armée.


Les mères et femmes de l'ouest de l'Ukraine s'opposent à la mobilisation forcée...

02/08/2014

Said to defend Motherland from Chechens...

 

- What’s your name

- Panasyuk Andriy Mikolayevich

- What have you been doing here ? Why you arrived here ?

- Arrived… military unit sent me here.

- Sent with which task ?

- Said to defend Motherland

- From who ?

- Said to defend Motherland from Chechens

- Have you met at least one Chechen here ?

- No, I haven’t meet anyone… I didn’t want to kill anyone… but laws are that I joined the army.

 

Voilà… le « gouvernement » ukrainien mobilise des gamins d’à peine 18 ans…

Et les expédie tuer leurs compatriotes et frères de race (et/ou se faire tuer eux-mêmes) dans le Donbass, pour défendre la Mère Patrie contre une invasion de Tchétchènes !?!!

 

Enculés…

 

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La seule chose qu’il veut, le môme, c’est revoir sa mère…

Festivals bretons : l'obsession médiatique du métissage !

Festivals bretons : l'obsession médiatique du métissage !

Source Breizh info : cliquez ici

La Bretagne est probablement une des régions qui compte le plus de festivals durant tout l’été. Vieilles Charrues, Festival Interceltique, Festival de Cornouaille, sons et lumières… impossible de les compter tous, impossible d’être partout, tant la saison estivale bretonne est riche d’une culture qu’elle sait, sans doute mieux que quiconque, mettre en valeur. Une mise en valeur qui – pour se justifier ? – passe trop souvent par une référence quasi obsessionnelle  à l’idéologie du métissage.

S’il est en effet des thématiques qui plaisent aux organisateurs – mais visiblement nettement moins au public – ce sont celles de « l’ouverture », du « métissage », du « dialogue » avec les autres cultures, surtout lorsque celles-ci sont très éloignées de l’identité bretonne et celtique.

Même lorsque les musiciens ou animateurs sont de Bretagne, les organisateurs insistent sur le mélange (et non pas l’échange). Ainsi, la musique de Denez Prigent au festival de Cornouaille de Quimper devient « une musique métissée ouverte sur les frontières du monde ». Ce dernier à d’ailleurs réussi la prouesse technique de placer cinq fois le mot métissage en moins d’une minute lors d’une récente interview donnée à une radio locale. De même, la chanson de Clarisse Lavanant est décrite comme un « Répertoire celtique et métissé, intimiste ».

A Plouvorn (cliquez là), un spectacle « son et lumière » raconte l’histoire d’un chevalier Breton se rendant à la croisade et dont l’aventure est présentée ainsi : « Les périls du voyage mettront à l’épreuve leur vision du monde, mais la musique et les histoires partagées en chemin avec hommes et femmes porteurs d’autres traditions se révélera plus puissante que les préjugés et la haine. Ils feront fleurir sur leur chemin un imaginaire breton enrichi d’Orient… ».

La Fête de la Bretagne (cliquez là - anciennement St Yves), qui était organisée du 15 au 18 mai partout dans la région, a vu la région appuyer financièrement 50 événements organisés pour l’occasion, répondant notamment au critère « traduisant un lien avec la Bretagne, c’est à dire le métissage culturel ou intergénérationnel » (sic).

A Dinan, lors de la fête médiévale des remparts, l’organisation invitait le groupe Dayazell (cliquez ici), présenté comme « un groupe qui vous fera voyager grâce à sa musique métissée, de l’Espagne arabo-andalouse à la Perse, en passant par l’Italie, la Macédoine ou le Maghreb pour vous faire découvrir les horizons méconnus de la musique médiévale ». Le public pouvait également assister à une conférence sur « les origines et l'évolution des instruments de musique... » (cliquez ici)  « vous découvrirez le métissage de la musique médiévale qui induit rencontre entre Orient et Occident ».

A Saint Renan, les « Vendredis branchés » ont accueilli le groupe Liikofa qui a « présenté un excellent répertoire, énergique et festif, avec des sons métissés à mi-chemin entre l’Italie, la Bretagne et la Tunisie ».

A Lorient, durant le festival Interceltique se tiendra une exposition sur le Maloya (danse africaine) mais aussi plusieurs groupes qui « associent leurs cultures et leurs musiques pour une création métissée, entre sonorités, danses bretonnes et le maloya, danse réunionnaise classée au patrimoine de l’Unesco ».

La direction définit d’ailleurs le festival comme ayant « vocation à démontrer que les cultures traditionnelles ne sont pas figées mais avides de métissages et de créations. Pour cela son objectif est, notamment, de susciter cette démarche au travers de commandes, de rencontres, de métissages… ».

A Crozon, le site de la région « tourisme en Bretagne » présente le festival du bout du monde ainsi : « Un melting pot, un melting pop, un melting potes. Chacun l’aura compris, le festival de Crozon est métissé. »

Les médias ne sont pas en reste 

Le festival « Les Escales » de Saint-Nazaire (un festival qui, pour rendre hommage à la Turquie, affiche des minarets en carton sur une partie de la ville) est présenté par Metronews comme « privilégiant les métissages musicaux autour de tâtes d'affiches pop, rock, electro, world », tandis que pour « Les Ren’arts » de Pornichet, chaque jeudi « un groupe de musique métissée enflamme une place publique ».

« A Auray, Breizh Kabar met le métissage à l’honneur » titrait récemment le principal organe de presse régional en parlant du collectif Breizh-Kabar.

« Un concert médiéval et métissé » titrait le même journal en annonçant un concert de la fête des remparts de Dinan.

« Lors du Festival de Cornouaille 2013, dans les jardins de l’Evêché, le groupe breton Startijenn et le chanteur de raï El-Taqa ont prouvé combien le métissage génère du bonheur et de l’énergie positive », martèle à nouveau le quotidien de François-Régis Hutin concernant le festival de Cornouaille.

En pays de Quimperlé, le festival de la parole poétique a choisi cette année comme thème… le métissage, ce qui donnera au journal l’occasion de titrer « Métissage au Festival de la parole poétique » (cliquez ici) et d’employer de nouveau deux fois le mots dans l’article d’une dizaine de lignes.

Et malheur à ceux qui ne se plieraient pas au règne du métissage : ainsi le site Longueur d’onde critique-t-il le Hellfest de Clisson selon ces termes : « Toujours ce sentiment étrange, essentiellement en raison du style musical et non du fait du festival : l’absence de représentation ethnique ou métisse dans la foule... » (sic).

Un autre quotidien régional titre « Babel Dance, un métissage plus que réussi » à propos d’un festival de danse de St-Brieuc : « Babel Danse, comme son nom l’indique, c’est aussi un mélange des cultures... », nous explique le journal.

Néanmoins, malgré tous ces efforts déployés, ce sont bien les défilés traditionnels Bretons – « non métissés » !  qui attirent le public en masse, à Lorient et à Quimper ; et on retrouve fréquemment plus de public dans les fêtes de village à écouter un récital de chants de marins plutôt qu’à découvrir tel ou tel groupe « à la rencontre entre Bretagne et Orient ».

Là encore, un profond décalage existe entre les envies et les rêves d’organisations et de médias véhiculant à longueur d’année la doxa mondialiste et la grande majorité de la population qui attend qu’on lui parle avant tout de ses racines. Tout simplement.

Source Breizh info (cliquez ici), via Synthèse Nationale

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Métissage.jpg

L’Europe marche sur la tête…

L’Europe marche sur la tête… une fois de plus

Par Patrick Parment, pour Synthèse Nationale.

« La politique de l’Union européenne ne se fonde plus aujourd’hui sur des faits vérifiés, mais elle est dictée par Washington (…) Ces sanctions anti-russes témoignent de l’incapacité de l’Union européenne à jouer un rôle autonome dans les affaires mondiales ». Voici ce que pense en substance le ministère russe des Affaires étrangères.

Et l’on ne peut que lui donner raison. L’Europe est à la botte de Washington qui est aux ordres de l’AIPAC (American Israel Public Affairs Commettee) le plus puissant des lobbies juifs américains. Barack Obama a beau s’en défendre, l’Amérique a rallumé la guerre froide contre la Russie de Vladimir Poutine pour la bonne raison que celui-ci n’a nullement l’intention de se conformer aux règles du jeu du capitalisme anglo-saxon.

Sauf que dans ce bras de fer, l’Europe a nettement plus à perdre que les Américains. Et ce, en raison des liens économiques et géographiques qui nous lient à notre puissant voisin. Et ce ne sont pas les mesures de rétorsion envisagées par les Américains - et leurs vassaux européens - qui effraieront les Russes. En revanche, les Européens risquent fort d’y laisser des plumes : augmentation du prix du gaz, révision des contrats passés avec les entreprises russes, sans oublier tout le secteur agroalimentaire où ils figurent parmi nos clients privilégiés.

Car, il faut être conscient que les Russes n’ont pas d’état d’âme et qu’ils ne vivent pas comme nous depuis des décennies dans une société de surconsommation. Ils vivent dans une société frugale malgré les quelques milliardaires qui font la Une de nos journaux pipoles.

Si d’aventure on réalisait un sondage pour savoir ce que pensent les Européens, il y a fort à parier qu’ils seraient massivement contre les sanctions et plus encore pour la mise au pas de ce capitalisme financier qui est en train de nous ruiner.

D’ailleurs, de quelle Europe parle-t-on quand l’Allemagne nous pousse à abandonner nos contrats d’armement – la fourniture de navires type Mistral par exemple - quand de son côté, la mère Merkel négocie directement avec Moscou ses besoins en matière première et fournit à Israël des sous-marins furtifs de dernière génération. Sans parler du patronat allemand qui, réaliste, est hostile à toute sanction à l’égard de Moscou.

On le constate chaque jour, l’Europe est un concept de fonctionnaires bruxellois. Mais, elle existe sur un point : l’allégeance de ses capitales à Washington et à Tel-Aviv.

Pour nous Français, le drame est que nous n’avons rien à attendre de bon de la part de ce gouvernement socialiste dont le président est incapable de la moindre décision et un gouvernement constitué d’incapables qui naviguent à vue et dont le Premier ministre est obsédé par les fascistes et les antisémites qui peuplent ce pays. Et, à droite, le paysage est de la même eau. Bonsoir Madame, bonsoir Mademoiselle, bonsoir Monsieur.

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01/08/2014

Quatre Missiles SS-21 abattus au-dessus du Donbass !

Ukraine/Novorossia :

4 Missiles SS-21 "Tochka" abattus au-dessus du Donbass

 

Grâce à Juan, le correspondant du Saker en Novorossia. Nous avons maintenant confirmation que l'info diffusée par CNN (et totalement ignorée par les autres médias), était bien réelle. Quatre missiles SS-21 ont bien été tirés et semble-t-il interceptés en vol avant d'atteindre leurs cibles...

 

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Combat SITREP du 30.07.2014 par Juan 


Informations provenant de sources très fiables. Sources provenant de Novorossia, de Fédération de Russie [FR], de l'UE et d'Ukraine:


Le 29/07/2014 dans l'après-midi, 4 missiles balistiques tactiques SS-21 tochka ont été tirés par les forces armées ukrainiennes. Au moins deux visaient manifestement Saur Mogila avec l'idée que les Ukes [Ukrainiens-NDT] pris au piège dans le chaudron aient une voie d'évacuation soudainement ouverte pour eux. Quelques instants avant le lancement des unités de la Fédération de Russie ont avancé vers la frontière dans la zone du Chaudron et au nord du Chaudron.


Aucun des quatre missiles tochka n'a atteint son objectif. 

Je le répète, aucun des quatre missiles tochka n'a atteint son objectif et aucun n'a touché le sol à quelque endroit que ce soit où l'on ait pu trouver quelque chose qui ressemble à une pièce. Comme vous le savez, ce missile peut transporter une arme nucléaire tactique, chimique / biologique, à sous-munitions ou HE d'un poids d'un peu moins de 500 kilos.


Quand les 4 missiles ont échoués à atteindre leurs objectifs, les Forces armées de FR ont immédiatement stoppé leur élan et ont pris position. Elles sont sur les mêmes positions au 30.07.2014.

Il y a un notable ralentissement de l'activité de combats depuis les lancements et Strelkov a ostensiblement dit encore une fois que la Novorossia est ouverte à des négociations.


Les 4 missiles tochka ont été abattus au-dessus du territoire de Novorossia occupé par les forces armées Ukrainiennes avant que les missiles n'aient atteint leur altitude de croisière programmée. Ils ont été abattus à partir du territoire de FR selon des sources à priori fiables. Aucune preuve visuelle n'a été fournie que la FR a abattu les missiles tochka ni du système utilisé pour les abattre.


(Trad. : B. Gaideclin)

MàJ 1 :  Ukraine: des fragments de missile balistique découverts près de Lougansk

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Source : http://gaideclin.blogspot.fr/2014/07/ukrainenovorossia-quatre-missiles-ss-21.html

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Lire également : http://bendeko.blogspot.fr/2014/07/ukraine-les-missiles-visaient-la-russie.html